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La maison des veilles. Suivi de Hommage au maître de l'énigme

Extraits

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Poésie

Un jour après la vie. Suivi de Maître objet

"Je publie des poèmes depuis quarante ans. Ils correspondent à un besoin que, loin des métaphysiques, je dois qualifier de corporel. Les sens, les nerfs et l'illusion de me libérer de ma peau y participent. Je les nourris de concepts ou d'images, d'idées transmissibles ou de rapports qui demeurent, même pour moi, des énigmes. S'ils suivent un élan, ils naissent aussi d'une volonté à combattre la volonté : on aime s'investir d'un pouvoir extérieur à soi. Je discerne dans cette longue pratique deux sollicitations, ou complémentaires ou contradictoires. L'isolement et l'orgueil exigent du poète une écriture sans compromis : tout y est réinvention, du mot à l'économie de l'espace, en passant par le rythme inouï et la désobéissance souveraine. Le poème devient une forme de l'absolu, proféré mais secret. Je m'y recrée et espère vous y recréer, par une contagion dont je suis le maître et la victime. Je m'y donne ; je vous y prends. Quelquefois, à cette ascèse je préfère un chant qui en rappelle d'autres. Je ne bannis pas la rime qui me rapproche des hommes, sans avoir à les malmener. Alors, une solidarité séculaire me console de tout ce qui dans mon anatomie - j'y tiens - m'apparaît comme fragile. Le bouvreuil emprunte les ailes du passereau pour mieux organiser, non plus son vol, mais le leur, soudain double. La rime me porte et me confère une étrange liberté", Alain Bosquet, juin 1983.

02/1988

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Poches Littérature internation

La dame au petit chien. suivi de Au royaume des femmes

Seul pour un bref séjour au bord de la mer Noire, Gourov ne recherchait qu'une aventure sans lendemain. Mais rentré à Moscou, il ne parvient pas à oublier la jeune femme, mariée comme lui, rencontrée là-bas. Il la retrouvera et cet amour s'installera dans leur vie presque malgré eux. L'amour, Anna Akimovna, l'héroïne d'Au royaume des femmes, riche héritière d'une usine, ne l'a pas encore rencontré. Inhabile aux rapports d'argent, gênée de son opulence face aux pauvres, elle croit un moment trouver dans Piménov, un de ses employés, l'homme rassurant et solide qui pourrait prendre en mains sa vie...

09/2014

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Théâtre

Noces de sang. Suivi de La maison de Bernarda Alba

Noces de sang. Lorca s'inspire d'un fait divers relaté en juillet 1928. Mais c'est seulement en 1931 qu'il commencera à composer sa pièce. Il la termine au cours de l'été 1932. Créée le 8 mars 1933 à Madrid où elle remporte un grand succès, acclamée pendant des mois à Buenos Aires, elle a fait le tour du monde et malheureusement son triomphe a obscurci tout le reste de l'œuvre de Lorca, en associant durablement pour la majorité son image à celle d'un auteur exclusivement andalou, folklorique. Non qu'elle manque de beauté: noble architecture, scènes admirables, mais elle trahit une excessive volonté de flatter le goût du public par sa frénésie déclamatoire et son lyrisme facile. La maison de Bernarda Alba. Parti d'un souvenir d'enfance qui l'avait beaucoup impressionné, Lorca s'était proposé de composer un simple "documentaire photographique" sans "une goutte de poésie". Mais son génie en a décidé autrement. II a fait La maison de Bernada Alba, comme l'affirme son frère don Francisco, peut-être la plus poétique de toutes ses pièces. En déplaçant l'action du début du XXe siècle à la veille de la guerre civile dont les premiers crépitements se font entendre, il instaure un climat brûlant de revendications, de troubles sociaux qui s'étend aux domestiques exploités, à toutes les femmes dominées. La prose incandescente brûle toutes les fleurs du lyrisme. Et la poésie dès lors se nomme révolte.

