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Beldum

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Littérature française

Beldum

Au début des années 70 au Niger, Harbiya, une adolescente Peule wodaâbé rencontre une jeune ethnologue française, surnommée Mathé, venue vivre dans son campement nomade. Mais le regard de l'ethnologue n'est que le miroir d'un autre regard, celui d'Harbiya sur le monde de Mathé, et dès lors, la relation d'amitié qui nait entre les deux femmes bouscule l'une et l'autre. Partageant les souffrances du campement pendant la grande sécheresse de 1972, Mathé sort de son rôle d'observatrice tandis qu'Harbiya mûrit trop vite aux contacts des vicissitudes de la vie des femmes de son peuple. Ensemble ou séparément, elles affronteront l'exode, la mendicité, la prostitution et apprendront la patience parce que seul celui qui a " la patience de la fumée, apprendra le bonheur de la flamme ". Malgré les souffrances vécues par la narratrice, ce roman est une ode au bonheur.

01/2019

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Littérature française

Mundi Bellum

Vous avez de l'imagination, des dés et un crayon ? Vous rêvez d'aventures et cherchez une activité à faire en famille ou entre amis ? Envie de sauver des princesses en pourfendant des dragons ou de sauver des dragons en pourfendant des princesses ? Avec le jeu Mundi Bellum, découvrez un monde riche et vaste, aux peuples et aux contrées inspirés des légendes et de l'histoire de notre monde actuel. Créez, améliorez, développez votre personnage avec son histoire, son caractère, ses ambitions... De nombreux défis vous attendent : combats contre des monstres sanguinaires, âmes en détresse à secourir, énigmes à résoudre et lieux secrets... Ce livre-jeu contient tout ce dont vous avez besoin pour commencer à jouer : des informations sur les races et classes que vous pouvez incarner, les différents styles d'armes et de magies et une description générale des mondes existants. Votre imagination fera le reste, des possibilités infinies de parties vous attendent ! Etudiant toulousain en Histoire et grand passionné de jeux de société, Guillaume Belloc a décidé de créer son propre univers. Testée et approuvée auprès de ses proches, il a conçu une activité conviviale, où la communication, le rire et l'amitié sont rois.

02/2019

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Littérature française

Homo Bellum

... Face à l'entrée, protégée par le rideau de velours vert foncé refermé derrière eux, se trouve un bar bien fourni où attendent cinq jeunes filles en bikini. "Bienvenus chez Marina. Détendez-vous et prenez un verre au bar leur lança la jeune fille aux yeux clairs en leur montrant le bar". Il y avait aussi des fauteuils profonds dans lesquels se vautraient des hommes au regard fuyant. D'autres jeunes filles se frottaient à eux, languissantes, sur le rythme de la musique douçâtre diffusée par des hauts parleurs cachés. "C'est cocagne façon Balkans, souffla Cédric. -C'est surtout mieux que ce que j'avais imaginé, rétorqua Christian. -Bonsoir mes hommes, dit une voix derrière eux. Bienvenue chez moi ! ... ... .

09/2015

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12 ans et +

Jeanne Bellum

Jeanne Bellum est la cadette du comte de Muris. Espiègle, elle refuse toutes les demandes en mariage que reçoit son frère. L'épée au ceinturon, elle défit les codes de la noblesse tandis que son aîné prend cela pour un jeu. Alors qu'ils s'entraînent au milieu d'un champ et qu'ils se disputent encore à ce propos, un chevalier les surprend. D'abord troublée, Jeanne déchante rapidement lorsque ce dernier annonce venir rencontrer sa fiancée. D'un simple regard vers son frère, elle comprend que c'est elle l'heureuse élue. Déçue, elle s'enfuit, mais est aussitôt rattrapée par cet homme qui ne s'avoue pas vaincu. Il n'a pas le temps de tenter sa chance que la discussion tourne court. Des barbares leur tendent une embuscade. Pétrifiée de voir sa cité attaquée, elle voit sa vie sauvée par cet audacieux chevalier. Troublée, Jeanne se laissera-t-elle séduire par cet étranger ? Le coeur pur d'une femme peut sans nul doute engendrer une légende...

10/2015

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Philosophie

La guerre peut-elle être juste ? Réflexions sur le jus post bellum

La guerre peut-elle être juste ? Peut-elle s'affubler d'un qualificatif juste sans injustice ? Les récits cosmogoniques sont la merveilleuse monstration que les hommes se sont toujours fait la guerre. L'attitude belliqueuse de certains souverains et les atrocités des champs de bataille ont amené des analystes à définir des critères stricts pour limiter la souffrance humaine. Désormais, tout Etat qui n'observerait pas scrupuleusement les linéaments de cet édit risque d'être déclaré Hostis humani generis. Dans sa conception traditionnelle in stricto sensu, la théorie de la guerre dite juste comporte, d'une part, le jus ad bellum (droit à la guerre) ou droit de faire la guerre et, d'autre part, le jus in bello qui réglemente la conduite de la guerre. Qu'en est-il de l'après-guerre et du jus post bellum ? Cet ouvrage, importante contribution au débat sur la théorie de la guerre juste, répond justement à ce questionnement.

