Un jeu vidéo qui se consacre à la relation de deux protagonistes — pas avec la glaciale approche de Sim City ou une horreur comme Second Life. Non. Le graphisme ici, le dessin, tiennent un rôle considérable. Ken Wong avait amorcé Florence en février 2018, avec une idée en tête : s’intéresser à l’humain, fondamentalement. Et si l’amour est une motivation, c’est au quotidien, littéralement, qu’il est ici joué…