04/2006

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Biographies

La maison des aïeules, suivie de Mademoiselle Anna très humble poupée

La maison des aïeules ; suivie de Mademoiselle Anna très humble poupée / par Pierre Loti,... ; illustrations par André Hellé ; [coloris de J. Saudé] Date de l'édition originale : 1927 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

04/2022

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Livres-jeux

Enigmes au coeur de l'art

Dans ce livre très astucieux, 25 affaires des plus énigmatiques sont racontées. L'auteur propose au lecteur de les résoudre en solo ou en équipe, en plongeant dans l'univers de l'art. Tous les indices se situent dans les textes ou dans les dessins. Le lecteur est ainsi mené à résoudre des mystères faisant appel à sa logique, à son sens de l'observation et à son imagination. Chaque énigme est accompagnée de textes pour introduire la période artistique évoquée. Le lecteur voyagera ainsi de la Préhistoire (peinture rupestre) en passant par l'art Ancien, l'art médiéval, la Renaissance jusqu'à nos jours (l'art numérique). Les textes donnent aussi la parole à différents acteurs du monde de l'art (galeriste, conservateur, graveur, encadreur, faussaire etc.) Un seul mot d'ordre : se creuser les méninges pour déceler tous les mystères qui entourent le monde l'art ! Nouveauté : les réponses sont cachées grâce à l'écriture miroir. En plaçant le miroir (inclu dans le livre) sous la question, la réponse devient lisible. L'utilisation du miroir n'est pas anodine, c'est un élément important dans l'histoire de l'art. Amusant et ludique !

04/2022

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Tunisie

Généalogie des villes de Tunisie. Au carrefour de deux mondes

Tunisie : terre conquise et reconquise. Aux portes du Maghreb, voici le pays le plus profondément urbanisé de la région, et sa population conserve de longue date une forte tradition citadine. Voyager à travers les villes et villages de la République tunisienne permet de découvrir, stratifiée comme un mille-feuille de brick, sa riche histoire. Une foule de détails rappellent cette destinée carthaginoise, punique, berbère, romaine, vandale, byzantine, arabe, turque, mais aussi, pour une autre lignée plus brève : italienne, espagnole, française... Dans ce creuset se mêlent différentes cultures qui donnèrent aux villes de Tunisie des appellations différentes. L'autrice s'ingénie à en retrouver toutes les origines et les significations et, au final, offre ici un récit en kaléidoscope de ce pays charnière au carrefour de deux mondes. Croisant de nombreuses sources, mémoires et toponymies, l'ouvrage se présente comme un dictionnaire historique enrichi d'illustrations et d'une iconographie à la fois scientifique et esthétique. Ce livre est un must pour tous les amoureux de la Tunisie, d'ici et de là-bas.

03/2021

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Poésie

La saison manquante suivi de Amour Jacaranda

La Saison manquante, suivi de Amour-jacaranda : Abdellatif Laâbi revient sur le plus intime de la condition humaine. Amour et combat constitue les ferments de la quète de liberté du poète qui se fera, pour l'occasion, impertinent et, pourquoi pas, jouissif.

05/2014

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Sciences politiques

La diplomatie des villes. Des anciennes cités-Etats aux villes globales

Cet ouvrage propose un examen complet des principales orientations de la diplomatie des villes. La première partie offre une analyse du contexte de la politique globale au sein duquel se développe, de nos jours, la diplomatie des villes. La seconde partie approfondit les caractéristiques essentielles de la diplomatie des villes à partir d'une perspective internationale et comparative. Les remarques conclusives tracent un parcours de réflexion qui, au-delà des systèmes nationaux, soutient l'importance cruciale de la mise en oeuvre d'une approche intégrée "glocale".