06/2018

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Critique littéraire

Guerre civile. Tome 1, (Livres 1 et 2)

La République se meurt, rongée par les dissensions de César et de Pompée : de fait César règne sur l'Occident et Pompée sur l'Orient, mais cela ne suffit à aucun des deux hommes. Pompée ne tarde pas à être éliminé en Egypte, César triomphe, et la République est aux yeux de tous d'ores et déjà condamnée. De ce duel à mort, César se justifie dans ce qui nous est parvenu sous le titre de Bellum civile. Très différent du Bellum Gallicum qui appartient au genre des mémoires, le Bellum civile est à la fois une apologie et un pamphlet. Rédigé après les événements narrés, probablement aux alentours de 46, le texte justifie la politique de César. Le pamphlet est l'occasion d'une truculente galerie de portraits où le lecteur retrouve un Pompée plein de suffisance et de vanité, un Caton aigri et un Scipion impie, cupide et tyrannique. Notre édition présente en deux volumes les trois livres du Bellum Civile. La riche introduction du tome I offre un précieux historique des événements qui ont mené à la guerre civile et donne de nombreux repères chronologiques. La question de l'authenticité ainsi que celle de la datation de ce texte est relatée en détail, de même que l'histoire, complexe, des manuscrits. De judicieuses pistes de lecture sont proposées de même qu'une analyse succincte du genre de l'oeuvre. Des notes accompagnent la lecture. L'ouvrage est en outre enrichi d'une table des matières détaillée permettant de circuler aisément dans le texte, ainsi que des cartes.

05/1988

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Critique littéraire

GUERRE CIVILE. Tome 2, livre III

La République se meurt, rongée par les dissensions de César et de Pompée : de fait César règne sur l'Occident et Pompée sur l'Orient, mais cela ne suffit à aucun des deux hommes. Pompée ne tarde pas à être éliminé en Egypte, César triomphe, et la République est aux yeux de tous d'ores et déjà condamnée. De ce duel à mort, César se justifie dans ce qui nous est parvenu sous le titre de Bellum civile. Très différent du Bellum Gallicum qui appartient au genre des mémoires, le Bellum civile est à la fois une apologie et un pamphlet. Rédigé après les événements narrés, probablement aux alentours de 46, le texte justifie la politique de César. Le pamphlet est l'occasion d'une truculente galerie de portraits où le lecteur retrouve un Pompée plein de suffisance et de vanité, un Caton aigri et un Scipion impie, cupide et tyrannique. Notre édition présente en deux volumes les trois livres du Bellum Civile. La riche introduction du tome I offre un précieux historique des événements qui ont mené à la guerre civile et donne de nombreux repères chronologiques. La question de l'authenticité ainsi que celle de la datation de ce texte est relatée en détail, de même que l'histoire, complexe, des manuscrits. De judicieuses pistes de lecture sont proposées de même qu'une analyse succincte du genre de l'oeuvre. Des notes accompagnent la lecture. L'ouvrage est en outre enrichi d'une table des matières détaillée permettant de circuler aisément dans le texte, ainsi que des cartes.

05/1998

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Droit

Le droit de la guerre. Traité sur l'emploi de la force armée en droit international Volume 1

"Droit de la guerre". L'expression peut surprendre. La guerre ne serait-elle pas le non-droit, et le droit ne serait-il pas synonyme de paix ? A cette question, il convient de répondre par la négative. La guerre est une institution juridique. Le droit de la guerre existe - y compris les sanctions aux violations des règles -, aussi ancien que la guerre, aussi ancien que le droit international, dont il constitue le coeur historique, en ses deux branches : jus ad bellum, jus in bello, le droit de la neutralité relevant des deux. Le XXe siècle, du Pacte de la Société des nations à la Charte des Nations unies, n'a pas davantage aboli le droit de guerre, ni transformé le jus ad bellum en jus contra bellum et le jus in bello en "droit international humanitaire", lui-même annexe au "droit international des droits de l'homme". Croisant droit et polémologie, le présent traité dissipe l'illusion. Portant sur les conflits armés internationaux comme sur les conflits armés internes, il expose, explique et reconstruit, de manière systématique, l'ensemble du droit international contemporain relatif à l'emploi de la force armée, aussi bien les auteurs de la belligérance (Etats, organisations intergouvernementales, mouvements de libération nationale, autres groupes ou entités non étatiques) que les acteurs de la belligérance (militaires ou combattants réguliers, partisans ou combattants irréguliers), les buts de la belligérance (légitime défense, sécurité collective, autodétermination des peuples, autres justae causae belli revendiquées), les moyens (armements), les théâtres (terre, mer, air, espace extra-atmosphérique, cyberespace) et les régimes de la belligérance (régimes relatifs aux combats, aux combattants victimes des hostilités, aux personnes et biens civils, aux institutions et biens culturels, à l'occupation, à l'environnement), proposant en outre une analyse critique de la responsabilité réparatrice et punitive.

