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Couleurs chimères

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Imagiers, premiers dictionnair

La ferme. Premiers mots, couleurs, nombres, animaux

Un tout-carton plein de surprises à partager avec bébé, sur le thème de la ferme ! Ce grand livre tout-carton propose, au fil des pages, de découvrir les premiers mots et concepts de la ferme : animaux, légumes, outils, véhicules... Avec ses rabats en feutrine et ses découpes tactiles à explorer à chaque page, cet imagier surprise est idéal pour les bébés et les jeunes enfants. Le bébé expérimente, s'amuse et apprend. Elégamment illustré par Ingela P Arrhenius, on y retrouve le charme de ses personnages, animaux et objets présents dans les collections " Où est ? " et " Coucou ".

07/2024

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Coloriage, gommettes et autoco

Barbapapa Mon premier pinceau magique Les couleurs. Peins avec de l'eau pour voir apparaître les couleurs !

Peins avec de l'eau et regarde les Barbapapa apparaître en couleurs ! Grâce à ton pinceau magique rempli d'eau, c'est facile de peindre sans te tacher. Passe ton pinceau sur les 6 décors pour révéler de jolies scènes et apprendre les couleurs aux côtés de tes Barbapapa préférés. Un fois toutes tes jolies peintures terminées, laisse sécher et recommence à l'infini. A toi de jouer ! Un bon moyen d'apprendre à tenir son crayon pour les plus petits ! A partir de 3 ans, découvre aussi les pinceaux magiques Barbapapa : La Famille, Les Animaux, La Nature, Les vacances, C'est Noël ! , La Musique et Les Barbabébés.

10/2023

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Poésie

Notre-Dame-des-sept-douleurs

Fruit d'une résidence d'écriture effectuée à l'île Verte, sur le fleuve Saint-Laurent, au cours de laquelle le poète a uvré comme gardien du phare séculaire de l'île, ce recueil de Nicolas Lauzon convie le lecteur à un voyage immobile et introspectif. Avec beaucoup de tendresse, d'humour et de simplicité, le poète nous raconte l'île, les étoiles, le phare, le vent, le fleuve, son quotidien d'écriture, ses rencontres avec les insulaires. Et toujours, en filigrane, l'exploration d'une poétique du territoire, de l'humain. La poésie documentaire de Nicolas Lauzon trouve dans la vie insulaire un nouveau terrain de jeu. On retrouve avec bonheur dans ce quatrième recueil un poète ouvert à la rencontre avec l'autre, perméable au monde.

01/2019

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Littérature française

Mabola, la fille des douleurs

Tiré d'une histoire vraie, ce récit relate la vie de Mavéla qui deviendra Mabola suite aux douleurs qu'elle a endurées. Sa mère, Bobé prostituée de luxe, qui aura deux filles de ses" randonnées amoureuses", utilise une puissant parfum, résultat d'un charme , pour attirer les hommes. Un jour, par mégarde, Maéva porte ce parfum et amène à elle un homme qui n'est autre que son père qu'elle n'a jamais connu. De fait, Bobé perd son deuxième enfant, en essayant de la sauver elle rencontre un jeune guérisseur qui succombera lui aussi à son charme. Toutefois, il réussira à la guérir.

05/2012

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Littérature française

Notre-Dame des Sept Douleurs

"Sibylle déteste l'impression de ses semelles sur le sable. Elle voudrait voler, elle voudrait vivre sur la Lune. Elle ne semble pas pouvoir s'adapter à la vie terrestre. Malingre et apeurée et défaite, et l'air toujours de s'effilocher... Sibylle agite les mains devant les yeux du jongleur. "Tu m'écoutes ? demande-t-elle. - Oui". Pourtant, la parabole ne cesse de virer au-dessus de leur tête. Les épaules comme des éoliennes. Oui, elle sait qu'il l'écoute. Elle porte de nouveau la flûte à ses lèvres. Elle joue en confiance. Elle le regarde souvent. Paul ne parle qu'à répondre. Ses yeux écoutent Sibylle tandis qu'il regarde les balles avec les mains. Il dit : "Je t'aime". Il y a plusieurs voix ensemble dans sa voix qui est très belle. Et cette voix regarde Sibylle avec tendresse. Un petit vent se fait porte-parole. "Salut, ma toute vivante !" chuchote encore Paul. Il respire tranquillement. Et quand Paul, par son sourire, a dit : " Je suis là", pour Sibylle, l'instant d'avant, pourtant si pénible, n'a plus d'importance".

