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Virginie Hilssone-Lévy

Extraits

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Saint François d'Assise

Sagesse d'un pauvre

Ce livre décrit la crise intérieure traversée par François d'Assise quand la fraternité qui s'était groupée autour de lui tendait à prendre la forme d'un Ordre. Il comprit alors que son idéal serait peut-être défiguré. Avec une simplicité toute évangélique, le frère franciscain Eloi Leclerc raconte de quelle manière le Poverello d'Assise trouva peu à peu la paix intérieure. Malgré les troubles, les contradictions, les oppositions, il est possible de s'abandonner à Dieu, qui seul suffit. "Dieu est, et c'est assez. Quoi qu'il arrive, il y a Dieu, la splendeur de Dieu. Il suffit que Dieu soit Dieu. Seul, l'homme qui accepte Dieu de cette manière est capable de s'accepter vraiment soi-même. Il devient libre de tout vouloir particulier. Plus rien ne vient troubler en lui le jeu divin de la création. Son vouloir s'est simplifié et en même temps il s'est fait vaste et profond comme le monde". Un classique de la spiritualité, un condensé d'Evangile, qui aide à retrouver la joie, l'espérance et la confiance. Eloi Leclerc est un religieux franciscain qui a enseigné la philosophie pendant de nombreuses années. Il est l'auteur, outre Sagesse d'un pauvre, de nombreux autres livres à succès : Le Cantique des créatures ; Le Royaume caché ; Dieu plus grand ; Chemin de contemplation ; Le soleil se lève sur Assise... Il est décédé en 2016, à l'âge de 95 ans.

07/2024

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Littérature française

L'Enfant qui mesurait le monde

La Grèce. Aujourd'hui. Une petite île dévastée par la crise, où l'on gagne tant bien que mal sa vie en pêchant du poisson. Un projet d'hôtel met la population en émoi. Il va défigurer notre plus belle crique, disent les uns. Ne vaudrait-il pas mieux construire une école ? demandent les autres. La fille d'Eliot en avait imaginé une, une école idéale, un phalanstère des temps modernes destiné à former les meilleurs. Seulement, la fille d'Eliot est morte, et Eliot a reporté tout son amour sur un enfant de l'île, le petit Yannis. Il vit avec sa mère, qui se lève tous les matins à cinq heures, pour, de ses mains rugueuses, tirer les filets.

Yannis est autiste. La moindre modification dans l'ordre des choses le bouleverse. Il passe son temps à faire des calculs, enfermé dans lui-même et dans la blessure de l'idéal irréalisé. Eliot qui interroge la Grèce à la recherche du nombre d'or raconte à Yannis la vie des dieux, leurs passions et leurs forfaits... Et l'amitié bouleversante entre cet homme vieillissant et cet enfant qui a l'antiquité des maladies va croiser le projet d'hôtel. Le dilemme de Yannis est de rester enfermé ou de s'ouvrir, celui de l'île de ménager son attachement aux valeurs éternelles du pays et à la nécessité de réparer ses maux actuels. La Grèce. Toujours. Un roman bouleversant.

06/2024

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BD tout public

Poison Ivy. L'intégrale, tome 1 à 3

Vivant dans le bayou le plus isolé de Louisiane, la jeune Swampy préfère les concours de sauts de crapauds aux rebondissements politiques et militaires de la guerre qui s'annonce, loin, très loin de la vase tranquille de Soporificahontas ; notre petite sauvageonne se passionne davantage pour la chasse aux poissons-chats que pour la lutte contre les perfides espions japonais qui semblent rôder dans la région... Hélas, lâchement empoisonnée par un couple de ces sournois Nippons à l'aide de baies vénéneuses de la plante nommée Poison lvy, notre infortunée héroïne va découvrir qu'elle est désormais dotée d'un superpouvoir : un seul frôlement de ses douces lèvres suffit à faire trépasser illico celui à qui elle donne un baiser ! Recrutée par les services secrets du président Roosevelt, celle qui répond désormais au nom de code de "Poison Ivy" va rejoindre une unité spéciale de femmes patriotes, toutes dotées comme elle d'un pouvoir particulier. Elles vont devoir lutter contre les forces du mal antiaméricaines sur plusieurs fronts : en Chine, aux côtés des célèbres "Tigres volants", contre les ignobles Japonais, puis à Bir Hakeim, avec les "Français libres", contre les abjects nazis de l'"Afrikakorps"...