06/2022

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Science-fiction

Choléra. suivi de De l'adaptation des épidémies - Au bonheur public

"12 mai - C'est fort bizarre. Je suis débarrassé de l'anxiété qui me tenait depuis trois mois ; maintenant que je le sais ici, près de moi, tout près, j'éprouve une sorte de soulagement, le plaisir de l'entière certitude. - On a essayé d'étouffer la nouvelle, il n'y a pas eu moyen : 5 décès hier, 30 aujourd'hui, 70 cas signalés. Il commence ses coupes. Je suis allé à la gare du Nord, voir le départ des trains. Une écoeurante odeur de phénol s'exhalait des bagages ; sur le quai, les voyageurs, en petits groupes, s'observaient avec des yeux méfiants, en gardant leur mouchoir collé aux lèvres. Puis ils se sont rués sur les wagons. Les trains partent bondés". Quelque chose du Horla de Maupassant, de la Modeste Proposition de Swift... et le récit, anticipé de 130 ans, du Grand Confinement.

02/2023

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Sciences historiques

Au coeur des maisons

Rien de plus révélateur qu'une maison. Donatella Caprioglio fait partie de ceux, nombreux, qui sont perpétuellement en quête de la demeure idéale. Elle en a fait le sujet d'un livre à la fois personnel et universel sur les maisons, avec, en filigrane, nos souvenirs de la maison d’enfance, lieu de mémoire peuplé de fantômes.Il existe autant d’espaces que de manières de les habiter. Cette diversité est le fruit du rapport affectif qui nous lie à elles. La maison est la métaphore de notre espace intérieur, trop vide ou trop encombrée, désordonnée ou maniaque. Elle reflète aussi les relations qu'entretiennent les personnes qui y vivent.A travers cette promenade intime au cœur des maisons, l’auteur nous propose une méditation qui, au fil de la lecture, nous éclaire sur le lien profond entre maison et identité. 

03/2012

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Critique littéraire

L'énigme des premières phrases

"Longtemps, je me suis couché de bonne heure". "Aujourd'hui, maman est morte". "DOUKIPUDDONKTAN, se demanda Gabriel, excédé". Voici trois premières phrases parmi les plus célèbres de livres ô combien célèbres. Elles ouvrent A la recherche du temps perdu, L'Etranger et Zazie dans le métro. Ce livre en contient quinze autres (plus deux interludes) que Laurent Nunez examine, mot après mot, signe de ponctuation après signe de ponctuation. Tout ce que l'on peut deviner d'une oeuvre, et peut-être de son auteur, n'est-il pas contenu dans "sa" première phrase, si on l'étudie bien ? Dans les mots mêmes, leur arrangement, leur harmonie, se révèlent une pensée et l'homme (ou la femme) même qui l'ont conçue. Le nouvel essai de Laurent Nunez, aussi instructif qu'ironique, aussi passionnant que savant, interroge les premières phrases des chefs-d'oeuvre de la littérature française. Et l'on verra : un homme fou d'une femme (Racine) et une femme folle d'un homme (Duras) ; un écrivain qui perd sa mère (Camus) et un poète que sa mère abandonne (Baudelaire) ; des rôles qu'on joue très mal (Gide) et d'autres qu'il est interdit de jouer (Molière) ; des nuits où l'on est ivre (Mallarmé) et des lendemains où l'on n'arrive même plus à écrire (Barthes) ; le début d'une belle histoire (Zola) et la possible fin de l'histoire du monde (Aragon) ; la solitude (Rousseau) et l'amitié salvatrice (Flaubert), un homme qui n'ose pas dire qu'il est "hormosessuel" (Queneau) et un autre qui le dit à sa façon (Proust). Bref, la vie même, cette vraie vie qui comme dit Proust est la littérature. Italo Calvino avait écrit Comment lire les classiques ?, voici le "comment (re)lire les classiques ?" des temps nouveaux.

03/2017

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Littérature française

L'énigme des deux jumeaux

Que diriez-vous de découvrir une partie de la France et plus particulièrement le Pays basque ? Participez à la recherche de cet homme disparu subitement sur l'une de ces plages qui bordent le littoral basque. Qu'est-il advenu de cet homme qui occupait un poste important à Biarritz ? Saurez-vous accompagner Patxi Sandurru ce brigadier qui va tout mettre en oeuvre pour comprendre qui se cache derrière le nom de Jacques Bordex ? Est-il réellement l'homme que tout le monde respecte pour sa brillante carrière ? Que cachent ses différents changements de société ?