01/2008

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Récits de voyage

Rwanda. Mille collines, mille douleurs

Le Rwanda sera à la "une" au printemps prochain. Pour une raison tragique : le vingtième anniversaire du génocide de 1994 qui ravagea le pays des "mille collines" et provoqua, au-delà des massacres, une profonde remise en cause de l'interventionnisme occidental dans l'Afrique des Grands Lacs et, dans l'ancienne puissance coloniale belge, un débat toujours pas refermé sur les responsabilités historiques des colonisateurs. L'Ame des peuples ne pouvait ignorer cette commémoration si emblématique des incompréhensions historiques qui peuvent conduire à des tragédies insoutenables. Colette Braeckman, grand reporter au Soir, auteur reconnu (Terreur Africaine, Les Nouveaux Prédateurs) spécialiste incontestée de cette région, est retournée sur place pour comprendre et nous raconter l'âme du Rwanda.

04/2014

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Littérature francophone

Douleurs d’une femme africaine

Epouse et mère accomplie, Mélaine réussit à construire le modèle de vie qu'elle a toujours souhaité avoir. Ayant établi une belle complicité entre son mari et elle, Mélaine plane dans le bonheur jusqu'au jour où elle découvrira, de manière inattendue, le secret bouleversant de son époux, la plongeant ainsi dans une situation trouble. Femme de principe et de caractère, elle n'échappera pas aux flux d'émotions et de sentiments qui la submergeront et devra affronter courageusement ce vent violent qui menace de la détruire. Réussira-t-elle à prendre le contrôle ?