11/2015

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Droit

Le droit de la guerre. Traité sur l'emploi de la force armée en droit international Volume 3

"Droit de la guerre". L'expression peut surprendre. La guerre ne serait-elle pas le non-droit, et le droit ne serait-il pas synonyme de paix ? A cette question, il convient de répondre par la négative. La guerre est une institution juridique. Le droit de la guerre existe - y compris les sanctions aux violations des règles -, aussi ancien que la guerre, aussi ancien que le droit international, dont il constitue le coeur historique, en ses deux branches : jus ad bellum, jus in bello, le droit de la neutralité relevant des deux. Le XXe siècle, du Pacte de la Société des nations à la Charte des Nations unies, n'a pas davantage aboli le droit de guerre, ni transformé le jus ad bellum en jus contra bellum et le jus in bello en "droit international humanitaire", lui-même annexe au "droit international des droits de l'homme". Croisant droit et polémologie, le présent traité dissipe l'illusion. Portant sur les conflits armés internationaux comme sur les conflits armés internes, il expose, explique et reconstruit, de manière systématique, l'ensemble du droit international contemporain relatif à l'emploi de la force armée, aussi bien les auteurs de la belligérance (Etats, organisations intergouvernementales, mouvements de libération nationale, autres groupes ou entités non étatiques) que les acteurs de la belligérance (militaires ou combattants réguliers, partisans ou combattants irréguliers), les buts de la belligérance (légitime défense, sécurité collective, autodétermination des peuples, autres justae causae belli revendiquées), les moyens (armements), les théâtres (terre, mer, air, espace extra-atmosphérique, cyberespace) et les régimes de la belligérance (régimes relatifs aux combats, aux combattants victimes des hostilités, aux personnes et biens civils, aux institutions et biens culturels, à l'occupation, à l'environnement), proposant en outre une analyse critique de la responsabilité réparatrice et punitive.

10/2015

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Droit

Le droit de la guerre. Traité sur l'emploi de la force armée en droit international Volume 2

"Droit de la guerre". L'expression peut surprendre. La guerre ne serait-elle pas le non-droit, et le droit ne serait-il pas synonyme de paix ? A cette question, il convient de répondre par la négative. La guerre est une institution juridique. Le droit de la guerre existe - y compris les sanctions aux violations des règles -, aussi ancien que la guerre, aussi ancien que le droit international, dont il constitue le coeur historique, en ses deux branches : jus ad bellum, jus in bello, le droit de la neutralité relevant des deux. Le XXe siècle, du Pacte de la Société des nations à la Charte des Nations unies, n'a pas davantage aboli le droit de guerre, ni transformé le jus ad bellum en jus contra bellum et le jus in bello en "droit international humanitaire", lui-même annexe au "droit international des droits de l'homme". Croisant droit et polémologie, le présent traité dissipe l'illusion. Portant sur les conflits armés internationaux comme sur les conflits armés internes, il expose, explique et reconstruit, de manière systématique, l'ensemble du droit international contemporain relatif à l'emploi de la force armée, aussi bien les auteurs de la belligérance (Etats, organisations intergouvernementales, mouvements de libération nationale, autres groupes ou entités non étatiques) que les acteurs de la belligérance (militaires ou combattants réguliers, partisans ou combattants irréguliers), les buts de la belligérance (légitime défense, sécurité collective, autodétermination des peuples, autres justae causae belli revendiquées), les moyens (armements), les théâtres (terre, mer, air, espace extra-atmosphérique, cyberespace) et les régimes de la belligérance (régimes relatifs aux combats, aux combattants victimes des hostilités, aux personnes et biens civils, aux institutions et biens culturels, à l'occupation, à l'environnement), proposant en outre une analyse critique de la responsabilité réparatrice et punitive.

10/2015

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Histoire ancienne

Arma virumque. Les coalisés armoricains face à César (57-56 av JC)

Le récit de la bataille entre la flotte des Armoricains et celle de César, en 56 av. J-C, est l'un des morceaux de bravoure du Bellum Gallicum. Loin d'être un épiphénomène de la Conquête, ce combat naval, auquel s'ajoutèrent des affrontements terrestres, est l'aboutissement de tensions entre les peuples atlantiques de la Gaule et l'expansionnisme économique romain, renforcé par les ambitions de César, conflits qui ne peuvent être compris que dans un espace plus large et dans la longue durée.

06/2011

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Histoire régionale

Nancy et la Lorraine en défense. Une introduction à l'étude de la préparation à la guerre à l'époque moderne (1572-1633) - Si vis pacem, para bellum

Le cas du duché de Lorraine avant la guerre de Trente ans permet de mettre en évidence des questionnements et des éléments de réflexions sur un sujet inédit, jamais traité en tant qu'objet d'étude : la préparation à la guerre. Ce petit Etat, dont le pouvoir est concentré à Nancy, est menacé par les conflits tout au long des XVIe et XVIIe siècles. Sa taille réduite permet de comprendre comment les Etats de l'Europe moderne se préparent à la guerre dans un contexte belliqueux et les mécanismes à l'oeuvre dans l'anticipation des conflits. Malgré la volonté des ducs de rester neutres, ils élaborent une organisation défensive inégale sur la période. Elle est toutefois représentative d'un certain rapport du pouvoir à la guerre et d'une certaine conception de la neutralité, ainsi que d'une forte implication de la société civile dans la construction d'un appareil militaire.

