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Reconnaitrans

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Réalistes, contemporains

Reconnaitrans

ReconnaiTrans, contraction de Reconnaissance et de Transidentité, est une bande dessinée qui a pour but de mettre en lumière la vie des personnes transgenres et/ou non binaires, ainsi que les actes, paroles, situations transphobes, enbyphobes, cissexistes subis.

10/2021

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Contes et nouvelles

Jamais, vraiment, tu ne te reconnaîtras

Le titre de ce livre vous a intrigué. Alors vous l'avez retourné et vous lisez maintenant ces lignes en vous demandant s'il vaut la peine que vous l'achetiez. Vous lui donniez cinq secondes environ pour vous convaincre. Et il n'en reste plus que trois. Juste assez pour répondre à la question qui vous taraude : oui, vous aurez du plaisir à lire ces nouvelles qui vous attendent, toutes plus captivantes ou émouvantes les unes que les autres. Alors, foncez ! Foncez à la caisse, rentrez chez vous, installez-vous bien confortablement et venez les rejoindre ; ils vous attendent tous, là, à l'intérieur : Alexandra la touriste en croisière, Julien à la trace de ses origines au Cambodge, Norbert fuyant l'enfer, Mathieu le piscinier héroïque, Paul souffrant d'exclusion sociale, et Jonathan l'aviateur qui s'apprête à partager avec vous une réelle sueur froide. Bienvenue !

01/2022

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Littérature française

Il y a des jours comme ça

"Il y a des jours où, pour des raisons inexplicables, les événements, les actions du quotidien les plus habituelles, subitement vous échappent". Ces situations sont rapportées dans 6 nouvelles dans lesquelles les lecteurs se reconnaîtrons... ou pas.

11/2014

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Poésie

Langueur. Edition bilingue français-espagnol

[...] Voyageur, si l'on dépose un baiser sur tes yeux cette nuit, Si un doux murmure fait frémir les branches, Si une petite main qui serre les doigts Te prend et te laisse, te caresse et s'en va Si tu ne vois pas cette main, ni cette bouche qui embrasse, Si c'est le vent qui tisse l'illusion d'embrasser, Oh, voyageur, toi qui as du ciel le regard, Mêlée au vent, me reconnaîtras-tu ?

06/2021

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Documentaires jeunesse

A pois et à rayures au Musée d'Orsay

Reconnaîtras-tu les détails secrets des célèbres tableaux du musée d'Orsay ? Mélange les cartes et place-les face illustrée contre la table. Le premier joueur en retourne deux. Lorsqu'il reconstitue une paire, il gagne les cartes et rejoue. S'il se trompe, il passe son tour et c'est au suivant de tenter sa chance. Attention : il y a des pièges ! Contient 64 cartes + un livre illustré offrant les reproductions des oeuvres en entier avec leur légende et, pour les plus curieux, des précisions sur l'artiste ou les personnages représentés, et quelques blagues par-ci par-là.

05/2015

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Littérature française

À nos ivresses

Il y a en chacun de nous une mystérieuse attirance vers l'ivresse, qui donne au voyage la possibilité d'une aventure, à l'amour un éclat, au temps une épaisseur. Pour un grand quotidien national, Alicia Dorey déguste grands crus et spiritueux, symboles d'un certain art de vivre. En la côtoyant de près, elle s'est aperçue que l'ivresse était une inépuisable matière à récits autant qu'un miroir de notre société. Dans ce texte, né du refus de choisir entre sobriété radicale et soupçon d'alcoolisme, dans lequel nous reconnaîtrons nos propres trébuchements, l'autrice évoque ces parenthèses alcoolisées et nous invite, comme pour faire connaissance, à célébrer toutes les formes d'ivresse.