04/2022

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Policiers

L'énigme des Blancs-Manteaux

" 1761. Nicolas Le Floch quitte sa Bretagne natale pour se mettre au service de M. de Sartine, chef des affaires secrètes de Louis XV. Nicolas prend vite du galon. Le voilà plongé dans une ténébreuse affaire. Meurtres, vols, corruption : secondé par l'inspecteur Bourdeau, il dénouera peu à peu les fils de cette enquête, qui touche de près le roi et la Pompadour... "Françoise Presles, La Vie" Un nouveau Maigret est né : Nicolas Le Floch. [...] Jean-François Parot, qui a conçu cette série de polars historiques, connaît admirablement le Paris du XVIIIe siècle ainsi que les procédures judiciaires de l'Ancien Régime. "Evelyne Lever, Madame Figaro

03/2001

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Poches Littérature internation

Récits de la maison des morts

En 1849. Dostoïevski est condamné au bagne pour ses idées. Déporté au sud-ouest de la Sibérie, dans la forteresse d'Omsk, où il passe cinq ans, il y côtoie des criminels et des hommes du peuple, des voleurs aussi bien que des condamnés politiques. De cette expérience douloureuse, où l'impossibilité d'être seul rivalise en cruauté avec les sévices et le travail forcé, l'auteur tire les Récits de la maison des morts. Dans ce roman largement autobiographique, qu'il fait passer pour des notes retrouvées chez un ancien forçat, Goriantchikov, Dostoïevski déploie une galerie de portraits où sont anticipés les personnages les plus marquants de ses oeuvres majeures. Son humanisme et son sens de l'observation font de ces récits consacrés au système pénitentiaire du temps des tsars un témoignage de première importance sur l'expérience concentrationnaire.

01/2014

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Poches Littérature internation

Souvenirs de la maison des morts

Traduit par Henri Mongault et Louise Desormonts. La maison des morts, c'est le bagne de Sibérie où Dostoïevski a purgé comme condamné politique une peine de quatre années de travaux forcés et six ans de " service militaire ". Mais la maison des morts, c'est aussi le Goulag. La Russie de Dostoïevski est déjà celle de Staline, de Beria, de Vychinski, des grands procès où les accusés rivalisent devant leurs procureurs de contrition et d'aveux. Comme l'écrit Claude Roy, " la Russie d'hier et la Russie moderne sont exemplaires dans la science du " châtiment "sur deux points essentiels. Elles ont poussé plus avant peut-être qu'aucun peuple l'art de donner aux tortionnaires cette paix de l'esprit que procure la bonne conscience. Elles ont su simultanément contraindre un nombre important de leurs victimes, non seulement à subir sans révolte les épreuves infligées, mais à donner à leurs tourmenteurs un total acquiescement. "

06/2007

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Critique littéraire

Souvenirs de la maison des mots

Cet ouvrage est consacré à la défense de certains auteurs plutôt que d'un certain métier, celui de correcteur en l'occurrence, quoique tout soit lié. C'est une promenade sans autre but que le plaisir à travers la littérature mondiale, au gré du hasard, de Melville à Dostoïevski, de Diderot à Casanova, de Tocqueville à Proust, d'Orwell à Céline et à Bernhard, de Balzac à Stendhal et à Marx. C'est une dénonciation des penseurs, intellectuels, littérateurs faussaires de notre époque. C'est-à-dire de la presque totalité de ce qui est publié en France et ailleurs.

