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A la gloire de mon père Capitaine N'zé Kandé

Extraits

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Marques et modèles automobiles

La Renault 6 de mon père

Elle n'a jamais eu la prétention de révolutionner la technique automobile ni de remporter les grands prix d'élégance, pas plus qu'elle n'a voulu renverser la table en proposant une nouvelle façon d'appréhender l'automobile, comme ont pu le faire certaines voitures de la Régie Renault. Non, la Renault 6 avait l'ambition d'offrir aux propriétaires de Renault 4 (par exemple...) quelque chose de mieux fini, de plus joli et de plus confortable. Bref, une voiture avant tout pratique, habitable et accessible à presque toutes les bourses. Avec aussi, certainement, l'idée derrière la tète de tailler des croupières à la nouvelle rivale "d'en face" : la Citroën Dyane, apparue un an plus tôt. Ainsi, la Renault 6 n'a pas démérité, avec près de 1 750 000 exemplaires au compteur. Populaire en France dans les villes comme dans les campagnes, la Renault 6 a aussi séduit nombre d'automobilistes à l'exportation, notamment en Belgique, en Espagne, en Argentine et en Colombie, où elle fut assemblée. C'est finalement une carrière riche qu'a connu la Renault 6, et que nous vous proposons de découvrir à travers cet ouvrage.

09/2021

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Théâtre - Pièces

La langue de mon père. 2022

Une langue peut-elle être un gilet de sauvetage ? Déterrer les mots de ses ancêtres peut-il éclairer des rapports à sa famille et à son identité ? Comment le racisme quotidien sème la honte et la violence chez les individus ? La Langue de mon père est l'histoire d'une femme récemment immigrée en France. Tandis qu'elle attend ses papiers, l'apprentissage de la langue maternelle de son père, le kurde, la fait voyager vers des zones d'ombre de son passé. En apprenant cette langue longtemps interdite dans son pays natal, elle commence à interroger son rapport à son père qu'elle n'a pas vu depuis des années et le racisme quotidien avec lequel elle s'est construite en tant qu'enfant. Pendant ce voyage mental entre la Turquie et la France, elle porte le français comme une protection, une langue que personne d'autre dans sa famille ne parle ni ne comprend ; une langue qu'elle ne maitrise pas totalement. Sultan Ulutas Alopé, née en 1988 à Istanbul, est une comédienne d'origine turque et kurde. Après des études d'ingénierie puis en art dramatique à Istanbul, elle multiplie les expériences dans de nombreuses productions en Turquie. A partir de 2017, elle étudie à l'ENS de Lyon puis au CNSAD de Paris, sous la direction d'Olivier Neveux, Anne Pellois et Nada Strancar. Elle mène désormais ses propres projets. La Langue de mon père, présenté à Contre-sens à Lyon en 2022, puis créé à la Manufacture à Avignon en 2023, est programmé au Théâtre national de Strasbourg en 2024.

07/2023

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Marques et modèles automobiles

La Citroën BX de mon père

En 1982, Citroën revient de loin. Dorénavant dans le giron de PSA, la firme se devait de concevoir une automobile marquante et candidate au succès. Le défi sera double, car la nouveauté doit conserver certaines des valeurs de la marque pour ne pas effaroucher les fidèles, tout en se défaisant de "fantaisies" afin de conquérir un public plus large. Dès le début, la BX sera très vite épaulée par des versions embarquant, certaines pour la première fois, une techno logiePeugeot. La Sport, la GTI, la 16 Soupapes, la 4x4, sans compter le break fabriqué par Heuliezet la 4TC formeront une famille que nous vous proposons de redécouvrir. Cet ouvrage, via des documents, des photographies et des témoignages, retrace la carrière de cette Citroën, y compris en compétition. Avec ses lignes tendues à l'italienne, elle rencontrera un beau succès et permettra à Citroën de retrouver le devant de la scène. La BX a sauvé le double chevron, ses successeurs Xantia et Xsarafiniront de le remettre sur pied.

06/2022

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Sports

La Peugeot 605 de mon père

Ligne féline, châssis félin, la nouvelle 605 concentre tous les acquis de la série "05", elle repousse les limites de la physique sur la route. Personne n'avait conduit avant elle une grande auto aussi diaboliquement agile, aussi diaboliquement efficace dès que la ligne droite se fait courbe et ce dans le plus grand confort. Pure magie, pur plaisir. Une vraie révolution. Trente années après savenue au monde, la modernité de la 605 est intacte tant sur le plan technique que sur celui du style extérieur ou intérieur. Retour sur une grande lionne fascinante qui fait pour l'éternité honneur à son constructeur.