07/2022

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Vie chrétienne

Fideliter N° 267, mai-juin 2022 : La guerre en questions

Editorial : A quelles luttes Dieu nous appelle (Abbé Benoît de Jorna) Dossier : La guerre en questions - Introduction (Abbé Philippe Toulza) - Quand une guerre est bonne : le droit ad bellum en 10 questions - La Russie en Ukraine : une guerre qui déchaîne les passions - Ce qu'autorise la guerre : le droit in bello en 8 questions - Réflexions libres sur les principes de la guerre juste (Colonel François-Régis Legier) La Tradition, l'Eglise et le monde - La maison Saint-Colomban, une oeuvre de miséricorde - L'abbé Hubert Fleury, une longue fidélité - L'islamo-nationalisme du turc Erdogan (Antoine de Lacoste) - Soixante jours, quelques faits (Abbé Renaud de Sainte-Marie) Culture chrétienne - Feuilles de route (Abbés François Knittel et Philippe Bourrat) - Billet d'humeur

01/2023

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Histoire ancienne

Alésia. Un village, une bataille, un site

Alésia, ce n'est pas seulement la célèbre bataille qui opposa les Romains de César aux Gaulois de Vercingétorix en 52 av. J.-C. C'est aussi un village gallo-romain qui continua de vivre en paix sur le Mont-Auxois, comme le prouvent les fouilles initiées dès 1861. C'est encore le sujet d'une étonnante somme littéraire et historique (Bellum Gallicum), qui soutend l'intense polémique entre savants et journalistes sur la véracité du site d'Alise-Sainte-Reine, en Côte-d'Or. C'est enfin le lieu du martyre de sainte Reine. Avec une clarté remarquable, une immense érudition et un grand sens du récit, Jean-Louis Voisin reconstitue l'image complète de ce haut lieu, symbole de ce " moment qui oriente encore aujourd'hui, par ses conséquences, le destin de notre pays ".

09/2014

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Littérature française

Jo et le messager

Jo est en bonne santé, il a du succès et gagne bien sa vie. Jo est un homme pressé et il ne croit qu'en ce qu'il voit. Jo est malheureux, mais il ne s'écoute pas. Jo vit dans un monde irréel, artificiel et matériel mais il ne le sait pas. Jo devra retourner dans l'unité, le cercle de la vie, mais il n'y croit pas. Pour que son histoire redevienne sa véritable histoire, Jo va devoir rencontrer la nature, les énergies, les rêves... Un voyage vers soi vivant et authentique, une découverte du petit homme en chacun. Extrait de la table des matières : Le commencement - La rencontre - Pourquoi pas ? - Le réconfort - L'Alliance - La Vie - La Confiance - Le Soutien - Des Conseils - Le Partage - Un peu de Bonheur - La Croyance - Qui est là ? - L'Elève - Etre Soi - Accepter - Le Voyage - Le Thérapeute - Le Temps - L'Oral - Il a tout oublié - Le Souvenir - Vincere Bellum -La Fin est un Début.

05/2014

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Dictionnaire français

Kamus Dasar Bahasa Bajo - Bahasa Indonesia. Bahasa bajo diucapkan di pulau Nain (Sulawesi Utara)

Dari mana mereka berasal ? Para pengembara laut : Suku Bajo. Masih diselimuti misteri dan belum terjawab. Nyatanya, mereka bermukim di seluruh perairan Asia Tenggara (Indonesia, Filipina, Malaysia). Kita tidak mengenal asal usul maupun sejarah mereka. Hal yang paling mengagumkan tentu saja gaya hidup orang Bajo yang khas : kehidupan di atas perahu. Walaupun sebagian besar suku Bajo tinggal di atas rumah panggung yang dibangun jauh dari pantai. Masyarakat Bajo, yang kini jumlahnya lebih dari 800 000 orang, memiliki bahasa maupun budaya yang unik. Gaya hidup mereka yang tak lazim merupakan dampak dari penyesuaian hidup nan sempurna terhadap lingkungan laut. Namun, program pemukiman tetap bagi Suku Bajo, menjadi ancaman bagi masa depan mereka. Sang Penyair Laut, Suku Bajo sepertinya memang diambang kepunahan. 12 Lexiques des langues Badjo (Indonésie), Sangihe (Indonésie), Français 12 Kamus dasar bahasa Bajo (Indonesia), Sangihe (Indonesia), Perancis 12 dictionaries in 3 languages : Badjo (Indonesia), Sangihe (Indonesia), French

07/2022

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Indonésien

Kamus Dasar Bahasa Indonesia - Bahasa Bajo. 2496 karta - Bahasa bajo diucapkan di seluruh Indonesia, kecuali di pulau Nain (Sulawesi Utara)