06/2011

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Poésie

Souvenirs de la maison des fous

Novembre 1943. Menacé par ses activités clandestines, Paul Eluard doit quitter Paris et disparaître. Il trouve refuge chez Lucien Bonnafé, psychiatre résistant et visionnaire, directeur de l'asile des fous de Saint-Alban, et passera des mois caché parmi les aliénés... Dans L'Immaculée Conception, en 1930, Paul Eluard et André Breton offraient cinq variations autour des délires recensés par la psychiatrie pour démontrer qu'il n'y avait pas de frontière entre le langage des prétendus fous et celui des poètes, sauf aux yeux de la société. En novembre 1943, lorsque Eluard est accueilli à Saint-Alban par Lucien Bonnafé, épisode auquel fait allusion Xavier Donzelli dans Les Messagers également publié en janvier 2023 chez Seghers, les temps ont changé : l'euphorie et les provocations du surréalisme sont loin, la France est occupée, la poésie doit s'engager. Face aux fous de l'asile public départemental de Lozère, aux aliénés atteints cette fois réellement de débilité mentale, de manie aiguë, de paralysie générale, de délire d'interprétation ou de démence précoce, Eluard se fait confident, interlocuteur. Rappelons-nous que le poète du lyrisme amoureux est aussi le poète de l'indignation face aux injustices et de la compassion envers les malades des sanatoriums, les soldats du front, les femmes tondues de l'après-guerre et de toutes les misères du monde. Dans ce long poème composé de sept parties et d'un épilogue, " Le Cimetière des fou ", il dresse sept portraits de malades servis par les dessins poignants de Gérard Vulliamy, artiste peintre graveur proche du surréalisme et futur gendre du poète. Empreints d'une profonde empathie, ces textes font résonner des voix : celle du poète confronté au mystère impénétrable de l'esprit perdu, " chantant la mort sur les airs de la vie ", ou celle des fous en proie aux hallucinations, à des absences ou à de rares éclairs de lucidité. " Le mannequin en croix est-il un homme ou moi ? " s'interroge une jeune femme triste ; " Peut-être aurais-je pu cacher cette innocence qui fait peur aux enfants ? " laisse entendre une vieille dame dont " un mur de regret cerne l'existence ". Saint-Alban, berceau de la psychiatrie institutionnelle, fut le premier lieu en France à offrir une prise en charge thérapeutique aux fous devenus des patients - à une époque de restrictions qui allait voir mourir de faim la moitié de la population des asiles, soit quarante mille personnes. De la même façon, à travers ce texte, Eluard arrache ces individus à une solitude carcérale et les rend à leur humanité. A notre époque, à l'heure de l'inflation sécuritaire dans les hôpitaux psychiatriques, ses Souvenirs de la maison des fous nous rappellent plus que jamais à notre esprit et à notre humanisme.

01/2023

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Cosmétiques, coiffure

Savon, shampoing, gommage faits maison

Des savons en DIY 100% naturels et bio, totalement fait maison, voici la promesse de ce livre dont l'auteur a à coeur le développement durable et tous comportements éco-responsables. La peau est l'organe vital le plus important du corps humain et c'est celui que nous sollicitons le plus. C'est pourquoi, elle mérite une attention toute particulière.

06/2021

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Vins, alcools, boissons

Faire sa bière maison. Passer maître dans l'art de brasser sa bière maison

Lagers, ales, bières de froment ou styles mixtes, découvrez 100 recettes de bières du monde entier, toutes illustrées en photos et accompagnées de conseils de brasseurs. Des pas-à-pas détaillés vous expliquent en images chaque étape du processus, que vous soyez débutant ou déjà brasseur amateur. Chaque recette est conçue pour un brassage tout grain, avec une variante à l'extrait de malt. Muni de chapitres très complets sur les ingrédients et le matériel, ce livre vous donne toutes les clés pour fabriquer une bière artisanale parfaite.

09/2020

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Chimie

La Chimie au quotidien. De la cuisine au salon, des molécules plein la maison

Que se passe-t-il quand la mayonnaise "monte"? Comment des cristaux peuvent-ils être liquides ? Pourquoi le savon lave-t-il ? Dans le papier de ce livre, dans l'encre d'impression, dans le gaz contenu dans la lampe qui éclaire la pièce, et même dans le système nerveux qui vous permet de lire ces lignes... la chimie est partout ! Grâce à des explications claires dans des termes simples, cet ouvrage nous aide à mieux comprendre les phénomènes qui nous entourent.