01/2019

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Marques et modèles automobiles

La Renault Clio de mon père

Clio : nom d'une muse de la mythologie grecque... En 1990, c'est ainsi que la Régie Renault, sur la voie du redressement, décide d'appeler sa nouvelle "voiture à vivre". Cette muse, la mieux équipée du monde, dotée d'une riche palette de moteurs, a tout pour accéder à l'Olympe. De par son gabarit, elle va bouleverser les codes des petites voitures et tirer un trait définitif sur deux générations de Renault 5. Qui aurait pu imaginer que son prénom deviendrait le nom générique des petites Renault sur cinq générations ? C'est que la Clio a "tout d'une grande", qu'elle ait trois ou cinq portes, elle se plie à tous les desiderata. Assurer le quotidien de la famille (de la RL 1.1 à la RT 1.7), livrer des marchandises dans les centres urbains encombrés (Société), gagner en compétition (Clio Coupe, Clio Maxi...), ou encore tester de nouvelles solutions de mobilité (Electrique), telles sont les nombreuses facettes de la personnalité de cette surdouée. Au fil des années, elle a su faire oublier les références antiques pour mordre à belles dents dans son époque, et en anticiper les mutations.

10/2021

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Littérature française

La maison de mon grand père

La Maison de mon grand-père décrit certaines phases de la vie de l'auteur : sa jeunesse, sa formation, sa vie professionnelle d'enseignant et dans la haute administration du pays et, enfin, son engagement dans la voie soufie, ses relations avec les Tijanis.

02/2023

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Divers

Sur la tête de mon père

Avant de devenir un chanteur au succès éphémère dans les années 1970, Jean-Claude Rémy avait déjà pas mal de kilomètres au compteur, et ce malgré ses 25 ans. Fils d'un Français parti faire carrière en Indochine et d'une nourrice indigène, il est l'un de ces " petits bâtards " issus de la colonisation, comme il aime le dire. Une fois débarqué en métropole, Jean-Claude a dû se construire malgré une mère restée au pays et un père à l'affection peu démonstrative. Puis vint l'âge adulte, la paternité au Maroc, le retour en France, la chanson sous le patronage de Pierre Perret, le succès entrevu qui finalement se refuse à lui, les amours, les emmerdes, mais toujours l'appel de l'aventure et ce goût pour l'ailleurs... Après Sur la vie de ma mère, Gaston nous conte la destinée tout aussi passionnante de son père. Et même si cette figure paternelle n'aura finalement pas été très présente dans la vie de son fils, ce dernier brosse avec tendresse le portrait de cet homme singlier, doté d'un appétit gargantuesque pour la vie. .

03/2023

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Sports

La Simca Aronde de mon père

Tout au long de sa carrière, du 31 mai 1951 au 22 mai 1963, l'Aronde n'a pas cultivé la discrétion. Premier modèle original d'une marque nouvelle, elle a porté très haut les couleurs de Simca qui, en 1955, est parvenue au second rang des constructeurs français derrière Renault. Née avec la reconstruction, l'Aronde a créé une nouvelle philosophie de l'automobile, celle qui privilégie le marketing au détriment de la technique. Certes moderne mais jamais audacieuse, la Simca a conquis une clientèle et l'a conservée, sachant renouveler constamment l'attrait de la nouveauté dans son aspect. Moins bourgeoise que Peugeot qui n'avait que la trop sage 203 à lui opposer, plus rassurante que Panhard dont la brillante Dyna était entachée par une fiabilité douteuse, et marquant mieux la réussite sociale que la plébéienne Dauphine, l'Aronde fut pendant douze ans la voiture du gros commerçant, du fonctionnaire, en un mot de la moyenne bourgeoisie fière de montrer sa réussite.

12/1998

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Thrillers

Dans la maison de mon père

Inspiré de l'histoire vraie de Hugh O'Flaherty, le prêtre irlandais rattaché au Vatican qui a défié les nazis et sauvé plus de 6000 juifs et soldats alliés de l'enfer de Rome en 1943, "Dans la maison de Mon Père" est un thriller littéraire de premier ordre. A la manière d'Hilary Mantel, Joseph O'Connor mêle histoire et fiction dans un véritable tour de force narratif, un récit haletant à l'intrigue parfaitement ficelée. A travers le destin et les choix courageux de personnages aussi attachants qu'inspirants, il rend un superbe hommage à ceux qui ont su suivre leurs convictions dans les temps les plus troubles.