03/2023

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Poésie

Narcisse. Précédé du Dialogue du Prince et de la Chimère

Entre lyrisme, mysticisme et symbolisme : le "Narcisse" de Joachim GASQUET (1873-1921). Profondément philhellénistes ou cultivés, enclins aux questionnements de leurs époques, à la place que l'homme revêt sur terre ou encore habités par une étrange spiritualité, quelques grands artistes et écrivains ont revisité le cas Narcisse, mi-homme, mi-fou, mortel et divin, amoureux d'une image... Joachim Gasquet va lui aussi se pencher sur ce miroir, ce symbole : "ce mince monde" tel qu'il évoque à la fois la porte de la connaissance et le seuil d'un ailleurs, se focaliser sur l'hypothèse d'une Unité telle qu'elle n'existe qu'en nous ou plutôt dans l'instant suspendu de la révélation. Motivé par une lutte intérieure cherchant à réconcilier la réflexion et l'action et par celle extérieure offrant une controverse au symbolisme de salons, sa critique dérive en un chant gorgé de symboles innés, une cascade remplie d'échos, un hymne naturel et grandiose offert à la polyphonie des Idées. L'onde limpide renvoie l'image du corps mais aussi du microcosme intérieur en parfaite harmonie avec la nature, réfléchit le macrocosme et suggère la perfection qui les relie ; mais cette ressemblance (cet "à l'image du Tout") est fugace, insaisissable, l'effleurer suffit à la brouiller. Qu'en est-il alors de la vie, de la durée et de ce à quoi Narcisse aspire ? L'intérêt que l'auteur porte très tôt, aux Maladies de l'Imagination et sa découverte des cahiers verts d'un jeune aixois interné, vont donner légitimité à son lyrisme, lui permettre d'abuser des comparaisons, autoriser l'ambiguïté et provoquer la métaphore. Le langage devient passage, l'esprit de l'homme un verre transparent à mi-chemin entre la nature et le divin, et le "comme" s'efface au profit d'un déplacement, d'un monde vers un autre monde. L'imagination est en liberté, elle plonge, elle saute, elle défie le temps, elle enjambe les espaces brimés et confie ses résonances mystérieuses susceptibles d'interprétations multiples, elle métamorphose les préjugés. Est-il donc folie de se complaire en l'Amour puisqu'il est impossible ; folie de se réfugier en la Beauté perçue qu'on ne peut embrasser ; folie de s'acharner à maintenir la grâce en la Nature humaine ; folie de tenter une fusion entre panthéisme et monothéisme ; folie de recevoir autant d'informations simultanées, précises qu'on ne peut que parcimonieusement traduire ; folie de désirer le bonheur comme on rêve d'une femme, de le chercher à toutes les sources d'où pourra sourdre l'âme, la dulcinée, la quête... ? Joachim Gasquet appartient à ce Grand XXe siècle ébranlé politiquement et socialement, qui sort des guerres napoléoniennes, accumule les changements de régimes et se reconnaît dans un réalisme inspiré par les découvertes scientifiques ; il s'agit de peindre la société telle qu'elle est, entre cupidité et misère sociale, hérédité et modernité...Tout un programme contre lequel les poètes vont s'insurger... Entre 1891 et 1906, divers courants tentent de prononcer la mort du symbolisme et notamment celui que Mallarmé incarnait. L'Ecole romane, l'Ecole française, l'humanisme, le Naturisme, les Toulousains... tous participent finalement à l'essor d'une nouvelle vision, à cette unité possible entre l'homme et le monde, à cette harmonie musicale réconciliant le passé et l'avenir, la vérité et la beauté, les idéaux et leurs formes, le symbole et la vie. Le langage innove en rapprochant l'Antiquité, la nature, l'ésotérisme et les mystères, les légendes et les mythes, les sensations humaines et leurs correspondances qui deviennent synesthésie ! Quant au poète, il se fait mage ou chaman toujours investi de sa haute fonction visionnaire mais au service des Idées primordiales et du questionnement métaphysique (l'existence, l'essence, l'âme, l'origine et la fin...), il suggère et propose une énigme, il évoque les analogies infinies qui se tissent cachées entre le monde sensible et le Sens (entendu comme vérité ineffable -réalité de l'insensé), il dévoile alors une nouvelle langue ! Le romantisme allemand, avec Goethe ou le mysticisme de Novalis inspire ce possible contre-pied qui va justifier et conforter l'émergence du symbolisme de la fin du XIXe. Ce sera Maeterlinck et non Gide qui délivrera une traduction de Friedrich von Hardenberg (1772-1801) et qui inspirera le surréalisme. Tous se lisent et se côtoient, les salons vont bon train, la poésie classique est morte et le langage de la folie revendique le droit d'être plus "vrai" que le réalisme, d'être au plus juste s'il devient intuitif et ancré dans l'archaïque, le primitif, le légendaire, le mythologique, le passé, le rêve... Les "Narcisse" de Paul Valéry et Joachim Gasquet émanent de ce contexte, décliné en variations de 1891 à 1941 pour l'un, écrit et retouché de 1893 à 1921 pour l'autre. Tous deux symbolistes et disciples de Mallarmé, pétris par des Maîtres proches (André Gide ou Paul Cézanne), ou d'entourage (Edouard Manet et Frédéric Mistral), leurs destins de provinciaux se séparent pourtant dès 1894. Tandis que Valéry monte à Paris, délaisse la poésie et reste donc à l'écart des querelles (jusqu'à la parution de "La jeune Parque" en 1917), Gasquet lui, participe aux tentatives littéraires disparates de l'époque. Directement mêlé aux ascensions de groupes et aux dissensions, impliqué dans la direction de Revues, son syncrétisme poétique, philosophique et religieux ne sera pas compris qui englobe toutes ses lectures et toutes ses amitiés. Puis vient l'heure de la guerre également et Joachim lui seul, part et reviendra blessé, hors NRF, transformé encore et dédaigné ; maudit ? laissant à sa mort les fragments retouchés d'un Narcisse somptueux, pétales rassemblés et publiés à titre posthume par Edmond Jaloux en 1931. Le symbolisme réclame un "je" chercheur qui tente d'évoquer l'indicible, l'invisible, le voilé, l'étrangeté, l'indéfini et l'infini... il crée des ponts, rapproche des termes qui appellent des associations inédites, provoquent des connexions et convoquent l'irréalisé ! C'est ce que le poète et critique d'art aixois (ami de Paul Cézanne) nous propose en effet dans cette oeuvre lyrique délibérément rédigée en prose. Alors ce symbolisme tient au coeur plus qu'aux recettes de quelconques gloires, il est à NOUS TOUS, et s'éveille à la lecture d'oeuvres mystérieuses tel que le Narcisse de Joachim GASQUET, fussent-elles oubliées ou reconnues, anciennes ou à venir... Clarisse FRONTIN Publication web Apologie du poète Printemps des poètes 2016