02/2021

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Littérature étrangère

La maison des souvenirs et de l'oubli

1945 : Fin de la Guerre. La vérité éclate et la planète découvre avec stupéfaction les atrocités perpétrées par les nazis, ainsi que l'existence des camps de concentration et d'extermination un peu partout en Europe. Bien des années plus tard, lors d'un voyage à New York, quatre hommes originaires de Serbie font connaissance et se lient d'amitié. Ils se nomment Albert Vajs, Misa Volf, Solomon Levi et Urijel Koen. Leur point commun ? Contrairement à leur famille et à leurs amis, ils ont, eux, miraculeusement survécu à l'Holocauste dans des circonstances singulières, alors qu'ils n'étaient encore que des enfants. Aujourd'hui, ils représentent la dernière génération de survivant. A travers des extraits de journal intime, de lettres, de confessions et la découverte d'une mystérieuse boîte métallique, le lecteur parvient peu à peu à démêler les fils qui relient ces quatre destinées extraordinaires ainsi que les traumatismes et leur impuissance face aux questions existentielles qui les obsèdent : Qui suis-je vraiment ? Pourquoi ai-je survécu alors que tant d'autres sont morts ? Que signifie réellement être "juif", ce mot qui semble échapper à toute définition simple et concise ? Pourtant, derrière ce questionnement qui semble ne relever que de l'intime, Filip David nous propose une réflexion bien plus vaste et universelle : Quelle est la nature profonde du mal qui se perpétue à travers les siècles et où trouve-t-il son origine ? Comment transmettre et dire l'indicible ? Enfin, qu'est-ce que vivre ? Des interrogations qui reflètent le conflit entre la nécessité de se souvenir et l'intense désir d'oublier. "Certaines des chroniques racontées ici sont réelles, d'autres pas. Mon intention était de relater l'histoire de l'Holocauste en Serbie, très mal connue. Plus de 85 % des juifs serbes ont péri entre 1941 et 1942. Par la suite, j'ai compris que c'était aux historiens d'effectuer ce travail, qui nécessite des recherches énormes en s'appuyant sur les archives. L'idée du roman s'est donc élargie et a trouvé pour pivot la question suivante : Est-ce que le mal est quelque chose de "banal", comme l'a écrit Hannah Arendt, ou sa nature est-elle plus terrible, plus incertaine, d'ordre "métaphysique" ?". (Filip David).

04/2017

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Littérature française

Hommage à l'Amiral Leblanc. Suivi de ses Pensées et proclamations

Guy Cabanel a participé dès 1958 au mouvement surréaliste avec son ami Robert Lagarde, qui illustre son premier ouvrage, A l'animal noir. Il rend, avec ce livre, hommage à l'amiral Leblanc. C'est finalement à l'héroïque capitaine Achab que notre Amiral fait penser. Evoquer la figure du boiteux prométhéen de Moby Dick, c'est donner la dimension mythologique de l'Amiral Leblanc, et rappeler que tout mythe a son fabulateur. Ce rôle, Guy Cabanel le tient avec un humour "imperturbable", comme le dit Alain Joubert dans sa présentation. La solennité en fait partie, tout comme ces fragments narratifs – l'ouvrage est entièrement fragmentaire – où Cabanel semble plagier son propre tempérament poétique tout en s'y abandonnant. (François-René Simon, La Quinzaine littéraire, 2009)