Dari mana mereka berasal ? Para pengembara laut : Suku Bajo. Masih diselimuti misteri dan belum terjawab. Nyatanya, mereka bermukim di seluruh perairan Asia Tenggara (Indonesia, Filipina, Malaysia). Kita tidak mengenal asal usul maupun sejarah mereka. Hal yang paling mengagumkan tentu saja gaya hidup orang Bajo yang khas : kehidupan di atas perahu. Walaupun sebagian besar suku Bajo tinggal di atas rumah panggung yang dibangun jauh dari pantai. Masyarakat Bajo, yang kini jumlahnya lebih dari 800 000 orang, memiliki bahasa maupun budaya yang unik. Gaya hidup mereka yang tak lazim merupakan dampak dari penyesuaian hidup nan sempurna terhadap lingkungan laut. Namun, program pemukiman tetap bagi Suku Bajo, menjadi ancaman bagi masa depan mereka. Sang Penyair Laut, Suku Bajo sepertinya memang diambang kepunahan. 12 Lexiques des langues Badjo (Indonésie), Sangihe (Indonésie), Français 12 Kamus dasar bahasa Bajo (Indonesia), Sangihe (Indonesia), Perancis 12 dictionaries in 3 languages : Badjo (Indonesia), Sangihe (Indonesia), French

07/2022

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Indonésien

Kamus Dasar Bahasa Bajo - Bahasa Indonesia. 2496 kata - Bahasa bajo diucapkan di seluruh Indonesia, kecuali di pulau Nain (Sulawesi Utara)

Dari mana mereka berasal ? Para pengembara laut : Suku Bajo. Masih diselimuti misteri dan belum terjawab. Nyatanya, mereka bermukim di seluruh perairan Asia Tenggara (Indonesia, Filipina, Malaysia). Kita tidak mengenal asal usul maupun sejarah mereka. Hal yang paling mengagumkan tentu saja gaya hidup orang Bajo yang khas : kehidupan di atas perahu. Walaupun sebagian besar suku Bajo tinggal di atas rumah panggung yang dibangun jauh dari pantai. Masyarakat Bajo, yang kini jumlahnya lebih dari 800 000 orang, memiliki bahasa maupun budaya yang unik. Gaya hidup mereka yang tak lazim merupakan dampak dari penyesuaian hidup nan sempurna terhadap lingkungan laut. Namun, program pemukiman tetap bagi Suku Bajo, menjadi ancaman bagi masa depan mereka. Sang Penyair Laut, Suku Bajo sepertinya memang diambang kepunahan. 12 Lexiques des langues Badjo (Indonésie), Sangihe (Indonésie), Français 12 Kamus dasar bahasa Bajo (Indonesia), Sangihe (Indonesia), Perancis 12 dictionaries in 3 languages : Badjo (Indonesia), Sangihe (Indonesia), French

07/2022

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Indonésien

Kamus Dasar Bahasa Indonesia - Bahasa Bajo. 1976 karta - Bahasa bajo diucapkan di pulau Nain (Sulawesi Utara)

Dari mana mereka berasal ? Para pengembara laut : Suku Bajo. Masih diselimuti misteri dan belum terjawab. Nyatanya, mereka bermukim di seluruh perairan Asia Tenggara (Indonesia, Filipina, Malaysia). Kita tidak mengenal asal usul maupun sejarah mereka. Hal yang paling mengagumkan tentu saja gaya hidup orang Bajo yang khas : kehidupan di atas perahu. Walaupun sebagian besar suku Bajo tinggal di atas rumah panggung yang dibangun jauh dari pantai. Masyarakat Bajo, yang kini jumlahnya lebih dari 800 000 orang, memiliki bahasa maupun budaya yang unik. Gaya hidup mereka yang tak lazim merupakan dampak dari penyesuaian hidup nan sempurna terhadap lingkungan laut. Namun, program pemukiman tetap bagi Suku Bajo, menjadi ancaman bagi masa depan mereka. Sang Penyair Laut, Suku Bajo sepertinya memang diambang kepunahan. 12 Lexiques des langues Badjo (Indonésie), Sangihe (Indonésie), Français 12 Kamus dasar bahasa Bajo (Indonesia), Sangihe (Indonesia), Perancis 12 dictionaries in 3 languages : Badjo (Indonesia), Sangihe (Indonesia), French

07/2022

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Religion

Si tu veux la paix, prépare la guerre ! Essai sur la guerre juste

Par delà les traités d'histoire militaire et de stratégie, voici l'étude des principes qui doivent guider toute action politique au sujet de la guerre "afin de l'éviter quand il le faut ou de la mener à bien quand c'est nécessaire". Son fil directeur reprend l'antique devise de l'actuelle école de guerre française : si vis pacem, para bellum. Pour l'avoir oublié par négligence ou idéologie, notre pays a plusieurs fois payé très cher son amnésie, et cet essai tout à la fois érudit et accessible à tous procède d'une double réflexion d'officier "homme de guerre" et de chrétien "homme de foi" habité par le souci du bien commun de la patrie. Oui, il existe une approche toute inspirée de sagesse évangélique pour concevoir et faire la guerre, et c'est toute l'actualité de la doctrine de la guerre "juste" que fait redécouvrir François-Régis Legrier à travers une extraordinaire fresque politique et militaire embrassant l'histoire de notre humanité occidentale.