03/2023

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Esotérisme

ENSEIGNEMENTS D'UN INITIE. Tome 2

Ce tome réunit deux ouvrages antérieurs: " Les Grandes Forces de la Nature " et " Glanes d'un Mystique ". Il apporte des informations nouvelles et précieuses sur des sujets essentiels pour tous ceux qui aspirent à une compréhension plus profonde des vérités spirituelles. En particulier, la question des sacrements et des dogmes de la religion chrétienne est abordée à la lumière des enseignements ésotériques. Ces pages révèlent l'existence du " corps de l'âme " dont parlait l'apôtre Paul et que nous devons édifier pour accéder à l'Initiation et devenir citoyen de la Nouvelle Jérusalem. Sa deuxième partie, " Comment reconnaîtrons-nous le Christ lors de son retour ", s'inscrit en parfaite harmonie avec les Ecritures et revêt une importance capitale à l'époque actuelle où se dessinent les prémices d'un nouvel âge.

10/1987

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Religion

L'errance

Si je devais dire quelque chose sur ma foi, pour être plus avancé dans la vie et plus proche de ma mort, je reconnaîtrais simplement que je me sens plus profondément croyant et que j'ai de moins en moins de croyances. Cette simple évidence me suffit pour être émerveillé : dans ma vie l'écho de l'infini prend parfois le nom de Dieu, et je suis pacifié... Nous savons que nous n'atteindrons pas Dieu et que seul son mystère comme sujet de notre désir nous habite. C'est par ce désir que nous nous découvrons humains et proches de tous les hommes. Notre sauvegarde est de vivre de toute l'expérience spirituelle de l'humanité non pas pour atteindre Dieu, mais pour vivre notre relation à lui, non pas dans l'ordre de la possession, mais sur le registre du désir.

01/1997

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Romans, témoignages & Co

Juste une âme d'ado

Penses-tu être la seule à ressentir certaines émotions ? Te sens-tu incomprise, seule face à une actualité morose et une société indifférente ? Peut-être que tu te trompes... Dans Juste Une Ame d'Ado, une jeune fille de 16 ans nous livre ses doutes, ses moments de lumière comme d'ombre. Elle exprime la vie, dans tout ce qu'elle a à offrir à cet âge si incertain qu'il nous rend presque anonyme. Elle se cherche. Peut-être te reconnaitras-tu ? Salomé Alcaël encourage ainsi les jeunes de son âge à ne pas baisser les bras et à s'accrocher malgré les difficultés. Les adolescents vivent et ressentent les choses d'une façon qui leur est propre. En immergeant les lectrices dans les pensées d'une adolescente comme les autres et en leur laissant la possibilité de s'exprimer comme dans un journal intime, elle les invite ainsi à comprendre qu'elles ne sont pas aussi seules qu'elles le pensent.

03/2023

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Poésie

A feu tenu

Dans à feu tenu, Michel Cassir pose des yeux de vapeur à grands remous de dieux croissants du Mexique et d'ailleurs. Les dessins de Saad Ghosn hissent nos vertiges comme des rituels aux altitudes magiques. Il arrive toujours un moment / qui suit l'éclosion des couleurs /où tout devient net et uniforme/ comme l'arrivée / dans un grand livre d'images, écrit le poète dans l'émoi d'une sphère ajourée et corpusculaire. De nos ancêtres travaillés par la sueur du temps à nos hauts lignages Michel Cassir et Saad Ghosn traduisent de divins mirages en kaléidoscopes hypnotiques. Dans ce recueil nous éprouvons avec maturité la force du désert, d'ingénieux trafics d'icônes et d'amulettes, nos lignes de fuite deviennent figures fondatrices comme les promesses étranges des perspectives. Orientés par des éclairs assoiffés, nous usons nos ombres et cherchons de petites ruses comme autant de miniatures inventives. Suivons ce feu tenu où les démons du corps flambent, nous reconnaitrons cette beauté, collision de la couleur. Nous émettrons ce mystère de l'univers / affranchi par la vitesse. Anne de Commines