12/2009

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Littérature française

Au pays des borgnes. Suivi de Postures calédoniennes

Franck Archemont, ancien photographe de guerre, revient sur la terre de son enfance, en Nouvelle-Calédonie, au décès de son père. Il prend en charge, aux côtés de sa mère, la propriété familiale isolée dans la brousse calédonienne. Ce n'est pas son univers ; l'élevage, le travail du bétail, c'était le travail et la passion de son père et de ses deux frères, tous trois disparus. Mais cette terre du bout du monde finit par vaincre ses résistances, il y retrouve ses marques, se construit une nouvelle vie. C'est dans cette renaissance forcée que les événements vont le précipiter rapidement dans les abîmes insondables du non-dit, des vérités tronquées et des découvertes sur la complexité de l'âme calédonienne. Acteur et témoin, tour à tour pantin d'un quotidien qui lui échappe et enquêteur sur son passé familial, Franck, puis des années plus tard Sarah, sa fille, lèvent à leur manière un voile sur la pudeur d'une société océanienne multi raciale, sur les destins mêlés, enchevêtrés, communs, qui sauront peut-être venir à bout des violences du passé pour inventer une autre histoire à vivre.

10/2018

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Sciences de la terre et de la

Promenade au Jardin des plantes, suivi de Louise

Promenade au Jardin des plantes, suivi de Louise, par René de Montlouis Date de l'édition originale : 1865 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

09/2020

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Littérature française (poches)

L'énigme de la diane. De l'Iroise aux Caraïbes

En cette nuit de 1781, Basile, jeune Breton, est entraîné dans les rues malfamées de Brest par son oncle. Pour cet orphelin appelé à prendre sa succession à la tête des Conserveries pontécruciennes, la virée tourne mal : après une nuit d'ivresse, le voilà embarqué de force à bord de la Diane, frégate française en partance pour les Caraïbes. Sous les ordres du capitaine Selcy, le garçon va faire le dur apprentissage du métier de marin. Une grande aventure à travers les mers du monde entier s'ouvre alors à lui.

06/2012

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Théâtre

Pauvre maison de nos rêves suivi de L'Herbe tendre

Pauvre maison de nos rêves : Wil et Tifann, Berlinois, sont de ces gens pour qui la maison de leurs rêves va se révéler être le tombeau de leurs illusions et de leurs serments les plus doux. L'Herbe tendre : Ma pomme discute avec Moi-même du lopin de terre nouvellement acquis. Il rêve de le transformer en jardin potager et s'y emploie intensément, délaissant toute autre activité. Mais après la possession et le régal du labeur accompli, vient le temps de l'abandon. Un journal intime en forme de pièce agricole.

04/2010

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Littérature française (poches)

La Maison du père. (suivi de) Vers l'Ouest. Souvenirs de jeunesse

Si le titre Souvenirs d'enfance et de jeunesse n'était pas celui de l'un des chefs-d'œuvre de la littérature française, je l'aurais emprunté à mon compatriote Ernest Renan et donné à ce livre. Je ne peux mieux faire, pour indiquer au lecteur ce qu'il trouvera dans les deux ouvrages rassemblés ici, que de citer deux critiques qui les saluèrent à leur publication : La maison du père " Ce livre qui s'achève quand le héros a quinze ans est le récit d'une vocation. Ce qu'il nous avoue ce sont les conditions de naissance d'un écrivain (...). Le plaisir nostalgique que procure la lecture des livres de Michel Mohrt est lié au fait qu'ils sont la seule manière de retrouver l'enfance (...). Ainsi la littérature est-elle devenue La maison du père celle que le fils a édifiée pour son Père, celle où il retrouve un bonheur originel... " Jean Roudaut, Le Magazine littéraire Vers l'Ouest " En nous livrant, à la première personne, des souvenirs qu'il avait glissés, ici et là, dans ses romans, Michel Mohrt nous propose une explication de soi, de son itinéraire, de ses bonheurs, de ses répugnances, de ses déceptions. Ce regard sur soi est d'une belle probité. Mohrt est à la fois précis et fidèle à son passé, d'une constante modestie, et il nous révèle des événements qui le blessèrent, sans polémique ni complaisance. " François Nourissier, Le Figaro Magazine.