01/2024

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Marques et modèles automobiles

La Peugeot 404 de mon père

La Peugeot 404, c'est toute une page de l'histoire des sixties. Présentée en mai 1960, la voiture aux lignes résolument italiennes est livrée dans des couleurs pour le moins frappantes, orange vif ou bleu lagon, avec toit ouvrant et pare-brise panoramique. Elle est saluée comme une grande et belle berline vouée au succès. Le cabriolet, puis le coupé, apparaissent en octobre 1961 et seront les ambassadeurs du style italien (Pininfarina) jusqu'en septembre 1968. En 1963, l'élégant break 404 offre plusieurs possibilités d'aménagement et contribuera largement à la réussite du modèle : familiale avec trois banquettes, et commerciale au volume de chargement maximal. Pour compléter la gamme, la version plateau-cabine (essence ou Diesel) ne quittera le marché français que dans les années 1980 et continuera sa carrière à l'étranger. Ce glorieux parcours est jalonné d'un prestigieux palmarès sportif qui, de l'East African Safari au Rallye d'Argentine, n'a eu d'égal que celui de la Citroën DS.

06/2024

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Marques et modèles automobiles

La Panhard PL17 de mon père

Née en juin 1959, à la charnière des années 1950 encore marquées par les séquelles de la guerre et des années 1960 où la prospérité retrouvée incite à l'exubérance, la PL 17 va devoir jouer l'ambiguïté. Faute de moyens, le bureau d'études n'a pas pu se permettre de repartir d'une feuille blanche : on s'est contenté de maquiller et de perfectionner la Dyna, mais avec assez de talent pour faire croire à un modèle inédit. Objectif atteint : le nouveau capot et l'arrière redessiné transfigurent la voiture sans heurter la clientèle traditionnelle de la marque, et vont relancer sa carrière pendant quelques années. Les performances du moteur Tigre sont également un argument de poids. Toute la carrière de cette fameuse PL 17, devenue "17" en 1963, est ici racontée, jusqu'à sa disparition en mai 1965. Des berlines aux fourgonnettes en passant par les cabriolets et les breaks, et même les exotiques versions sud-américaines, aucun modèle n'est oublié, pas plus que la "petite histoire", qui est aussi souvent la plus savoureuse.

06/2024

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Faits de société

Mon père m'a vendue

Un récit choc qui révèle des pratiques barbares qui existaient encore en Europe, il y a peu... Notamment les mariages forcés , comme dans ce récit situé dans les années 70 où l'auteure, une Irlandaise âgée de 16 ans avait été "mariée" par son père à un agriculteur de 65 ans en échange de 2500 livres et d'une voiture... En format poche.

01/2015

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Littérature française (poches)

Mon père à l'Ouest

Mon père est parti par l'Ouest. Cherchant au travers des mouvements provoqués parla morphine à comprendre où il était, il dessina en creux le portrait d'un lieu contemporain : l'hôpital. Mais il parlait aussi, amusé, étonné, depuis une vie inquiète du devenir d'un monde qu'il savait devoir quitter.

10/2017

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Littérature française

Qui a tué mon père

"L'histoire de ton corps accuse l'histoire politique."

05/2018

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Littérature française

Journal des prisons de mon père, de ma mère et des miennes

Arrêtée au mois d'août 1793, incarcérée à Beauvais, puis à Chantilly dans l'antique demeure des Condé avant d'être transférée à la maison d'arrêt parisienne nouvellement ouverte du Plessis, Louise-Henriette de Noailles, duchesse de Duras (1745-1832) relata son séjour carcéral d'effroi et de misère, d'humiliations et de droits bafoués, où la préoccupation de la survie fut constante. Trois autres récits de proches de sa famille - dont cinq des membres furent immolés sur l'échafaud -, ainsi que les souvenirs de Sophie-Victoire-Alexandrine de Girardin, comtesse de Böhm, détenue dans les mêmes prisons qu'elle, constituent un complément indispensable à son vibrant témoignage.

05/2023

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BD tout public

Le chant de mon père

Nous vivons dans une jolie maison traditionnelle que mon père avait construite de ses propres mains.