10/2012

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Biographies

La Vie de Léon Tolstoï - Une expérience de lecture

Ame sensible et versatile, écrivain novateur et fécond, pédagogue passionné, philosophe subversif, prophète excommunié, Léon (Lev) Nikolaïevitch Tolstoï occupe une place à part dans L'histoire de la littérature russe et mondiale. C'est précisément cette richesse que parvient à exposer Andreï Zorine dans la présente biographie. Grâce à une approche originale et ingénieuse, qui ne distingue pas l'homme de son art, il invite à lire la vie de Tolstoï comme l'une de ses oeuvres. Sans sacrifier la complexité de son héros ou Les sentiments controversés qu'il inspire, Zorine mobilise des sources diverses et souvent discordantes : le journal de l'écrivain et celui de son épouse, leur correspondance, les témoignages de leurs enfants et de leurs proches. Plusieurs documents inédits ou peu exploités révèlent les doutes, les angoisses et Les crises qui ont traversé la vie de Tolstoï jusqu'à sa fuite spectaculaire, une nuit d'octobre 1910. Dans un style fluide et sobre, la personnalité de l'auteur de Guerre et Paix se déploie sans emphase ni spéculation. L'"expérience de Lecture" que propose Andreï Zorine, au carrefour de la biographie, du récit et de l'essai, éclaire le phénomène Tolstoï d'un jour nouveau.

10/2023

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Littérature française

Le secret de Tchekhov

La narratrice, une certaine Tatiana Richardeau, d'orgine russe et spécialiste de littérature, est la fille de l'homme de confiance d'Alexei Souvorine, l'éditeur de Tchekhov. Le livre est censé être écrit, dans les années 50, un demi-siècle après la mort de l'écrivain (en 1904). Tatiana va avec son fils Lev déterrer un coffre que son père avait, sur l'ordre de Souvorine, enseveli dans sa propriété de Crimée. Dans le coffre, ils trouvent: un mémoire biographique de Souvorine sur la vie de Tchekhov, un journal de Tchekhov lui-même et une correspondance passionnée entre l'auteur et l'éditeur. Trois voies pour accéder au secret de Tchekhov. Le roman, présenté à la fois comme une enquête littéraire au cœur de l'URSS stalinienne et une biographie extraordinairement ingénieuse, permet de reconstituer la vie de l'auteur de La Cerisaie et d'Oncle Vania. Toutes les figures de la littérature russe, de la vie théâtrale, de l'entourage familial de Tchekhov resurgissent sous le regard de l'enquêtrice imaginaire et surtout sous la plume d'une des plus grandes spécialistes de la littérature russe.

02/2005

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Romans historiques

Le siècle Tome 1 : La chute des géants

Ken Follett nous plonge dans l'une des périodes les plus captivantes et les plus violentes de l'Histoire... La grande aventure du XXe siècle, telle que personne ne l'a jamais racontée. En 1911, les grandes puissances vivent leurs derniers instants d'insouciance. Bientôt la guerre va déferler sur le monde... De l'Europe aux Etats-Unis, du fond des mines du pays de Galles aux antichambres du pouvoir soviétique, en passant par les tranchées de la Somme, cinq familles vont se croiser, s'unir, se déchirer, au rythme des bouleversements de l'Histoire. Passions contrariées, rivalités et intrigues, jeux politiques et trahisons... Cette fresque magistrale explore toute la gamme des sentiments humains à travers le destin de personnages exceptionnels, visionnaires et ambitieux... Billy et Ethel Williams, Lady Maud Fitzherbert, Walter von Ulrich, Gus Dewar, Grigori et Lev Pechkov vont braver les obstacles et les peurs pour s'aimer, pour survivre, pour tenter de changer le cours du monde. Entre saga historique et roman d'espionnage, drames amoureux et lutte des classes, ce premier volet du Siècle raconte une vertigineuse épopée où l'aventure et le suspense rencontrent le souffle de l'Histoire...

