On pourrait envisager que les littératures dites de l’Imaginaire — science-fiction, fantasy, fantastique, etc. — poussent le lecteur dans ses retranchements. En inventant des mondes, elles forcent à dépasser le réalisme pour s’aventurer ailleurs. Mais en langue anglaise, manifestement, les universitaires s’étonnent de ce que la science-fiction, tout particulièrement, exercerait une mauvaise influence…