05/2018

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Histoire ancienne

L'art de la déformation historique dans les Commentaires de César. 3e édition

Traditionnellement, l'auteur des Commentaires de la guerre des Gaules (8 livres) est connu sous le nom de César. On sait par exemple que l'auteur du livre VIII du Bellum gallicum est Aulus Hirtius, l'un de ses principaux collaborateurs. Et sur l'ensemble du corpus césarien (Guerre des Gaules, Guerre civile, Guerre d'Espagne, Guerre d'Afrique, Guerre d'Alexandrie), dès l'Antiquité des doutes et des appréciations différentes ont été émises notamment par Asinius Pollion qui accusait l'homme politique de négligences et d'inexactitudes. Les Commentarii ont été rédigés vraisemblablement de la fin octobre à la fin décembre 51 et rendent compte des campagnes militaires de César. Ils parlent de la Gaule indépendante de manière détaillée. Lorsqu'on prend César en flagrant délit de contradiction, est-ce de la mauvaise foi ou une erreur ? L'étude de Michel Rambaud a été de montrer qu'on ne pouvait pas toujours prêter foi au témoignage du conquérant. La guerre des Gaules est une oeuvre de propagande, écrite dans un style que l'on qualifierait aujourd'hui de journalisme militaire et politique. Michel Rambaud était professeur à la Faculté des Lettres de Lyon.

06/2011

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Droit

Lus in bello. Le droit international des conflits armés, 2e édition

Ce précis traite d'une branche du droit international public de grande actualité, à savoir des règles sur la conduite des hostilités et sur le traitement des personnes protégées lors d'un conflit armé, international ou non international. Cette deuxième édition constitue une mise à jour et un développement conséquent de la première. Le précis est destiné à quiconque cherche à approfondir ses connaissances en la matière, même s'il s'adresse en premier lieu à des juristes. Le phénomène des règles de droit applicables dans la guerre (le ius in Bello) est abordé dans toutes ses dimensions: aspect historique, applicabilité du droit, sources et principes fondateurs du droit des conflits armés, règles sur la conduite des hostilités militaires, sur les personnes hors de combat, sur les conflits armés non internationaux, sur la mise en oeuvre du droit international humanitaire. Sont également étudiés la question des territoires occupés, les emblèmes protecteurs, l'action du Comité international de la Croix-Rouge et la neutralité. Ainsi, ce livre forme un complément aux deux autres Précis du même auteur: le "Ius contra bellum", qui traite du droit international relatif au maintien de la paix, et le "Droit international pénal", qui traite de la sanction pénale au niveau international.

02/2010

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Beaux arts

Jules César à la conquète des éditions parisiennes et vénitiennes (1485-1541)

Leader charismatique et ambitieux, Jules César a su gagner en son temps une gloire immortelle qui lui valu l'honneur suprême d'être intégré au panthéon des dieux antiques. Paradoxalement, le récit de ses batailles en Gaule ne rencontra pas un succès immédiat. Mal connu durant la plus grande partie du Moyen Age, il est redécouvert à la veille des guerres d'Italie par les humanistes français et italiens. Ce passionnant récit de conquête est d'abord traduit en 1485 par Robert Gaguin pour Charles VIII : le jeune roi est invité à imiter la prudence et le courage de l'imperator. C'est ensuite dans toute l'Europe occidentale que de nouvelles traductions se font jour : en espagnol, en allemand, en italien et partiellement en anglais. Dès 1486, ces versions vernaculaires du Bellum Gallicum firent l'objet d'éditions illustrées de gravures sur bois, en particulier dans les deux centres les plus actifs de l'époque que sont Venise et Paris. Ces gravures sont au coeur de la présente étude afin de mieux comprendre la réception du personnage de César et de ses Commentaires. De plus, elles donnent un excellent exemple du véritable "dialogue" intellectuel et artistique qui s'établit autour de 1500 entre le royaume de France et la péninsule italienne.

05/2014

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Actualité et médias

La guerre est une affaire trop grave ...

Selon Clemenceau, la guerre est une chose trop grave pour être confiée à des militaires. Pour être confiée n 'importe comment à des militaires, précise René Fiore dans cet ouvrage. Car tout dépend de la manière dont les politiques leur contient la tâche... II est trop facile de se contenter, pour gérer une crise, d'un ordre d'attaque à son armée. Pourtant c'est la stratégie que le président Rush a choisie en 2003, en déclarant la deuxième guerre du Golfe ! Cet essai désigne les nombreux chefs d'Etat (voire chefs de guerre) qui, par leur impéritie, leur politique hasardeuse ou leur négligence, n'ont pas su conduire les guerres qu'ils avaient décidées. Les exemples ne manquent pas, des guerres puniques aux conflits contemporains. L'auteur rappelle ici ceux de l'Histoire et éclaire ceux de l'actualité. Il analyse ainsi les rôles respectifs du politique et du militaire, dans les causes des guerres et leur logistique. Puis il se penche sur les sources de conflits actuelles, dont le pétrole, bien entendu. Enfin, il dessine le profil de la guerre de demain. A laquelle, proche ou lointaine dans le temps et dans l'espace, il faut bien se préparer. Ne serait-ce que dans l'espoir de l'éviter, car, comme disaient les Romains, si vis pacem para bellum, " si tu veux la paix prépare la guerre ".