01/2012

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Littérature française

Le silence de mon père

"Je ne sais pas qui est mon père. Je suis face à un reflet qui danse et tremble sur l'eau. Je tente de le capturer, je plonge la main, mais il se dérobe comme les bribes d'un rêve au matin. Il est pourtant là, si près. Insaisissable. Mon père, cet inconnu." C'est l'histoire d'un père enfermé dans le silence. De sa fille qui part à la recherche de l'homme qu'il fut. C'est une enquête intime menée comme un polar, un voyage dans les secrets de famille, les exils et la mémoire, de la banlieue du Mans aux ruelles de Hanoi. Un récit, un roman-quête en forme de puzzle, drôle et nostalgique à la fois.

03/2016

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Romans historiques

Le Bois de mon père

Au soir de sa vie, Hélène marche dans les pas de ses 20 ans et entraîne sa nièce dans les méandres de l'été 1944 et des années de guerre : la défaite, l'armistice, la collaboration, la Résistance, l'épuration... Soixante-dix ans plus tard, sa mémoire ne se satisfait pas de l' "Histoire" officielle qui classe les bons d'un côté et les méchants de l'autre : qui sont les héros ? Qui sont les salauds ? Restent les questions, les tabous et, enfoui au coeur des bois de Sousceyrac, le mystère d'une vie qu'elle tente de reconstituer parce que mémoire, vérité et paix ne font qu'un. Avec tact et précision, par petites touches mais sans concession, Régine Laprade nous donne à voir de cette période troublée une facette bien différente, fort éloignée de l'Histoire désormais officielle et de ses "devoirs de mémoire" souvent si sélectifs. Un roman politiquement incorrect, une parole longtemps retenue et enfin libérée.

10/2013

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Littérature française

Le Nom de mon père

Un roman historique puissant sur le déracinement et la reconstruction par l'amour après la guerre du Liban dans les années 1980. Bassam Al Jallil a 19 ans en juillet 2006, lorsqu'éclatent les bombardements au Liban. Pour le jeune homme et les siens, le temps se fige, la mort s'abat partout. Six ans plus tard, Camille voyage en Italie avec une amie. A Naples, elle rencontre Bassam et est aussi fascinée par lui qu'il l'est par elle. C'est là, loin de ses terres d'origine, que le jeune homme essaie tant bien que mal de survivre au traumatisme qui l'a frappé. Sa rencontre avec Camille bouleverse son fragile quotidien, organisé entre les services à la pizzeria Giulia et les appels vidéo avec sa tante, Rabab, et ses cousins, Assem et Hicham, tous trois restés au Liban. Dès que Camille rentre en France, ils continuent de se découvrir à distance, jusqu'à ce que Bassam change de comportement : en arrêt de travail à la suite d'une blessure et invité au Liban pour le mariage de son cousin, le jeune homme appréhende de renouer avec les traumatismes de son passé et a soudain bien trop de temps libre pour fuir ses pensées. Lorsque Camille revient à Naples pour le voir, les deux jeunes gens remuent le passé douloureux, pour tenter de se construire ensemble. Seize ans après le conflit isréalo-libanais de 2006, l'autrice rend un hommage puissant à ses origines, au courage et à la résilience du peuple libanais.

06/2022

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Policiers

Le prix de mon père

Légionnaire, ouvrier en Andalousie, camionneur au Mexique, dealer au Maroc, à trente-huit ans, Ismael a déjà vécu plusieurs vies. Traqué par la police marocaine, il est contraint de revenir dans son pays basque natal. A bilbao, il se lance dans une nouvelle carrière. Celle de maître chanteur. Sa victime : son ami d'enfance Julen, qui a réussi en falsifiant ses diplômes. Ismael, lui, rate tout. C'est même sa spécialité. Sous la plume de Willy Uribe, le pays basque prend une allure surréelle et désenchantée, et les rues sombres de Bilbao ne sont pas loin de celles des romans de Goodis. Le prix de mon Père a été couronné "meilleur premier roman noir" à la semana negra de Gijon.