09/1990

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Religion

La vérité vous rendra libres. Hommage au Cardinal Georges Cottier, o.p. Théologien de la Maison Pontificale

" Je vous adresse mes plus vives félicitations à l'occasion de l'hommage qui vous est rendu et je m'y associe avec une particulière reconnaissance pour le travail que vous accomplissez avec dévouement depuis de longues années au service du Saint-Siège. Rendant grâce au Seigneur pour la mission particulièrement délicate que vous réalisez, je tiens à vous redire combien j'apprécie votre collaboration, marquée notamment par votre sens de l'Eglise et par votre souci d'approfondir inlassablement les mystères de la foi, selon les enseignements de saint Thomas d'Aquin et en prêtant une grande attention aux situations contemporaines ". Jean-Paul II. " Un trait original de ce livre d'hommage au cardinal G.-M. Cottier est qu'il rassemble des écrits qui ne portent pas seulement la lumière de la raison mais tout autant la chaleur du cœur. Ces noms, au renom souvent prestigieux, ont en effet répondu d'abord à l'appel d'une sorte de conspiration de l'amitié : on les sent heureux de se donner la main dans une grande chaîne d'affinités de l'esprit. " L'art - ou le devoir ingrat - du Père Cottier est de s'effacer le plus possible derrière la pensée des autres qu'il a souvent aidé à se préciser ou à s'habiller. Sa tâche de théologien de la Maison pontificale ne laisse pas deviner l'ampleur et la gravité des questions abordées au jour le jour. Prêtre disponible pour toutes les rencontres, attentif aux silences ou aux cris des malheureux et des pauvres, théologien en coulisse mais non en chambre, le Père Cottier garde la vigueur et la verdeur d'un regard circulaire qui embrasse les moindres recoins d'un monde en détresse ". Cardinal Roger Etchegaray.

09/2004

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Littérature Espagnole

Une beauté vulgaire. Suivi de Le bon maître

Dans une rue de Buenos Aires, une feuille se détache d'un arbre. Au cours de sa chute, elle va rendre compte des vies des habitants des immeubles devant lesquels elle passe. Ailleurs dans la ville, rue du 14 Juillet, dans un quartier autrefois industriel abritant des travailleurs anarchistes duquel il ne reste rien, ni usines, ni ouvriers ni idéologies, seul le fantôme de la modernité, du progrès, de l'égalité, de la liberté, qui le hante encore, trois chiens sont dans un jardin. Leur maître les observe tandis qu'ils creusent, dans la terre et dans la mémoire. Ces deux romans provocateurs, fous et pourtant extrêmement lucides, révolutionnaires par leur langue et leur ambition viennent composer le portrait multifacettes de notre époque. Ils nous poussent à réfléchir sur nos illusions, nos peurs, la marchandisation globale et jusque de nos désirs, du concept même de désir.

03/2022

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Littérature étrangère

La maison de Matriona suivi de Incident à la gare de Kotchétovka

La Maison de Matriona est non seulement l'une des plus belles œuvres d'Alexandre Soljénitsyne, mais aussi une de celles qui ont exercé la plus grande influence sur la littérature soviétique. Kolkhozienne à la retraite, Matriona cache un cœur pur et une âme de juste. Toujours prête à rendre service malgré la misère où elle vit, elle recueille chez elle le narrateur, un instituteur de retour des camps qui va trouver dans son isba la Russie des profondeurs, une Russie humble et encore imprégnée de christianisme. Le tragique pénètre dans le récit lorsque apparaît le beau-frère de Matriona, Thaddée, un vieillard rapace qui jadis a été son fiancé... Cette chronique naïve au lyrisme populaire signifia pour la Russie le début d'une quête de ses racines qui avaient été volontairement détruites par la révolution. Dans Incident à la gare de Kotchétovka, le lieutenant Zotov, adjoint du commissaire d'une grande gare de triage pendant la Seconde Guerre mondiale, voit surgir au milieu des convois de soldats hagards un homme affable, en civil, qui a perdu ses papiers militaires. Zotov est conquis par ses bonnes manières. Mais, peu à peu, le doute s'insinue... Dans ce texte encore assez marqué par l'ère soviétique perce une compassion contraire à l'esprit du " réalisme socialiste".

05/2007