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J'ai tué. Suivi de J'ai saigné

Extraits

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Littérature française (poches)

J'ai tué. Suivi de J'ai saigné

J'ai tué (1918) et J'ai saigné (1938), récits brefs présentés en dyptique pour la première fois, nous entraînent au coeur de la violence de la Première Guerre mondiale déclinée en deux temps : l'attaque puis la blessure, vécues par le même soldat Blaise Cendrars. Avec J'ai tué, toute l'énergie du monde conduit au meurtre légal ; dans J'ai saigné, le soldat mutilé tente de se survivre, en évoquant ceux que l'Histoire a oubliés.

03/2015

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Littérature française

J’ai tué . Suivi de J’ai saigné

Dans J'ai tué (1918) prose poétique vertigineuse, Cendrars relate l'assaut d'une tranchée qui le conduit à poignarder un soldat allemand ; dans J'ai saigné (1938), il raconte la perte de son bras droit et sa convalescence aux côtés des autres blessés de guerre. Réunies ici en diptyque, deux nouvelles sur la douleur et la perte, la résilience et la guérison. Blaise Cendrars (1887-1961) est une figure majeure de la littérature de langue française du XXe siècle. Il a parcouru le monde et l'a retranscrit en une langue puissante et novatrice. Préface de Christine Le Quellec Cottier

05/2023

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Petits classiques parascolaire

J'ai saigné. 1938

"Je vous admire et je vous plains, lui disais-je. Mais déjà Mme Adrienne P. se sauvait car d'autres blessés réclamaient ses soins. Mon bras coupé me faisait mal. Sale guerre ! disais-je à haute voix." Dans ce court récit autobiographique, Cendrars, qui fut amputé du bras droit en 1915, raconte les souffrances et le chaos engendrés par la guerre et rend hommage à ceux qui, par leur courage et leur générosité, l'ont transformé en aventure humaine.

01/2012

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BD tout public

J'ai tué Marat

Le 13 juillet 1793, Charlotte Corday assassine au couteau Jean-Paul Marat dans sa baignoire. Ils ne se connaissent pas, ne se seront vu que cinq minutes en tout et pour tout. C'est le temps qu'il aura fallu pour que tout bascule... Mais qui était Charlotte Corday, et pourquoi a-t-elle tué « L'Ami du Peuple » ? Bien que favorable aux idées révolutionnaires, cette jeune femme originaire de Caen considère les responsables de la Terreur comme le véritable poison de la société. Elle s'imagine que, par sa mort, Marat en sauvera des milliers. L'Histoire lui donnera tort...Mettant en scène un dialogue imaginaire entre la victime et son assassin, LF Bollée et Olivier Martin reviennent en détail sur la journée du meurtre de Marat, et sur les motivations qui ont pu pousser une jeune femme de bonne famille à commettre un acte aussi terrible.

03/2016

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Policiers

J'ai tué Francis

Francis est mort. Mais qui l'a tué ? Le saura-t-on un jour ? Cette histoire a-t-elle réellement eu lieu ? Toutes ces questions vont hanter Yvan, un écrivain à la dérive, et vont le conduire de Paris à la Réunion, de l'interrogation à la folie. Tous les personnages de ce roman(s) se croisent ou se croiseront un jour. Toutes les histoires de cette histoire se frôleront à un moment donné. Car nous sommes tous liés les uns aux autres à quelques degrés de séparation près, dit-on. Francis est mort et quelque part son fantôme plane sur les montagnes créoles, les rues parisiennes, un petit village roumain, une bergerie corse, une banlieue stéphanoise et, même, traverse l'atmosphère pour se perdre dans l'espace. C'est un roman(s) dans lequel des êtres vont, à un moment donné, partager une émotion commune et croire, peut-être, qu'ils vivent sur la même planète.