05/2010

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Sciences politiques

Nécessité d'une armée

Après les deux grandes guerres qui ont entraîné la mort de plus de 40 millions de personnes, le monde est comme assis sur un champ de mines. Les deux superpuissances nucléaires, les USA et la Russie, ont atteint aujourd'hui la capacité d'overkill : détruire l'ennemi plus d'une fois. Les nations, dans une course effrénée, dépensent environ 3 milliards de dollars par jour pour leur armement. Ces chiffres terrifiants confirment l'adage selon lequel si vis pacem, para bellum, "si tu veux la paix, prépare la guerre". Les pays en développement, en plus de leur devoir d'être prêts à se défendre, trouvent dans l'armée le symbole et le creuset de l'intégration nationale, mais aussi un outil de développement économique. Dans cette thèse, soutenue en 1974 à l'Ecole supérieure de guerre aérienne de Paris et mise à jour dans l'avant-propos où les dernières avancées stratégiques sont indiquées, l'auteur démontre que les nations se sont bâties sur les champs de bataille : "La France fut faite à coups d'épée... Ce sont les armes romaines qui leur portèrent la civilisation..." disait de Gaulle. Toutefois, le rôle de l'armée dans un pays n'est pas de répandre la mort, mais de la prévenir et de participer à des travaux d'intérêt public.

03/2012

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Philosophie

Oublier la guerre civile? Stasis, chronique d’une disparition

La guerre civile traverse les époques, les récits et les discours : de la mythologie racontant le meurtre du frère aux guerres d'aujourd'hui où les civils sont combattants ou cibles, l'expression recouvre une triste réalité jamais anachronique. Pourtant le syntagme lui-même a une histoire courte, où les mots ont commencé par masquer cette expérience de la violence à l'intérieur de la communauté. Les images d'horreur et de massacres ne suffisent pas à recouvrir le concept d'une guerre à l'intérieur ; l'oubli de la stasis, terme et réalité que la Grèce vivait et nommait sans faux-semblant, accomplit ce façonnage du réel qui pâtit dès lors d'un impensé. Héraclite, Thucydide, Platon n'opposaient pas la stasis au polemos comme nous opposons avec une facilité douteuse la guerre civile et la guerre étrangère. La langue latine, et au premier chef la rhétorique de Cicéron, a accompli un geste radical d'oubli : elle a ignoré la stasis et lui a substitué le bellum civile, soluble dans une conception moins effrayante de la guerre et du politique. Ce livre redonne vie à la stasis grecque et analyse l'occultation, opérée par la civilisation latine, d'un aspect de la guerre qui fut, à partir de là, durablement omis. Mais en conjurant le mot, la cité ne se protège pas de ce qu'il désigne et de ce qu'il ignore, et c'est à une stasiologie, étude de la guerre considérée comme stasis, qu'il entend ouvrir.

08/2015

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Critique littéraire

L'Afrique vue par les Romains. Les écrits de Salluste et de Lucain

Ecrit par deux latinistes de souche africaine, cet ouvrage étudie l'image de l'Afrique dans le Bellum Iugurthinum de Salluste et dans la Pharsale de Lucain. A travers les représentations de l'Afrique chez ces deux auteurs latins, ainsi que leur façon de penser l'espace africain et les peuples qui y habitent, c'est aussi l'imaginaire latin et l'imagination des Romains sur cet espace que les deux auteurs de cette critique littéraire ont cherché à cerner. Dans un style fluide, ils ont tenté de répondre à une problématique globale qui s'articule autour de quelques questions, notamment : Quelle image les Romains ont-ils de cet espace ? Sur quels matériaux s'appuient-ils dans l'élaboration de l'image de l'Afrique ? Quelle représentation font-ils de cet espace et de leurs habitants ? Quel dessein poursuivent-ils en présentant telle ou telle image de cet espace géographique ? Est-ce pour des motifs purement étiologiques, exotiques ou didactiques ? L'image de l'Afrique reproduite dans leurs écrits ne représente-t-elle pas les croyances, les mentalités de leur époque sur un espace presque méconnu des Romains ? Quelle poétique de l'espace africain les deux auteurs nous présentent-ils ? Il se dégage de leur analyse que l'image de l'Afrique véhiculée dans ces deux oeuvres latines est une construction idéologique de leurs auteurs basée sur des a priori qui puisent leur `légitimité' dans les légendes, les mythes grecs et romains. Les topiques négatifs auxquels ces écrivains latins recourent présentent l'Afrique comme un espace symbolisant la sauvagerie et la barbarie. Cette image, estiment-ils, a traversé les siècles, et se retrouve au coeur du discours colonialiste des XVIIIe-XIXe siècles, et même, aujourd'hui, dans les médias occidentaux.