02/2022

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Littérature étrangère

La chemise du domestique

Elle saisit ma main. Je m'allongeai de nouveau. Lui baisant les yeux, je lui dis : " Tout ce que j'ai de bonheur vient de toi. En dehors de toi, je ne peux imaginer une autre épouse quelle qu'elle soit. Si par quelque magie, j'en revenais à la situation d'avant mon mariage, je te reconnaîtrais malgré tout. " Depuis mon enfance j'avais appris à appeler une vache, une vache. Ainsi après mon mariage, en pleine connaissance de cause, j'avais appris à appeler une épouse, une épouse. Vinod Kumar Shukla donne une image réaliste de la vie quotidienne d'un Indien de classe moyenne dans une petite ville de l'Inde du Nord. Tout est vrai dans ce récit qui se situe à mi-chemin entre le reportage et le roman. L'humour toujours présent n'est jamais amer, même lorsqu'il dénonce implicitement certaines injustices ou abus. Écrit à la première personne dans un style simple et vivant, sans doute partiellement autobiographique, ce livre laisse l'impression agréable d'un contact avec une âme lucide mais sereine.

10/2002

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Théâtre

Le songe d'une nuit d'été ; Les joyeuses commères de Windsor ; Le soir des rois

Je sais un banc où s'épanouit le thym sauvage, où poussent l'oreille-d'ours et la violette branlante. Il est couvert par un dais de chèvrefeuilles vivaces, de suaves roses musquées et d'églantiers. C'est là que dort Titania, à certain moment de la nuit, bercée dans ces fleurs par les danses et les délices ; c'est là que la couleuvre étend sa peau émaillée, vêtement assez large pour couvrir une fée. Alors je teindrai ses yeux avec le suc de cette fleur, et je l'obséderai d'odieuses fantaisies. Prends aussi de ce suc, et cherche dans le hallier. Une charmante dame d'Athènes est amoureuse d'un jeune dédaigneux : mouille les yeux de celui-ci, mais veille à ce que le premier être qu'il apercevra soit cette dame. Tu reconnaîtras l'homme à son costume athénien. Fais cela avec soin, de manière qu'il devienne plus épris d'elle qu'elle n'est éprise de lui. Et viens me rejoindre sans faute avant le premier chant du coq. Obéron Le Songe d'une nuit d'été

07/2006

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Littérature française

L'absence

"... Claude ne viendra pas. S'il venait j'entendrais son pas, de très loin, son pas hésitant, il suspendait le pied gauche au moment de le poser, il retardait son pas comme s'il réfléchissait, il semblait boiter, je reconnaîtrais son souffle, son souffle trop lent, son coeur trop lent, son coeur d'enfant blessé, déjà blessé d'être né. Chaque geste, chaque mot le déchirait, il était trop intelligent, trop sensible, nous n'avons pas su le protéger, nous ne l'avons pas même rencontré. Il voyait mal parce qu'il regardait trop loin, son regard toujours au-delà, je parle, il écoute, il fait semblant d'écouter, il comprend mieux que s'il écoutait, il se lève, il m'embrasse sur la tempe, il balance entre la tendresse et la courtoisie, il s'en va, il se retourne, il me regarde encore, cette manière de vous rassurer, de vous consoler, lui il était inconsolable..." Le premier vendredi de novembre, Claude Hartmann est parti pour Venise, emmenant sa mère mourante. Dix jours ils ont vécu ensemble, dix jours, une vie. Elle est morte. Il a disparu. Ainsi commença, ou finit, son absence...