09/2010

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Littérature française

Nevermore

La narratrice de ce nouveau roman de Cécile Wajsbrot, une femme, traductrice, s'isole à Dresde pour traduire "Le temps passe" , partie centrale de La Promenade au phare, de Virginia Woolf, dans laquelle la romancière anglaise tentait d'écrire le temps pur en évoquant ses effets : la dévastation progressive d'une maison devenue inhabi- tée. Tandis que nous la voyons habiter peu à peu le texte et les lieux, et s'immerger dans les arcanes de la traduction, les fantômes qui peuplent la ville étrangère et ses propres fantômes intérieurs ne tardent pas à resurgir et à se mêler à son travail. Ainsi le thème de la dispari- tion récente d'une amie écrivain dont le souvenir la hante s'entretisse au journal dans lequel elle note au jour le jour - comme on ne l'avait sans doute jamais fait jusqu'ici dans une fiction-, les réflexions qui naissent des tâtonnements, des doutes suscités par la progression de son travail et par la tentative de s'approcher au plus près de la créa- tion d'un écrivain d'une autre époque, dans une langue autre. La lecture-commentaire de ce texte sur la dévastation du temps et la vie de la traductrice dans une ville jadis dévastée de la guerre ne font qu'un, sont intimement liés, retentissent sans cesse l'un sur l'autre. Un peu comme dans Mémorial, où, relatant un voyage en Pologne sur les traces de sa famille, elle parvenait à rendre une voix aux âmes des disparus, Cécile Wajsbrot réussit ici à rendre parfaitement justes, naturelles, les soudaines apparitions de l'amie disparue : on est trou- blé, ému, la grande réussite du roman est qu'à aucun moment cela ne paraisse forcé. Comme souvent, dans cette oeuvre, des thèmes secon- daires viennent s'intercaler en contrepoint ou même au sein du récit principal et en accroître la résonance. Il en va ainsi des pages qui évoquent la High Line, à New York, pour évoquer un autre type de métamorphose engendrée par le passage du temps. Mais il faudrait citer aussi d'autres leitmotive : ainsi la catastrophe de Tchernobyl, qui est comme une accélération à plus grande échelle de la dévastation décrite dans "Le temps passe" ; ou, a contrario, un thème qui tra- verse tout le récit comme l'image même du rôle de l'écrivain, ou de sa traductrice : celui des cloches (et, plus généralement, de la musique) qui avertissent de l'imminence du désastre ou, après que celui-ci a eu lieu, subsistent comme les derniers vestiges d'une vie humaine dans les villes englouties.

02/2021

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Ecrits sur l'art

Devant la douleur des autres

L'un des traits distinctifs de la vie moderne est qu'elle dispense d'innombrables occasions de considérer (à distance, à travers le support de l'appareil photographique) les horreurs qui adviennent dans toutes les parties du monde. Les images d'atrocités sont devenues, par le biais de l'écran de télévision ou d'ordinateur, une sorte de lieu commun. Mais la description de la cruauté a-t-elle pour conséquence d'immuniser les spectateurs contre la violence ou de les y inciter ? Leur perception de la réalité est-elle érodée par le barrage quotidien des images ? Que signifie se sentir concerné parles souffrances des gens dans des zones de conflit lointaines ? Il y a vingt-cinq ans, l'essai désormais classique de Susan Sontag, Sur la photographie, définissait les termes du débat. Le présent livre s'attache à reconsidérer en profondeur l'interaction qui s'opère entre l'" actualité ", l'art et la manière dont nous comprenons la description contemporaine de la guerre et du désastre. On prête volontiers aux images le pouvoir d'inspirer la protestation, d'engendrer la violence ou de produire l'apathie : autant de thèses que Susan Sontag réévalue en retraçant la longue histoire de la représentation de la douleur des autres - depuis Désastres de la guerre de Goya jusqu'aux documents photographiques de la Guerre de Sécession, de la Première Guerre mondiale, du lynchage des Noirs dans le sud des Etats-Unis, de la guerre civile espagnole. des camps de concentration nazis jusqu'aux images contemporaines venues de Bosnie, de Sierra Leone, du Rwanda, d'Israël et de Palestine, ou de New York, le 11 septembre 2001. Ce livre nous parle aussi de la manière dont on fait (et comprend) la guerre aujourd'hui, convoquant nombre d'exemples empruntés à l'histoire et quantité de thèses émanant de sources littéraires inattendues. Platon, Léonard de Vinci, Edmund Burke, Wordsworth, Baudelaire et Virginia Woolf participent tous à cette passionnante réflexion sur la vision moderne de la violence et de l'atrocité. L'ouvrage contient aussi une critique virulente du provincialisme de certains " experts " médiatiques qui dénigrent la réalité de la guerre et substituent à une intelligence politique du conflit un discours désinvolte prônant l'existence d'une nouvelle " société du spectacle " universelle. De même que Sur la photographie nous invitait à repenser la nature de notre modernité. Devant la douleur des autres modifiera notre appréciation non seulement des usages et de la signification des images, mais aussi de la nature de la guerre, des limites de la compassion et des obligations de la conscience.