10/2015

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Littérature française

J'ai tué Barbara suivi de La chanson de Madame Rosenfelt

En 1993, Pierre Notte envoie à Barbara un exemplaire de son premier roman, La chanson de Madame Rosenfelt, dont la chanteuse lui a inspiré le personnage. A cette époque, le jeune homme de vingt-trois ans mène une existence chaotique. Il n'a plus l'amitié ou l'amour de nombreux proches, qui l'ont renié. Son père se noie dans l'alcool, sa mère perd pied. Il est seul et ne souhaite plus vivre. Il absorbe quarante pilules de Temesta, et commence à s'endormir lorsqu'il entend une voix sur son répondeur : "C'est Barbara. Ecoutez, voilà. J'ai reçu votre livre. Je vous rappellerai. Ou vous me rappelez." Et ce message le ramène à la vie. Vingt-cinq ans plus tard, l'auteur revient sur les faits. Il raconte ses amours, les ruptures, les morts, sa violence, sa sexualité, ses errances, les dialogues surréalistes avec son éditeur Maurice Nadeau, ses chansons, ses débuts de comédien et, en contrepoint, les disques de Barbara, ses concerts, puis le "choc" du spectacle Lily Passion avec Gérard Depardieu : des textes qui entrent en forte résonance avec les dérives de l'écrivain et irriguent cette confession. Une nouvelle version de la mort de la chanteuse constitue l'une des surprises de ce texte fulgurant, et rend encore plus puissant pareil hommage à la force des mots et de la musique de la Dame en noir... Ce volume contient aussi le roman La chanson de Madame Rosenfelt, accompagné de la préface écrite alors par Julien Cendres.

01/2018

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Littérature française

J'ai ce que j'ai donné

Du joli compliment que mon père adresse à ses parents le 24 octobre 1900 il a cinq ans ! - au petit mot qu'il envoie à une amie le jour de sa mort, le 8 octobre 1970, ces lettres que retrouvées par hasard dans le joyeux " foutoir " du Paraïs dévoilent certaines facettes de sa personnalité, certains côtés de notre vie qui n'ont pas retenu l'attention des biographes... Malgré une légende tenace, nourrie de clichés et d'inexactitudes, mon père fut profondément, violemment, égoïstement heureux. " On n'a pas fini de m'entendre parler du bonheur qui est le seul but raisonnable de l'existence. " Il était de ces êtres rares qui attachent la même valeur à une jeune pousse d'asperge sauvage qu'au cachemire le plus luxueux, parce que l'une et l'autre lui apportaient du plaisir. Il fut peut-être désenchanté des hommes, mais jamais de la vie même. S'il n'a pas été un homme parfait, il fut ce père exceptionnel qui m'a appris à respirer, à aimer la vie, la musique, à apprécier la chose la plus infime, toucher un tissu, regarder un paysage, boire à une source, si peu de chose pour enchanter une journée entière... Sylvie Durbert-Giono

03/2008

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Romans policiers

Je crois que j'ai tué ma femme

Sept semaines en Suède, entre la déclaration de Trump sur un attentat fictif sur le territoire suédois et l'attaque meurtrière au camion bélier de Stockholm. Sara, médecin légiste, assiste policiers et procureure dans leur enquête pour faire condamner un homme. Le mari de Fatiha. Les questions sont nombreuses. Pourquoi lui a-t-il découpé le visage ? Est-ce un crime d'honneur ? Que savait la famille ? Y a-t-il un commanditaire ? Largement inspiré de faits réels, ce roman noir condense plus de mille pages de procédure, reproduisant un kaléidoscope de SMS, témoignages, enquêtes sociales, rapports et décisions de justice, offrant une vision à la fois terrifiante et ordinaire de la violence faite aux femmes, grâce à un récit d'une efficacité redoutable - et d'une véracité glaçante.

10/2023

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Lecture 9-12 ans

J'ai suivi un nuage

A la maison, on ne peut jamais prévoir le Temps. Un jour c'est plein soleil. Maman est radieuse car on va accueillir la star Marie Cotillon pour le goûter. Alors on sort le grand jeu : cupcakes, bouquets de fleurs et haïkus ! Mais le lendemain c'est tout gris. Maman a perdu le goût des choses et porte le poids du monde sur ses épaules. Et moi, dans tout cela ? Je trouverai l'éclaircie.

01/2018

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Sciences politiques

J'ai tué Jimmy Hoffa

Peindre des maisons, c'est la spécialité de Frank Sheeran, dit L'Irlandais, homme de main de la pègre. La peinture, c'est le sang qui gicle sur les murs quand un homme est liquidé. Américain d'origine irlandaise, il a appris à tuer pendant la Seconde Guerre mondiale. Il entre au service de Russell Bufalino, boss d'une grande famille mafieuse, et devient un solide soutien de Jimmy Hoffa au sein des Teamsters, le très influent syndicat des camionneurs. A l'époque, Bobby Kennedy, ministre de la Justice dédié à éradiquer le crime organisé, qualifiait Hoffa d'"homme le plus puissant du pays, après le Président". Lorsque Bufalino ordonne la mort de Hoffa, le 30 juillet 1975, L'Irlandais s'exécute, conscient que son refus lui couterait sa propre vie.