12/2014

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Travail social

Manifeste du bricolage social. L'aventure de la Chimère citoyenne

L'aventure unique de la Chimère citoyenne naît d'une révolte. Trop d'indifférence aux souffrances sociales, trop d'absurdité bureaucratique, trop d'humiliation. Alors, une équipe de formateurs, de chômeurs, d'allocataires des minima sociaux, de retraités, décide d'agir : "Nous entraider, bricoler des solutions, être créatifs et casser l'entre-soi. Avec un pas de côté, sans obligation de résultat mais du temps, du vide et de l'imprévu, notre bricolage marche souvent mieux que les services pensés par des experts" . Un remède à la résignation qui rend leur enthousiasme aux plus pessimistes.

02/2022

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Littérature française

Peindre la pluie en couleur

Morgane est directrice de crèche. Solitaire, fermée, elle ne supporte plus les enfants et rêve d'acheter une pension pour chiens. Tout vole en éclats lorsque sa soeur meurt dans un accident de voiture, lui laissant deux enfants en héritage. Eliott et Léa vont bousculer le quotidien de leur tante et faire ressurgir chez elle de douloureuses blessures profondément enfouies. Peindre la pluie en couleurs est un livre sur l'amour maternel et la résilience. Grâce à l'alternance des voix de Morgane et d'Eliott, Aurélie Tramier nous conduit avec délicatesse sur le chemin d'une renaissance. Car oui, il n'est jamais trop tard pour peindre la pluie en couleurs. " Tout en délicatesse, Aurélie Tramier accompagne cette renaissance douloureuse, reconstruisant brique par brique cette femme abimée, tantôt brique grise, tantôt brique de couleur, posée par un adulte et un enfant qui vont se sauver mutuellement. Page après page, son roman nous offre la perspective toujours possible d'une réconciliation avec soi et avec la vie. " France Bleu - Le livre Coup de Coeur

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Littérature étrangère

Un verre couleur de temps

Ella Moreno séjourne à Venise, dans l'appartement de sa tante artiste, Valentina, qui habite un antique palazzo de la cité des Doges. Tandis qu'elle se promène à travers le dédale des ruelles et explore les multiples cafés et églises de la ville, elle trouve dans une boutique un mystérieux portrait représentant Augusta Franzi, fille d'un marchand de café du XVIIe siècle, et Luca Verzilini, un souffleur de verre. Frappée par la ressemblance entre Augusta et Valentina, Ella va découvrir des liens troublants entre le tableau et le passé de sa tante. Et le destin de la jeune femme pourrait bien en être bouleversé. D'abord autopubliés et rapidement best-sellers au Royaume-Unis, les livres de Sophie Nicholls sont aujourd'hui traduits dans cinq langues. Après Une robe couleur de vent et Un rêve couleur de nuit, on retrouve dans ce nouvel et dernier opus l'écriture singulière et pleine de charme d'une auteure qui confirme sont talent de conteuse hors pair.

11/2019

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Poésie

La couleur de l'oubli

Le recueil La Couleur de l'oubli est une invitation à explorer le monde des ombres. Ombres des pensées, de sentiments, fantômes extraordinaires surgissant des profondeurs... Ombres qui traversent nos vies, fugaces, et qui nous hantent parfois. Il est question de vie et de mort, de passage. Les voix se mêlent, transcrites par le gras et l'italique, invitant à une seconde lecture, plus sombre ou ironique. Au lecteur d'y trouver son chemin... Le guide attend.

05/2019

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Science-fiction

La couleur tombée du ciel

" La ferme tout entière baignait dans cette couleur mêlée, inconnue et hideuse ; les arbres, les bâtiments, et même la verdure et l'herbage qui n'avaient pas complètement tourné à la fatale désintégration dans la grisaille. Les branches se tendaient toutes vers le ciel, coiffées de langues d'un feu immonde, et des ruissellements chatoyants de ce même feu monstrueux se glissaient autour des poutres de faîtage de la maison, de la grange, des appentis. C'était une scène inspirée d'une vision de Füssli, et sur tout le reste régnait cette débauche de lumineuse inconsistance, cet arc-en-ciel hors du monde et hors mesure de secret poison, qui naissait du puits - bouillonnant, palpant, enveloppant, s'étendant, scintillant, étreignant, et faisant malignement des bulles dans son cosmique et identifiable chromatisme. "