06/2012

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Littérature française

Le château de mon père

" Vous ne la vendrez pas ! C'est compris ? Tant que je serais vivant, vous n'y toucherais pas ". Ces paroles qui nous tétanisèrent, mon père les prononça autour du grand-couscous, rituel familiale dominicale que nous célébrons chez nos parents. Cet être sublime, affaibli par l'âge, ces souvenirs confisqués par cette maladie qui fait perde la mémoire, était devenu l'ombre de lui-même. La simple évocation de la possibilité d'évincer sa maison construite au Maroc, il y a longtemps, lui redonna la force de rugir ! Pourquoi autant attachement à une vieille bâtisse située à trois mille kilomètres ? Ce jour-là je compris que cette maison tenait dans le coeur de mon père une place aussi importante qu'un de ces enfants ! Pour découvrir le lien entre mon père et ce nouveau membre de la famille, j'ai dû me replonger dans les méandres de l'histoire. Celle de mon enfance, de mon père mais aussi de la France et du Maroc...Recherches pleines de surprises et d'émotions.

09/2023

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Littérature française

Le garçon de mon père

Le récit s'ouvre un dimanche de septembre 2019, un dimanche où le père "concret et nébuleux à la fois" d'Emmanuelle Lambert, se prépare à mourir d'un cancer de l'ampoule, un organe situé à la tête du pancréas. Et pourtant, ce livre est un livre de vie. C'est que, par une douce ironie des mots, il est à l'image de ce personnage de père à la "chaleur explosive" : "rétif à toute forme de rêverie fatiguée, car dans la fatigue se glisse un effritement possible, une voie pour la douleur et le doute". Le duo du livre-tombeau et du père illumine tout sur son passage. Il n'y a pas de gris ici, mais les couleurs éclatantes du souvenir, du mange-disques seventies aux yeux de Dalida. Poignant et solaire, émouvant et lumineux, mélancolique sans le poids du pathos, familial et universel, le récit d'une fille raconte le père : mais le père aurait peut-être voulu un garçon. A l'hyperactif soixante-huitard, au Dieu imprévisible de l'enfance, à l'ex-enfant triste qui joue jusqu'au bout de sa vie y compris en abordant aux rivages de la fin, répond une fille, qui se construit comme une femme.

08/2021

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Littérature française

Le départ de mon père

Un pays sur la rive de la Méditerranée. La justice est boiteuse. Le népotisme et le mépris gangrènent jusqu'aux plus hautes sphères de l'Etat. De toutes parts, les institutions craquent, et telles des peaux lépreuses, elles tombent au sol, noires et desséchées. L'effet ravageur des religions prospère sur ces terreaux. A bout de souffle, l'Etat vacille puis se déchire. Partout dans le pays, la mort frappe. Anya, enseignante dans une école primaire, part à la recherche de son père disparu de leur village depuis le jour où un massacre a été commis par les islamistes armés. A-t-il été assassiné à cause de ses écrits d'homme de lettres engagé ou s'adonne-t-il réellement à l'ivresse et à la débauche dans la taverne du Temple Rouge ? Déterminée à élucider ce mystère, la jeune femme s'engage alors sur les chemins de la lutte armée, de l'amour puis de la détention dans un camp d'extrémistes religieux. Sillonnant villes et villages, elle découvrira les ravages de l'islamisme sur les gens et les biens, ainsi que la faim, la soif, la traite et l'exploitation sexuelle des femmes.

09/2020

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Seinen/Homme

Le journal de mon père

Le décès de son père contraint Yoichi Yamashita à retourner dans sa ville natale après de longues années. Lors d'une veillée funèbre arrosée, son enfance refait surface : cet après-midi de printemps passé à jouer sur le plancher du salon de coiffure de son père, l'incendie qui a ravagé la ville et sa maison familiale, le divorce de ses parents... Au fil des confidences et des souvenirs partagés par ses proches, Yoichi redécouvre celui qu'il a toujours vu comme un père absent et froid.

11/2021

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Littérature française

Le pays de mon père

En crise d'identité après une série de drames personnels, un jeune banlieusard décide de revenir dans son pays d'origine afin de prendre un nouveau départ. Ignorant absolument tout de ce qu'il qualifiait lui-même de "pays de son père", il se retrouve confronté à la dure réalité algéroise de la fin des années 90. Dans une société encore marquée par les violences islamistes, il essaie tant bien que mal de trouver sa place et de donner un nouveau sens à sa vie.

08/2020

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Littérature française

Le cinéma de mon père

1940-1950 : un jeune garçon traverse en la vivant une période où le cinéma n'était pas numérique, où les vedettes toujours bien coiffées, couvertes de strass, de paillettes, évoluaient dans un monde qui faisait rêver un moment en cette période noire. Vedettes rencontrées lors de tournages, figurants en mal de devenir... L'auteur assiste son père dans ses tournées de projection de films dans les salles communales et paroissiales de campagne, cinéma plein de surprises, de joies, d'émotion... Cinéma disparu aujourd'hui de nos campagnes, cinéma drôle, émouvant avec une pointe de nostalgie !