10/2019

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Suspense

J'ai tué Zoé Spanos

Quand Anna est embauchée pour l'été comme babysitter dans les Hamptons, elle décide d'en profiter pour tirer un trait sur la vie malsaine qu'elle menait à Brooklyn, l'alcool, les soirées. Elle souhaite juste reprendre une vie normale et passer inaperçue. C'est peine perdue : elle ressemble étrangement à Zoé Spanos, une jeune fille à peine plus âgée qu'elle, dont la disparition, 6 mois auparavant, a plongé le voisinage dans l'effroi. Au fil des jours, Anna découvre des lieux et des personnes qui lui rappellent confusément des bribes de souvenirs. Est-il possible qu'elle soit déjà venue ? QU'elle ait déjà rencontré cette Zoé, à qui elle semble de plus en plus liée ?

06/2023

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Littérature roumaine

Moi, j'ai tué Hitler

Grève de la faim, trottoirs occupés par les manifestants, mairie prise d'assaut. Mais aussi un étudiant qui séduit l'amante de son professeur. Des poings levés, des manifestations violentes, des accusations scandées par la foule contre le gouvernement. Puis une vieille se cachant pour retrouver son amoureux, la noce chez les mafieux, un assassin sans scrupule, un médecin criminel. Quelques poulets picorant des tomates.

04/2021

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Littérature francophone

12h30 J'ai tué Kennedy

Rien n'arrive par hasard, tout vient à l'heure... Bastien reçoit un carton en héritage dans lequel photos, notes et lettres vont lui apprendre qui a tué Kennedy. Derrière ce récit documenté se cache une énigme dans le mystère. Quand l'heure viendra, vous saurez enfin qui a tiré sur JFK le 22 novembre 1963 à Dallas. Pour la relation des évènements historiques, ce roman se base sur des documents vérifiables rendus publics sous la présidence de Donald Trump. Il vous révèlera qui a tué le président des Etats-Unis le 22 novembre 1963 à Dallas.

10/2021

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Romans graphiques

J'ai tué le soleil

Avec pour unique bagage un sac à dos et un fusil à la main, un homme marche en quête de nourriture. Il tente de survivre jour après jour dans une nature belle mais sauvage. Et il s'en sort plutôt bien, quand il n'est pas surpris par un ours ou par une meute de chiens errants. Calme, il paraît pourtant seul au monde. Qui est-il ? Pourquoi son regard vrille-t-il d'un coup lorsqu'il découvre une empreinte de chaussure dans la neige ? Pour son retour à la bande dessinée adulte, Winshluss traite de la notion de trauma dans un récit survivaliste apocalyptique d'une grande force visuelle.

05/2021

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12 ans et +

J'ai tué un homme

Surmenage scolaire, pic de stress, ou trouble plus grave ? Arthur est hospitalisé pour cause d'épisode délirant. Le collégien passionné d'histoire se prend depuis peu pour Germaine Berton, une militante anarchiste, meurtrière d'un leader de l'Action française en 1923... Qu'arrive-t-il à Arthur, qui ne reconnaît plus les siens ni le monde qui l'entoure ? Parents, professeurs, camarades de classe, médecins, tous s'interrogent. Avec leur sensibilité, et aussi leurs peurs.

08/2019

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Littérature étrangère

J'ai tué Phil Shapiro

Ces nouvelles et récits autobiographiques d'Ethan Coen, qui mettent en scène un boxeur incapable de se défendre, un mafioso inoffensif, des juifs perdus dans une Middle America recouverte par la neige, sont tour à tour féroces, hilarantes et dérisoires. Un univers en écho du travail cinématographique des frères Coen. Initialement publié en 1998 aux éditions de l'Olivier, la nouvelle édition de ce livre dans la collection Replay sera la révélation inédite d'un autre talent d'Ethan Coen pour le très large public qui a découvert les films des frères Coen depuis 15 ans.