10/2000

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Littérature étrangère

La couleur de la guerre

Les treize récits rassemblés dans La couleur de la guerre nous livrent une vision sans fard de la guerre en Tchétchénie. Les atrocités commises entre ennemis mais surtout le délabrement absolu de l'armée russe sont au centre de l'écriture d'Arkadi Babtchenko. Avec force et sobriété, il évoque les violences entre "camarades" , l'alcoolisme, la faim, la saleté et, surtout, la corruption. Car tout le inonde vend ce qui est vendable - y compris des armes et des munitions - à l'ennemi tchétchène. pour se procurer de la nourriture ou de l'alcool. L'armée russe rassemble des épaves humaines pataugeant dans la boue, couverts d'excréments et de poux, sans solidarité entre des individus qui ne savent plus pourquoi ils se battent. Les récits du jeune soldat Artiome, alter ego de l'auteur, sont à cet égard d'une noirceur absolue et soulignent en même temps l'étrange fascination qu'exerce sur les hommes cette descente aux enfers. Grâce à son talent littéraire, Arkadi Babtchenko nous offre bien plus qu'un témoignage : La couleur de la guerre est un tableau saisissant du désespoir et de la déshumanisation, un livre indispensable sur la condition humaine.

11/2009

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Policiers

La couleur des âmes mortes

Jusqu'où pouvons-nous aller pour satisfaire notre soif de vengeance ? Jusqu'à la perversion de notre propre âme ? Jusqu'à l'affadissement de nos convictions les plus profondes ? Tout est possible, d'autant plus que la douleur décuple les ressentis, exacerbe les passions, allant jusqu'à travestir nos propres croyances et interdits. Si vous aviez le destin du meurtrier de votre fille entre les mains, que feriez-vous ? Moi, je le sais…"

09/2015

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Littérature française (poches)

Le noir est une couleur

Jeune mère, Grisélidis Réal s'enfuit en Allemagne avec ses enfants et Bill, son amant noir américain, arraché à un asile psychiatrique genevois. Au terme de leur cavale, l'étrange famille va échouer à Munich. Pour survivre et échapper à l'inertie psychique de son compagnon, la narratrice va, sans souteneur ni tabou, se livrer à la prostitution. Mais avec Rodwell, un soldat noir américain rencontré dans un bar interlope, tout redevient possible, malgré la misère. Ce roman autobiographique, né avec les années soixante, nous fait découvrir l'envers du miracle de la reconstruction de l'Allemagne, celle des boîtes de jazz pour GI's, des petits trafiquants de came et des campements de rescapés tziganes. La force documentaire, l'énergie stylistique et l'anticonformisme de ce destin féminin forment un cocktail détonant.

12/2007

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12 ans et +

La couleur de la rage

Tout adolescent affronte un jour la même question : comment se construire ? Comment devenir vraiment ce qu'on est ? Comment trouver son propre chemin ? En se battant, comme Théo ? En fuyant, comme Yan ? En s'ouvrant aux rencontres et aux émotions, comme Rodolphe ou Natalia ? Chacun s'y prend comme il peut. Jusqu'au jour où Fabien fera comprendre à son père qu'il est devenu assez grand pour se débrouiller. En adulte.

03/2010

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Beaux arts

Bleu. Histoire d'une couleur

L'histoire de la couleur bleue dans les sociétés européennes est celle d'un complet renversement : pour les Grecs et les Romains, cette couleur compte peu et est même désagréable à l'œil : c'est une couleur barbare. Or aujourd'hui, partout en Europe, le bleu est de très loin la couleur préférée (devant le vert et le rouge). L'ouvrage de Michel Pastoureau raconte l'histoire de ce renversement. En mettant l'accent sur les pratiques sociales de la couleur (lexiques, étoffes et vêtements, vie quotidienne, symboles) et sur sa place dans la création littéraire et artistique, il montre d'abord le désintérêt pour le bleu dans les sociétés antiques. Puis il suit la montée et la valorisation progressives des tons bleus tout au long du Moyen Age et de l'époque moderne. Il insiste notamment sur les enjeux esthétiques, moraux et religieux liés à cette couleur, du XIIe au XVIIIe siècle. Enfin il met en valeur le triomphe du bleu à l'époque contemporaine, dresse un bilan de ses emplois et significations et s'interroge sur son avenir. Parler du bleu c'est nécessairement être conduit à parler aussi des autres couleurs. Celles-ci ne sont donc pas absentes du livre : le vert et le noir, auxquels le bleu fut parfois assimilé ; le blanc et le jaune, auxquels il a fréquemment été associé ou opposé ; et surtout le rouge, son contraire, son complice et son rival depuis le Moyen Age.

