Jonah Lehrer, voilà un nom connu de toutes les rédactions outre-Atlantique : le bonhomme usait sa plume dans les colonnes du New Yorker, de Wired, ou encore du New York Times, abreuvant la toile et les publications de ses articles consacrés à des expériences scientifiques atypiques, du genre « La dépression nous rend-elle plus intelligents ? » ou « Pourquoi les gens intelligents sont-ils stupides ? ». Depuis une dizaine de jours, son nom est connu pour autre chose...