11/2014

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Littérature étrangère

J'ai tué la princesse

" Le jour de leur arrivée, elles étaient allées à une soirée donnée par un ami de Phuong, étudiant lui aussi. La conversation avait immanquablement tourné autour de la consommation de viande de cheval et du gavage des oies. Les Anglais se méprennent toujours sur les sourires polis des Françaises à l'évocation de tels sujets, persuadés qu'elles sont sincèrement amusées, et convaincus d'avoir trouvé là le meilleur moyen de s'offrir une petite partie de ooh-lo-la, comme ils disent. " Après une soirée arrosée et enfumée, Véronique, photographe parisienne un brin insouciante, quitte son amant rasoir en claquant la porte. Chagrin d'amour et gueule de bois l'attendent au réveil. Un cocktail familier pour la belle jeune femme, à un détail près : dans la nuit, sous l'influence de substances plus ou moins licites, Véronique a tué la princesse de Galles. Car sinon, comment expliquer la carrosserie cabossée de sa Fiat Uno blanche- la voiture recherchée par toutes les polices de France en ce matin du 31 août 1997 ? Il fallait une bonne dose de culot et d'irrévérence pour s'attaquer à l'un des événements les plus couverts par les médias mondiaux ces dix dernières années. Pluie de reportages touchants, hommages et témoignages bouleversants, messages d'adieu, fleurs et bougies par milliers... Face à une telle déferlante d'émotion, le regard ironique et léger de Dan Rhodes semble bien salutaire. Pour lui, l'accident n'est que prétexte à une peinture hilarante et décalée des Français tels qu'ils sont vus par leurs chers voisins anglais. Des personnages plus loufoques les uns que les autres et des situations aussi improbables que drôles : voilà la recette secrète d'un auteur qui ne se prend décidément pas au sérieux.

04/2005

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Littérature française

J'ai tué Anémie Lothomb

Jusqu'où peut aller un écrivain ignoré des médias et du public pour que l'on s'intéresse à sa littérature? Parce que le destin a mis sur sa roule le corps sans vie d'une romancière à succès, Antoine Galoubet pense que sa chance est enfin venue. Il croit tenir sa revanche et ne reculera devant rien pour sortir de l'anonymat. Recel de cadavre, complot, dissimulation d'identité, manipulation de la presse, Antoine mettra tout en œuvre, avec l'aide d'un mystérieux compagnon d'infortune, pour atteindre l'inaccessible gloire. Servie par un humour féroce et déjanté, celle satire du monde des Lettres, tout à la fois grave et réaliste, pose l'éternelle question du décalage entre notoriété et talent.

01/2009

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Littérature française

J'ai tué le cancer

C'est le 10 mai 2016 vers midi, qu'en rentrant du laboratoire d'analyses, les résultats à la main que son fils meurtri lui annonce qu'elle a un cancer : un Lymphome B, grandes ou petites cellules ? Telle est la question. Le coeur sur la main, Khadija a voulu partager son incroyable périple, ses déboires, ses souffrances mais aussi son courage et ses victoires. Avant son cancer, khadija vivait à 200 à l'heure, sa vie était partagée entre son travail en tant que professeur de lycée, ses enfants, ses petits enfants et les différentes activités associatives. Aujourd'hui, elle est en retraite. Elle vit à Agadir où elle s'adonne à l'écriture, la peinture, le dessin et les voyages. Au-delà des malheurs d'une sexagénaire, cet ouvrage est une ode au désir ; à la joie de vivre et de partage.

07/2022

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Littérature française

J'ai tué Emma S

Une réédition en poche pour redécouvrir un texte emblématique des années 1970 sur l'internement psychiatrique des femmes. Marie-Anne Le Rozick, alias Emma Santos, décrit avec force son parcours douloureux, son désir d'enfant irréalisable et la violence de l'internement en asile psychiatrique. Dans un style incandescent, elle revient sur sa rupture amoureuse, empreinte de domination masculine et de violence ainsi que sur sa naissance à l'écriture. Ses écrits où convergent langage et matière charnelle, explorent des thématiques taboues pour l'époque, comme l'avortement, et sont rejetés par de nombreux éditeurs. Elle s'accroche pourtant à ses textes - l'écriture est une voie d'émancipation et sa bouée de sauvetage - qui font exploser les poncifs autour de la "folie", quitte à tuer Emma S. , nom d'emprunt donné par son ex-mari. Les éditions des femmes-Antoinette Fouque poursuivent, avec la réédition de "J'ai tué Emma S". en poche et celle de "La Malcastrée" en 2022, leur travail éditorial autour de l'oeuvre d'Emma Santos, écrivaine majeure dont les écrits emblématiques et poignants sont d'une modernité éblouissante.