10/2000

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Littérature française (poches)

La couleur du bon pain

Non, le vieux Valentin ne laissera jamais sa ferme, ses terres et le plus beau troupeau de la vallée à cet adolescent tombé du ciel qui débarque un jour en Corrèze après le décès de sa fille. Car Grégory, son petit-fils, son héritier, aussi gentil et bien élevé soit-il, est noir. La rencontre est abrupte entre le vieil homme et le garçon de la ville soudain plongé dans un autre siècle. Grégory se heurte aussi à la stupidité raciste des villageois et des enfants de son âge. Mais, à la ferme, il se sent très vite chez lui. Stupéfait, son grand-père le surprend à soigner les bêtes, traire les vaches et prendre goût aux travaux des champs. Peu à peu, Grégory va apprendre à devenir un vrai Corrézien... Parviendra-t-il à gagner le cœur de Valentin ?

04/2006

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Beaux arts

Quand la lumière devient couleur

Cet ouvrage a pour objet les rapports entre couleur et lumière, principalement en histoire de l'art. Ces rapports complexes n'avaient pas encore été étudiés sous l'angle retenu : la dépendance de la couleur à l'égard de la lumière, puis son difficile affranchissement. Comme la plupart des traités artistiques depuis la Renaissance font dépendre la couleur de la lumière, il s'agit d'aller à l'encontre de cette vieille tradition. D'abord interroger les rapports entre les deux premiers parmi les trois critères qui définissent d'ordinaire une couleur donnée (teinte, clarté et saturation). Puis questionner l'opposition classique faite entre le Nord qui serait coloré et le Sud lumineux, une distribution datant de l'époque des Lumières et qui en viendra à s'inverser dans la seconde moitié du XIXe siècle, à partir du moment où certains artistes (Gauguin, Van Gogh) transformeront l'intensité lumineuse en intensité chromatique. Enfin réfuter cette idée selon laquelle l'aventure de la couleur dans l'art moderne à partir de l'impressionnisme aurait consisté à se focaliser sur les couleurs "spectrales" en éliminant le noir, alors que cette aventure a eu lieu grâce à la prise en compte du noir, et du blanc, et non par son rejet, d'abord au XIXe siècle, puis chez les plus grands coloristes du XXe siècle.

04/2018

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Beaux arts

Jaune. Histoire d'une couleur

Aujourd'hui, en Europe, le jaune est une couleur peu présente dans la vie quotidienne et guère sollicitée parle monde des symboles. Il n'en a pas toujours été ainsi. Les peuples de l'Antiquité voyaient en lui une couleur presque sacrée, celle de la lumière, de la chaleur et de la prospérité. Les Grecs et les Romains lui accordaient une place importante dans les rituels religieux, tandis que les Celtes et les Germains l'associaient à l'or et à l'immortalité. Le déclin du jaune date du Moyen Age qui en fait une couleur ambivalente. D'un côté, le mauvais jaune, celui de la bile amère et du soufre démoniaque : il est signe de mensonge, d'avarice, de félonie, parfois de maladie ou de folie. De l'autre, le bon jaune, celui de l'or, du miel et des blés mûrs : il est signe de pouvoir, de joie, d'abondance. Toutefois, à partir du XVIe siècle, la place du jaune dans la culture matérielle ne cesse de reculer. La Réforme protestante, la Contre-Réforme catholique, plus tard les avaleurs bourgeoises" du XIXe siècle le tiennent en peu d'estime. Môme si la science le range au nombre des couleurs primaires, sa symbolique reste équivoque. De nos jours encore, le jaune verdâtre est ressenti comme désagréable ou dangereux car il porte en lui quelque chose de maladif ou de toxique ; au contraire, le jaune qui se rapproche de l'orangé passe pour tonique, joyeux et bienfaisant, à l'image des fruits de cette couleur.

