Décoration
10/2003
Cinéma
09/2013
Romans historiques (poches)
09/2009
Beaux arts
06/2016
Histoire de France
01/2013
Pléiades
09/1997
Pléiades
02/1983
Histoire internationale
10/1993
Littérature française
08/1998
Cinéma
04/2019
Philosophie
02/2019
Histoire de France
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11/2017
Littérature étrangère
11/2017
Littérature française
08/2018
Littérature française
01/2019
Histoire de France
10/2017
Critique littéraire
01/2017
Essais
10/2022
Voile
10/2022
Sociologie politique
10/2022
Ouvrages généraux
11/2022
Romance et érotique LGBT
03/2023
Anthologies
Linda Lê, auteur d'une oeuvre récompensée par de nombreux prix, est décédée en mai 2022. Ce livre constitue un hommage à son oeuvre en recueillant les articles qu'elle a écrit pour le site En attendant Nadeau. Linda Lê, écrivaine française d'origine vietnamienne, est longtemps restée une auteure peu connue du grand public malgré un succès critique indéniable et les nombreuses récompenses que son oeuvre a reçu : prix de la Vocation, prix Renaissance de la nouvelle, prix Fénéon, prix Wepler, prix Renaudot Poche et le prix littéraire Prince Pierre de Monaco pour l'ensemble de son oeuvre qui lui est décerné en 2019. Auteure de romans, de nouvelles, d'essais elle a aussi livré, tout au long de sa vie, une oeuvre critique. C'est qu'elle était une lectrice passionnée tout autant qu'une auteure exigeante, et qu'en elle et dans son oeuvre ses lectures et ses écrits se répondaient. La lecture lui était une expérience aussi profonde que l'écriture, et tout en réfléchissant longuement au métier d'écrivain, à la langue, à la littérature, elle s'est penchée sur les oeuvres des autres, dont elle a tiré de très nombreuses chroniques. Elle lisait vraiment et ses chroniques ne sont pas un exercice marginal ; elles font réellement partie de son oeuvre. Cet ouvrage offre au public les chroniques qu'elle a écrites, dès la fin des années 1980 et jusqu'à sa mort, sur le site En attendant Nadeau. Des chroniques justes, pertinentes, par quelqu'un pour qui la lecture a été une expérience existentielle.
04/2023
Guerre d'Algérie
03/2022
Essais
CNLMusique – Quand bien même on le réclame sur la plupart des plateaux avant chaque prise de vue, le silence au cinéma est difficilement tenable. Instinctivement associé au vide, au néant, à la contemplation, à la passivité, au temps suspendu, à la mort, ou encore à l'impossibilité de l'événement, le silence est craint.
L'attrait du silence manifesté ou subi par les cinéastes et les personnages dans la quinzaine de films ici réunis (du Prince étudiant d'Ernst Lubitsch à Paterson de Jim Jarmusch en passant par Silence et Cri de Miklos Jancso) doit donc être entendu comme aspiration jamais véritablement concrétisée ni satisfaite.
Le silence au cinéma est toujours relatif, perturbé, rompu, brisé, irrégulier, provisoire, dénaturé. Mais il ne provoque en rien une sclérose du sens, du récit ou encore de l'émotion, pour redonner temporairement la main au visible, à défaut de son autonomie complète. Le motif du silence - décliné selon quatre approches entrecoupées de focalisations sur des moments silencieux - sera donc ici mis en exergue dans sa capacité à stimuler des récits fictionnels mais aussi documentaires.
Dès lors il conviendra de se poser la question : par quoi est-il compensé ? C'est que le silence est très vite devenu un recours dramatique très efficace, non pas à le considérer isolément, mais grâce à sa confrontation ou sa juxtaposition avec les composantes de la bande-son que sont la parole, la musique et les bruits. Autrement dit, le silence a besoin d'elles pour résonner, à défaut de s'imposer comme quatrième composante.
04/2021
Généralités
04/2021
Littérature française
01/2023
Poésie
05/2023
Littérature étrangère
02/1982