04/2023

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Littérature française

J'ai tué mon mari

Maryse a tué son mari Joël par trahison. Après trente cinq ans de vie commune, il l'abandonne en tombant amoureux d'une jeune femme d'à peine la moitié de son âge. Après quelques années en prison pour crime passionnel, elle tente de se reconstruire auprès de Monique sa meilleure amie. José la courtise, mais moult questions la tourmentent car trop hantée par cet homicide. Pourquoi avait-elle été bafouée par l'homme de sa vie ? Etait-ce que parce qu'elle n'était plus toute jeune et fraîche comme jadis ? Avait-elle le droit de prétendre encore au bonheur après ce drame ? Avait-elle le droit de vivre cet amour que lui tendait José ? Ce dernier acceptera-t-il cette femme qui a tué son premier mari et fait de la prison ? Réponses dans ce beau récit écrit dans un style provocant, et excitant.

12/2019

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Poches Littérature internation

Ce que j'ai oublié de te dire

Ce n'était pas comme si elle ne nous avait pas prévenues. Ce n'était pas comme si elle ne nous y avait pas préparées. Nous savions que quelque chose n'allait pas ces derniers mois. Mais Tink n'a pas vraiment disparu. Tink est partie et pourtant - elle est là quelque part, même si nous ne pouvons la voir.

06/2017

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Psychiatrie

J'ai peur, comment je (me) soigne ?

Comment situer le thème d'une peur qui nous concerne tous, soignants et soignés ? " J'ai peur, comment je (me) soigne " s'adresse aussi bien aux patients qu'aux soignants. Un phénomène qui semble partagé au sein de l'hôpital psychiatrique par les agents de l'institution quelle que soit leur place. Un phénomène qui parait peu étudié par rapport à celui de la violence. Un thème tabou ? Un thème qui amène des questions et remet en question nos pratiques : quelles sont nos expériences de la peur, nos représentations de la peur et quelles réactions génèrent-elles ? Comment soigner avec la peur ? Quelle place prend-elle dans nos pratiques, que nous fait-elle faire plutôt que penser ?

11/2021

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Littérature française (poches)

J'ai ce que j'ai donné. Lettres intimes

Du joli compliment que mon père adresse à ses parents le 24 octobre 1900 - il a cinq ans ! - au petit mot qu'il envoie à une amie le jour de sa mort, le 8 octobre 1970, ces lettres que j'ai retrouvées par hasard dans le joyeux " foutoir " du Paraïs dévoilent certaines facettes de sa personnalité qui n'ont pas retenu l'attention des biographes... Mon père fut profondément, violemment, égoïstement heureux. Il était de ces êtres rares qui attachent la même valeur à une jeune pousse d'asperge sauvage qu'au cachemire le plus luxueux. Il fut peut-être désenchanté des hommes, mais jamais de la vie même. S'il n'a pas été un homme parfait, il fut ce père exceptionnel qui m'a appris à respirer, à apprécier la chose la plus infime, regarder un paysage, boire à une source, si peu de chose pour enchanter une journée entière...

12/2009

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Découvertes Gallimard

Manet. "J'ai fait ce que j'ai vu"

"J'ai fait ce que j'ai vu", disait Manet. Est-ce si simple ? L'auteur du Déjeuner sur l'herbe, des portraits de Zola, de Mallarmé, de Clemenceau et de Berthe Morisot, le peintre des cafés-concerts et des canotiers, qui se définissait plaisamment comme "le saint François de la nature morte", est-il le premier des peintres modernes ? Ou celui qui, par-delà les académismes, renoue avec la grande tradition ? De l'Olympia (1863) au Bar des Folies Bergère (1882), Françoise Cachin retrace la vie de ce pur Parisien, qui aima la mer, les femmes, et surtout la peinture.

03/2023

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Littérature française

J'ai mal ! suivi de Des Petites Histoires

Des récits courts qui vous transportent dans un monde magique et des poèmes qui vous font voyager dans un réel amer... Un mélange de sensations qui vous laisse étonné face à une écriture à part, qui trace son propre chemin vers l'inconnu... Des mots simples, mais profonds et emblématiques qui donnent d'autres élans à la création littéraire. Après Les Fourvoyés, édité chez les Editions du Net, Nadia Birouk revient avec un livre intéressant qui saura vous plaire...