03/2017

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Développement personnel

50 exercices pour terrasser ses ennemis

Ce livre est-il fait pour vous ? Parmi les propositions ci-dessous, cochez celles qui vous correspondent. - Votre voisin qui ressemble à Rocky Balboa écoute de la techno à 4 h du matin. - Cela vous arrangerait bien d'avoir un Dédé le Trancheur dans vos relations. - Kevin du marketing se sert dans votre bureau comme dans son frigo. - Votre banquier en plus de nuire gravement à votre compte en banque perturbe votre santé. - "Si vis pacem para bellum", c'est une formule homéopathique non ? - Quand on voit les parents d'Achille-Jason, on ne s'étonne pas qu'il ait volé tous les devoirs de votre fils. - Votre boss a offert LA promo de votre carrière à ce crétin de Jean-Claude pour éviter que vous ne lui fassiez de l'ombre. - Au cours de salsa, Samantha (95 bonnet D) gigote outrageusement devant votre partenaire de vie et de danse. - C'est la 3e fois que le garagiste ricane ouvertement en vous tendant sa facture. - Votre belle-mère est une sorte de Cruella. Avec plus de fourrures. Aucune réponse : vous n'avez aucun ennemi, il faut croire que vous êtes la prochaine mère Teresa. 1 à 5 réponses : la violence c'est salissant, on vous le concède. Mais ce n'est pas une raison pour laisser les malotrus pavoiser. Avec un peu de préparation et quelques techniques simples, éradiquez le nuisible. 6 à 10 réponses : "Qui veut la paix, prépare la guerre" dit la maxime n°5. Hé non, tendre la joue gauche n'est pas le meilleur moyen d'obtenir la tranquillité. Voici 50 exercices qui vous assureront la victoire sur les malintentionnés, escrocs et autres indésirables du quotidien.

10/2012

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Epistémologie

Enseigner la guerre (1918-1945)

" Si vis pacem, para bellum " - la première synthèse sur la formation des militaires en France au sortir d'une guerre (14-18) et à l'orée d'une autre (39-45). En France, si les ouvrages sur les deux conflits mondiaux sont légion (leur déroulement, leurs conséquences, etc.), force est de constater que la formation des militaires n'a jusqu'ici jamais fait l'objet d'une étude approfondie. Pourtant, l'enseignement qui leur est délivré dans les écoles est essentiel pour aborder la guerre, qu'elle soit passée ou future. En effet, quelles conclusions tirer de 14-18, alors que la France sort victorieuse ? Faut-il remodeler l'armée ou, au contraire, pérenniser un système de formation ayant façonné les " officiers de la Victoire " ? Le péché d'orgueil de certains a-t-il contribué à la débâcle de 1940 ? Dès l'armistice du 22 juin, comment le régime de Vichy d'un côté - pour qui il s'agit d'opérer le redressement moral d'un pays ébranlé par la défaite - et les Forces françaises libres de l'autre - qui veulent continuer les combats aux côtés de leurs alliés britanniques, mais aussi ressouder l'armée française depuis l'Afrique du Nord - s'emparent-ils des établissements ? Dans cet ouvrage inédit, Morgane Barey questionne donc la capacité d'adaptation d'illustres institutions (l'Ecole polytechnique, " Saint-Cyr ", l'Ecole navale ou encore l'Ecole de l'air) en période de crises - sociale avec les lendemains de 1918 puis de 1945 ; militaire puis politique avec la défaite de 1940 et ses conséquences. En centrant son étude sur les officiers en formation, l'auteure montre ainsi les ambitions et souhaits formulés par et pour les différentes armées d'une France ébranlée. Une synthèse édifiante qui comble un vide historiographique.

04/2024

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Religion

Les chrétiens, la guerre et la paix. De la paix de Dieu à l'esprit d'Assise

Faisant de la paix une vertu évangélique, le christianisme a cependant aussi entretenu au cours de son histoire des rapports ambivalents avec la guerre, un phénomène de violence et d'affrontement, réglé ou non, commun à toutes les sociétés: des chrétiens se sont battus au nom de Dieu; des clercs ont béni et accompagné les armées; des papes ont appelé à la croisade; des théologiens ont défini ce que devait être la guerre juste, le jus ad bellum. En même temps, les Eglises ont cherché à imposer des règles aux guerriers pour contenir leur violence, depuis la Paix de Dieu jusqu'au respect du droit, le jus in bello. Elles ont aussi proposé leurs arbitrages aux belligérants et souvent prôné la paix – en affirmant ainsi aujourd'hui la nécessité du dialogue inter-religieux, ce que traduit l'esprit de la rencontre d'Assise (1986). Il convient alors d'explorer, dans une perspective historique, sur la longue durée, ces liens complexes, diversifiés et évolutifs que le christianisme a noués avec la guerre et avec la paix et qu'une typologie sommaire peut éclairer. L'étude de la religion du temps de guerre, des justifications religieuses des conflits et des évolutions vers le pacifisme chrétien révèle des figures, des discours et des images. Les premières, depuis les moines- soldats jusqu'aux papes, illustrent les différents types de confrontation vécus par des hommes d'Eglise ou des fidèles, pris entre leur foi et leurs intérêts. A travers les discours apparaissent les argumentaires théologiques ou plus temporels des chrétiens pour soutenir, condamner ou déplorer les guerres. Les images, enfin, sont porteuses des systèmes de représentations qui fondent ou légitiment des engagements en faveur de la guerre ou de la paix. Ce sont autant d'études de cas qui expriment cette ambivalence fondamentale du christianisme vis-à-vis des réalités humaines, et ses tentatives pour la dépasser.

04/2012