L’an passé, lors du Salon du livre de Turin, l’écrivain italien évoquait « la honte » du survivant. Celui qui est parvenu, grâce à la protection policière, à échapper aux représailles de la mafia. Coauteur d’un roman graphique qui clamait déjà cette résistance face à la mortelle menace criminelle, il revendique, après 17 ans de protection, sa volonté de vivre.