01/1986

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Littérature française

Le songe de Maria

Maman, maman, nous avons vu l'Allemand. Il rangeait des planches sous le hangar des Comte. Nous avons eu peur, nous nous sommes cachés pour l'épier. Marceau, qui se disait très courageux, avait rempli ses poches de cailloux. Mais le prisonnier a travaillé sans relâche. Tu le reconnaîtras, il porte une casquette militaire et je suis certain qu'il est plus grand que Raoul Martin. Ce qui m'a surpris en toi, ce n'est pas ta taille, Charles m'en avait déjà parlé. Ce sont tes yeux. Je n'avais jamais vu des yeux comme les tiens. D'un vert couleur d'océan tourmenté. Mais ce n'était pas la couleur qui m'a le plus étonnée, c'est ce qu'ils donnaient à ton visage, une expression de tristesse douce ou plutôt d'un regard profond chargé de mélancolie" . A Euzière, curiosité et médisance ont accompagné l'arrivée de Franz. Maria, jeune veuve, a été la première à lui tendre la main alors que le village lui tournait le dos. Peu à peu les préjugés sont tombés, mais son passage en Cévennes a changé le cours de bien des vies.

05/2012

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Histoire antique

La persécution des chrétiens sous Néron. Etude historique

Efforts humains, largesses du Prince, cérémonies religieuses, rien ne pouvait conjurer la rumeur flétrissante qui attribuait à Néron l'ordre de l'incendie. Pour faire cesser ces bruits, Néron accusa du crime et fit livrer à des tortures inusitées ces hommes détestés pour leurs infamies et que le peuple appelait chrétiens. Ce nom vient de Christ qui, sous le règne de Tibère, fut condamné au supplice par le procurateur Ponce-Pilate. Sur la foi d'un tel témoignage, ce drame aussi épouvantable qu'étrange a été considéré comme un fait acquis à l'histoire, il a semblé incontestable que sur les ruines fumantes de Rome Néron ait versé le sang d'hommes héroïques et pieux, dont les fils devaient un jour jeter bas du Capitole les dieux de l'Olympe et la statue de la Victoire pour y planter la croix du Christ. Les savants qui de nos jours se sont occupés de l'histoire de l'empire romain et de celle des premiers siècles du christianisme, n'ont pas mis en doute l'authenticité du texte de Tacite. Dans cet ouvrage, nous avons acquis la conviction que ces pages n'ont pu être écrites par Tacite ; nous constaterons que la plume du faussaire est celle d'un moine du moyen Age ; nous verrons qu'il a introduit dans l'oeuvre de l'historien romain des expressions et même des phrases entières prises dans des auteurs ecclésiastiques ; nous reconnaîtrons, par l'examen des documents historiques, qu'il n'y a pas eu de persécution de chrétiens sous Néron ; nous rechercherons alors comment cette légende s'est formée et quelles ont été les diverses phases de son développement.

04/2021

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Militaire

Bir Hakeim

Bir Hakeim reste la bataille la plus emblématique jamais menée par les Forces françaises libres contre les troupes de l'Axe germano-italien, commandées par le général Rommel (27 mai-10 juin 1942). Voici en fin le témoignage du principal artisan de cette victoire française : le général Marie-Pierre Koenig, commandant la 1re Brigade française libre, qui a été élevé à la dignité de maréchal de France à titre posthume le 6 juin 1984 par le président François Mitterrand. Il ne s'agit pas d'une autoglorification : "Nous reconnaîtrons volontiers que Bir Hakeim n'est qu'un fait d'armes parmi tant d'autres inscrits au frontispice de nos gloires, écrit Koenig". Cela dit, la résistance inattendue de la garnison de Bir Hakeim a été déterminante parce qu'elle a rendu possible la victoire d'El Alamein, qui a contraint Rommel à faire retraite vers la Tunisie. La bataille est retracée au jour le jour, non comme un livre d'histoire, mais comme un récit d'un acteur de premier plan, d'un chef de guerre qui doit affronter à chaque minute des situations extraordinaires, prendre des décisions qui engagent la vie des combattants et le sort de la bataille : "La guerre moderne est par excellence l'école de l'imprévu, écrit Koenig. Au désert plus que partout ailleurs". Pierre-Marie Koenig (1898-1970), officier général, maréchal de France et compagnon de la Libération est surtout connu pour son rôle en tant que commandant de la 1re brigade française libre lors de la bataille de Bir Hakeim (Libye), qui se déroule du 26 mai au 11 juin 1942 durant la guerre du Désert, et au cours de laquelle son unité de 3 700 hommes résiste opiniâtrement aux assauts conjugués des armées allemande et italienne, environ dix fois plus nombreuses, de l'Afrika Korps dirigées par le général Erwin Rommel. Edition présentée par François Broche Historien, fils de compagnon de la Libération, administrateur de la Fondation de la France libre, François Brochel est notamment l'auteur de La Cathédrale des sables, Bir Hakeim (26 mai-11 juin 1942) (Belin) et de Bir Hakeim (Perrin, collection Tempus).

