L'affaire Gui Minhai se poursuit, sans pour autant que le principal intéressé, malheureusement, ne retrouve sa liberté : en début d'année 2019, l'ex-ambassadrice de Suède, alors en poste à Pékin, avait tenté d'organiser la libération du libraire détenu en Chine, sans en informer sa hiérarchie. Une pratique illégale, qui pourrait lui valoir jusqu'à 10 ans de prison.