10/2019

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Beaux arts

Noir. Histoire d'une couleur

Longtemps, en Occident, le noir a été considéré comme une couleur à part entière, et même comme un pôle fort de tous les systèmes de la couleur. Mais son histoire change au début de l'époque moderne : l'invention de l'imprimerie, la diffusion de l'image gravée et la Réforme protestante lui donnent, comme au blanc, un statut particulier. Quelques décennies plus tard, en découvrant le spectre, Newton met sur le devant de la scène un nouvel ordre des couleurs au sein duquel il n'y a désormais plus de place ni pour le noir, ni pour le blanc : pendant presque trois siècles, ce ne seront plus des couleurs. Toutefois, dans le courant du XXe siècle, l'art d'abord, la société ensuite, la science enfin redonnent progressivement au noir son statut de couleur véritable. C'est à cette longue histoire du noir dans les sociétés européennes qu'est consacré le livre de Michel Pastoureau. L'accent est mis autant sur les pratiques sociales de la couleur (lexiques, teintures, vêtements, emblèmes) que sur ses enjeux proprement artistiques. Une attention particulière est portée à la symbolique ambivalente du noir, tantôt pris en bonne part (fertilité, humilité, dignité, autorité), tantôt en mauvaise (tristesse, deuil, péché, enfer, mort). Et comme il n'est guère possible de parler d'une couleur isolément, cette histoire culturelle du noir est aussi, partiellement, celle du blanc (avec lequel le noir n'a pas toujours fait couple), du gris, du brun, du violet et même du bleu.

10/2008

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Littérature française

La couleur de l'aube

La couleur de l'aube. Angélique se lève tous les matins la première, dans la petite maison des faubourgs de Port-au-Prince qu'elle partage avec sa mère, sa sœur Joyeuse, et son jeune frère Fignolé. Dans l'aube grise de février, l'inquiétude l'étreint : Fignolé n'est pas rentré et toute la nuit les tirs n'ont cessé de gronder au loin... Angélique la sage est une fille soumise, une sœur exemplaire, une femme de trente ans en apparence résignée. Sa famille, le fils qu'elle a eu par accident, les malades de l'hôpital, constituent son unique horizon. Joyeuse, la belle, la sensuelle, n'a pas abdiqué, elle, sa liberté, sa révolte, son désir de bonheur et d'une vie meilleure, malgré la misère, la violence, les rackets et les enlèvements qui sont lot quotidien. Epaulées par leur mère, figure protectrice et pivot du foyer, à l'image de ses chères divinités vaudou, les deux femmes tentent de retrouver la trace du jeune homme. Au fil de la journée et de leur enquête, Angélique et Joyeuse, en réalité les deux visages du même désespoir, dessinent de la ville une géographie apocalyptique. Fignolé, militant déçu du parti des Démunis, s'est perdu dans les méandres d'une impossible lutte, dans les hasards du désordre absolu. Yanick Lahens, en dépeignant avec une remarquable économie de moyens le destin d'une famille hélas ordinaire, construit l'allégorie d'un pays où la monstruosité voudrait se faire loi. Mais son livre est poignant parce qu'à chaque page sourd la révolte et éclate la volonté de vivre.

11/2008

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Lecture 6-9 ans

Ma robe couleur de fruits

Ce que Lyna voudrait plus que tout, c'est porter une robe "couleur de fruits" pour le mariage de son papa. Mais comment obtenir une si belle robe, quand on n'a pas beaucoup d'argent ? En la confectionnant soi-même, avec l'aide d'une vraie couturière aux doigts de fée !

01/2016

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Shojo/fille

Une si belle couleur T01

Aya, une jeune lycéenne passionnée de dessin, est soupçonnée d'avoir eu une aventure avec son professeur d'arts plastiques et a perdu l'estime de ses camarades. Afin d'éviter toute confrontation avec eux, elle n'a d'autre choix que de les fuir et mène sa scolarité dans une grande solitude. Jusqu'au jour où son lycée accueille un nouvel élève, Aimu. Ce beau métisse, blond aux yeux bleus, repère tout de suite la jeune fille terne et cherche d'emblée à créer une relation intime avec elle. Méfiante et peu sûre d'elle, Aya ne semble pourtant pas prête à ouvrir son coeur meurtri...