04/2014

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Poésie

Rose saignée. suivi de "L'étrange amour de Monsieur K." et "Eros saigne"

Cette oeuvre poétique publiée initialement en 1974 fut l'un des premiers textes portés par la toute jeune maison d'édition des femmes-Antoinette Fouque. Profondément novatrice, polymorphe et anticonformiste, elle trouve une résonance particulière auprès des jeunes générations féminines et féministes, avides d'apprendre de leurs aînées. Cette nouvelle édition est enrichie de deux textes inédits retraçant la genèse et les conditions d'écriture de cette fiction ainsi que sa réception dans les années 1970. De la mythique Istanbul à d'autres rivages, l'errance de plusieurs personnages compose la trame narrative de ce texte qui peut se lire comme un roman traversé de lambeaux oniriques, d'images. C'est la saison en enfer d'une femme. Pour " avoir un sexe ", être la reine des hommes qui n'aiment que les hommes, il faut mettre leurs masques de fard, leurs voiles, et tuer, avec eux, la mère. L'écriture est alors perçue comme une tentative de vivre une rébellion de femme, exigeante et transgressive. " Ce texte poétique travaillé dans la violence et la douleur de l'érotisme et de la mort, apparenté en ses paroxysmes à l'univers de Bataille, zébré d'éclairs rimbaldiens et surréalistes, ce texte donc, de femme, mais blessé, mais stigmatisé par la nomination masculine, est comme irrigué par l'impertinence rutilante, manuscrite, déréglée, des sinuosités sur le vécu des règles, métaphore d'une traversée de "la mère rouge", voie "d'une seconde naissance ". Françoise Clédat Extrait " Je me soulève/les mots sont là, très existants/Je fais venir le temps/où tombant de douleur/les branches des grands arbres/une à une se détachent/(J'ai tard veillé dans la nuit longue/pour que sinueux les crocodiles/descendent aux mers englouties)/baisent mes mains, sucent ma peau/je picorais des vulves chaudes/sur ces rochers bouillants de cris/la peau de mes pieds durcissait/noircissait : /j'étais un bandit aux yeux clairs/(et Jésus-Christ se faisait femme) " X.G.

10/2022

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Enseignement primaire

J'ai rêvé que...

Une histoire qui stimule l'imaginaire et qui permet d'aborder quelques questions essentielles sur l'identité, les envies, les peurs... . Le vocabulaire et les structures répétitives rendent ce texte accessible à des lecteurs débutants et sont aussi des lanceurs de production d'écrits. Contenu de l'album : "J'ai rêvé que ... ... . mon nounours était vivant... . etc. . ". Au fil des pages, divers petits rêves d'enfant qui aident à faire grandir.

02/2000

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Littérature française

Comment j'ai tué mon père

"Avec les boulets et les fardeaux intimes, il y a plusieurs solutions. En général on se contente de les traîner : on souffre tout seul et ça n'avance à rien. Ou alors on peut grimper dessus, pour au moins être vu. Il y a enfin la possibilité de les renvoyer à la figure de l'agresseur : c'est lourd et ça fait mal à tous les protagonistes, mais c'est efficace..." Comment s'en sortir quand on est un petit garçon dans une famille apparemment très ordinaire, mais que son père est un tyran domestique et qu'un monde s'écroule autour de soi ? Un père violent, une époque qui l'est aussi, et l'Histoire qui s'en mêle : tout concourait à démolir le narrateur... à moins qu'il n'arrive à se montrer plus résistant qu'eux.

10/2015

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Thrillers

J'ai tué mon beau-père

Mars 2016, dans un quartier paisible situé dans une ville contrôlée par un homme puissant, Jaylyne âgée de 15 ans, assiste impuissante au meurtre de son père, Henri Plummer. Il a juste eu le temps de lui communiquer des codes et lui a demandé de partir pour retrouver une personne. Entre des mensonges, des trahisons et de douloureux secrets, sa vie va basculer, impossible de revenir en arrière. Le suspense est à son comble, chaque chapitre à sa dose de rebondissements. Un roman rempli de rebondissements à chaque chapitre.

07/2021