Il est peut-être encore temps de rendre à Noir Désir ce qui leur appartient, avec, entre autres, quelques fulgurances. Qui n’a pas scandé les premières paroles : « J’suis un mannequin glacé / Avec un teint de soleil / Ravalé, homme pressé / Mes conneries proférées / Sont le destin du monde. » L’homme pressé, qui a désormais un prix littéraire…