02/2022

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Shojo/fille

Une si belle couleur T02

Aya est maintenant en couple avec Aimu et grâce à lui, elle a réussi à panser les blessures de son coeur. Elle a également retrouvé le goût des autres et de sa passion, le dessin. Mais au fil du temps, elle découvre que le garçon rayonnant qu'elle aime cache au plus profond de lui une infinie tristesse. C'est maintenant au tour d'Aya d'aider Aimu à retrouver le goût de la vie.

02/2022

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Poésie

Les yeux dans la couleur

Le mot «peinture» ne va pas sans le mot «couleur», mais la couleur ne colore pas seulement des surfaces, elle les révèle en colorant le trajet des yeux vers elles. Dès lors, une étrange équivalence s'établit entre la vue et la dénomination qu'elle provoque tandis que le flux visuel, en se mêlant au flux verbal, se change en lui. Le poème est le résultat de cette métamorphose en même temps qu'il en est l'expérience. Les pages rassemblées ici ont leur origine dans ce croisement, et de 1970 à 2003, de François Lunven à Olivier Debré, elles dessinent l'itinéraire d'un regard.

05/2004

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Littérature française

La couleur de l'algorithme

Dans un monde où le Démoscope a remplacé Internet et le footcoin l’euro, où les alertes aux attentats sont fréquentes, où l’immigration climatique met en péril l’équilibre social et où l’addiction au virtuel grignote la perception de la réalité, des Tout Puissants conçoivent et créent le réseau des S, une architecture de robots soignants de la deuxième moitié du XXIe siècle. Novice S5 en est un des représentants, une entité immatérielle, un circuit forgé à partir de rubinium avec le pouvoir d’interférer sur les cellules nerveuses humaines. Produit de l’intelligence artificielle, pour répondre à ses missions et fusionner avec le niveau supérieur, Novice s’introduit dans l’esprit d’Harry afin d’obtenir trois algorithmes à appliquer à la communauté des S pour la faire progresser, mais sans se rendre compte qu’il va aboutir à une révolte de ses pairs. En faisant face aux intrusions répétitives de Novice, Harry découvre que Mlle Rubinium l’a attiré dans une relation fusionnelle en utilisant des échanges triangulaires avec S5 sur des questions existentielles. Même sous la pression de son interlocutrice, Harry refuse de lui dévoiler le quatrième algorithme…

12/2018

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Science-fiction

La Couleur venue d'ailleurs

Ce lieu terrible et étrange hante la mémoire des villages voisins depuis la tragédie qui s'y est déroulée. En 1882, une météorite s'écrase près de la ferme de la famille Gardner, chargée de couleurs jusqu'alors inconnues sur terre. L'objet excite d'abord la curiosité des scientifiques, avant de susciter l'inquiétude et la crainte. Car la terre se meurt bientôt, empoisonnée par le sinistre visiteur céleste, et tandis que les récoltes pourrissent sur pied et que les animaux agonisent, victimes de mutations grotesques, les habitants de la ferme basculent l'un après l'autre dans une folie terrifiante et meurtrière...

10/2020

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Littérature française

Des pensées et de couleur

L'idée d'écrire ce livre est venue au moment où un ami a désiré voir mes travaux. Je savais qu'il a des difficultés à voir les couleurs, mais jusque là je ne pouvais imaginer la nature de ces problèmes. Je pensais qu'il est incapable de les nommer et ceci est assez bizarre pour un artiste. Lui aussi est artiste et j'ai compris à peine lorsque alors pourquoi il avait choisi la graphique, le charbon ou le crayon, ce qu'il maîtrisait par excellence. En même temps il travaillait aussi en couleurs, mais il m'a dit qu'il se guidait selon les étiquettes sur les tubes des couleurs. Ses travaux étaient bonnes, mais ils leur manquait quelque chose... cette harmonie qu'un oeil ordinaire peut les percevoir. Il s'est vite rendu compte des réactions des connaisseurs et il y a renoncé, en la faveur de la graphique. Tout en discutant attentivement avec lui, j'ai compris qu'il peut voir seulement occasionnellement le rouge ou le vert ou le bleu, jamais toutes les couleurs ensemble. Il m'a dit qu'il a la maladie nommée dyschromatopsie. Pour un artiste habitué de représenter tout en couleur, cette expérience a été au début une étape au moins bizarre.

04/2018