06/2022

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Philosophie

Adolphe Appia, Oeuvres complètes. Tome 1, 1880-1894

Scénographe et metteur en scène, praticien et théoricien, mal connu bien qu'universellement admiré, Adolphe Appia est à l'origine des révolutions scéniques les plus profondes du théâtre d'aujourd'hui, et il n'est pas de réalisateur contemporain qui ne lut soit redevable. Il a totalement repensé puis restructuré un art devenu, au cours des siècles, une fabrique à divertissements réservée à une classe de privilégiés. En effet, si la Renaissance a ouvert les vannes de la curiosité humaine et développé une puissance créatrice pratiquement sans limites dans le domaine des sciences et des arts, elle a tué le théâtre en l'enfermant dans le carcan d'une salle (théâtre dit " à l'italienne ", boîte d'optique à fausses illusions) dont l'architecture même faisait du regardant (le spectateur) un regardé (un spectacle pour les autres spectateurs), et sacrifiait le drame au " spectacle ", l'acteur au " décor ". Point de départ de sa réflexion sur l'art du théâtre : le drame wagnérien. Appia réalisa combien la représentation qu'on en donnait trahissait l'œuvre et l'esprit de l'œuvre : toiles peintes et découpées parmi lesquelles l'acteur, réduit au rang de vulgaire accessoire, circulait en étranger ; lumières fixes et crues venant de tous les côtés à la fois ; aire de jeu restreinte poussant l'acteur à l'avant de la scène où il était rendu méconnaissable par l'éclairage de la rampe. Pour restituer à l'acteur sa vraie place, la première, Appia vida la scène, en rendit le sol plastique et l'éclaira avec subtilité au moyen de projecteurs mobiles, véritables " pinceaux du poète-musicien " seuls capables de rendre visibles plastiquement souplesse, malléabilité et mobilité inhérentes à la musique comme au drame intérieur. L'acteur étant le porteur du drame, il lui subordonna dès lors tous les éléments scéniques en établissant une hiérarchie : acteur, espace, lumière, peinture, dans un ouvrage devenu la bible du théâtre moderne : La Musique et la mise en scène (écrit en 1895-97). Après la rencontre avec Jaques-Dalcroze et la rythmique, Appia radicalisa encore sa réforme en modifiant la structure même de la salle : plus de scission entre acteurs et public, mais un espace unique englobant tout et tous, premier exemple (Hellerau, 1911-14) d'un espace théâtral " abstrait " fondé sur la présence vivante de l'acteur. Dans un stade ultérieur, Appia imagina une salle, " cathédrale de l'avenir, pouvant accueillir dans un espace vaste, libre et transformable, les manifestations les plus diverses de notre vie sociale et artistique ". Il développa les notions de théâtre de fête, de théâtre de participation, voire de théâtre " sans spectateurs " : utopies plus que jamais actuelles. Oui, Appia est " le plus noble représentant du théâtre moderne " (E, G. Cratg), mais, venu trop tôt. pour être reconnu, " environ soixante-quinze ans en avance sur le moment propice " (H.S. Chamberlain, 1894), " les temps " ont été " longs à appliquer ses idées de mise en scène " (P, Dukas, 1895). Oui, il a " ouvert les voies nouvelles " du théâtre (Jacques Copeau). Les temps sont venus où, grâce à l'édition de ses Œuvres complètes, nous reconnaîtrons ce que nous lui devons : TOUT.

10/1983