11/2010

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Littérature française

Le fusil de mon père

Je m'appelle Azad Shero Selim. Je suis le petit-fils de Selim Malay. Mon grand-père avait beaucoup d'humour. Il disait qu'il était né kurde, sur une terre libre. Puis les Ottomans sont arrivés et ils ont dit à mon grand-père: Tu es ottoman, et il est devenu ottoman. À la chute de l'Empire ottoman, il est devenu turc. Les Turcs sont partis, il est redevenu kurde dans le royaume de Cheikh Mahmoud, le roi des Kurdes. Puis les Anglais sont arrivés, alors mon grand-père est devenu sujet de Sa Gracieuse Majesté, il a même appris quelques mots d'anglais. Les Anglais ont inventé l'Irak, mon grand-père est devenu irakien, mais il n'a jamais compris l'énigme de ce nouveau mot: Irak, et jusqu'à son dernier souffle, il n'a jamais été fier d'être irakien; son fils, mon père, Shero Selim Malay, non plus. Mais moi, Azad, j'étais encore un gamin. "

02/2004

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Littérature française

Le figuier de mon père

Portrait haut en couleur d'une communauté discrète, dure au mal, travailleuse et solidaire, ces mémoires sont un hommage de l'auteur aux siens, à ses parents surtout, réfugiés en France au début des années 1920, après avoir perdu dans le génocide arménien de 1915 presque toute leur parentèle. Sa mère, Mayrig, femme au grand cœur, petite silhouette tout de noir vêtue, animée d'une douceur et d'une énergie hors pair, qui lui a inculqué le sens de l'effort et la valeur du travail. Son père, aussi, Hayrig, qui, ayant connu l'horreur des geôles turques, n'en a pas moins gardé sa joie de vivre et sa capacité d'émerveillement. Personnage biblique tout droit sorti d'un conte oriental, débordant de sagesse, ce père traverse le livre en posant sur sa famille un regard lucide et tendre, commentant les us et coutumes de cette terre d'asile, la France. Véritable hymne à l'amour filial, mais aussi roman d'apprentissage qui retrace la réussite du jeune Vartan devenu officier de Marine puis inventeur, cet ouvrage truculent nous donne une belle leçon d'optimisme.

01/2006

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Poches Littérature internation

Le livre de mon père

Petit-fils de paysans d'une haute vallée de Suisse alémanique, Kart, né au début du siècle, se prend de passion pour la langue et la littérature françaises. Dans l'effervescence intellectuelle et politique de l'entre-deux-guerres, il goûte à la vie de bohème, mais surtout il entame une vie de véritable homme de lettres. Travailleur forcené, il traduira en allemand plus d'une centaine d'ouvrages français, aussi bien classiques que contemporains. Jusqu'à sa mort, il organise lectures et conférences, collabore à des revues, se charge d'éditions, côtoie les auteurs qui seront bientôt célèbres. Mais, pour autant, ce passionné n'oublie pas de vivre avec la même générosité. L'homme de lettres est aussi homme et citoyen, de sorte que ce portrait, à la fois drôle et émouvant, est aussi le miroir d'une époque. Un précédent roman, L'homme que ma mère a aimé, inspiré par la vie de sa mère, comportait ce que l'auteur appelle lui-même " une tonitruante lacune ", désormais comblée ici par l'évocation romanesque de la vie de son père.

11/2007

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Littérature française

Le târ de mon père

À la mort de mon père, j'ai reçu le târ qu'on se transmet dans ma famille de génération en génération. L'instrument m'a résisté, refusant de libérer les accords mystiques qui font la gloire des musiciens d'Iran. Sous mes doigts, il ne semblait plus qu'un morceau de bois sans sève. Etais-je maudit ? Quel crime devais-je donc expier ? A moins que ce ne fût le târ qui portât un secret trop lourd pour vibrer comme autrefois. J'ai brûlé ses cordes et je suis parti trouver le luthier d'Ardabil. Mais changer les cordes d'un târ, c'est changer son âme. Et celle du musicien qui le possède. Je ne reviendrai jamais d'Ardabil.

08/2007