Depuis quelque temps maintenant, le monde littéraire entend parler d'échanges non marchands et s'interroge sur le devenir de ses oeuvres, dans un écosystème numérique où le piratage s'organise si simplement. Or, ce n'est pas faute de le répéter, du piratage au partage, il n'y a qu'une syllabe de perdue. L'écrivain Neil Jomunsi évoque d'ailleurs non « un dommage collatéral », mais « une finalité ». La Hadopi, pour sa part, réserve sa réponse...