10/2022

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Romance sexy

High School Revenge

Règle n° 1 : ne pas tomber amoureux de sa proie... En plus d'être la star du lycée, Kenan Adams est également un prodige du basket. Ce sport est le seul domaine où il exerce un minimum de contrôle sur sa vie chaotique, et il s'y dévoue corps et âme. Alors le jour où il se fait voler sa place de capitaine par Mason, l'un de ses coéquipiers, il décide de se venger. Rayer sa voiture de luxe ? Trop facile. Coucher avec la fille dont Mason est amoureux depuis le collège ? Déjà fait... Non, il y a mieux, beaucoup mieux pour atteindre son ennemi en plein coeur : Kenan va séduire sa petite soeur, d'un an plus jeune qu'eux, lui prendre sa virginité et la larguer brutalement. Angel a de grands yeux innocents, elle se cache derrière son violon et ses vêtements informes, elle n'est clairement pas de taille à résister à Kenan ! Du moins, c'est ce qu'il croit... Il pourrait bien se retrouver face à une adversaire farouche, sur un terrain qu'il ne maîtrise absolument pas : celui du coeur. A propos de l'autrice Derrière le pseudo Fanny Twice, il y a deux autrices : Fanny DL et Fanny Najöy. Elles se sont rencontrées sur une plateforme d'écriture où le coup de coeur a été immédiat. En plus d'avoir de nombreux points en commun (leur prénom par exemple), elles ont le même style d'écriture et la même passion pour la romance. Sur un coup de tête, elles décident d'écrire un livre ensemble, et six mois plus tard l'aventure était lancée ! Avis de lecteur. rice. s : "Cette histoire est aussi douce qu'enivrante. Le fil conducteur est tout sauf linéaire ce qui nous permet de rester surpris tout au long de notre lecture. Ce qui est certain, c'est que je vais découvrir d'autres de leurs romans avec plaisir tant celui-ci m'a plu ! Une plume fluide et efficace, je vous le recommande à 10000%". leslivresdabord " "On plonge avec ce livre dans une romance feel-good totalement addictive. J'ai passé un excellent moment en compagnie de Kenan et Angel. L'ambiance campus US fait (encore une fois) ses preuves, un classique indémodable dont on ne se lasse pas". leafeon_shelf "Un vrai plaisir que cette romance lycéenne entre le basketteur populaire et la discrète musicienne, vibe (de plaisir ! ) films d'ados du début des années 2000 assurée ! " e. d. u. a. m

06/2024

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Littérature française

Je suis les ténèbres

Croisant l'univers de Joseph Conrad avec celui des romans de H. P. Lovecraft, Je suis les ténèbres décrit la longue descente aux enfers de Jan Kurtz au fin fond de l'Afrique. Une réécriture brillante et divertissante d'Au coeur des ténèbres, doublée d'un hommage littéraire au père de " l'horreur cosmique ". En 1888, un agent de commerce nommé Kurtz embarque pour le Congo avec la mission officielle de rédiger un mémoire sur la dimension " philanthropique " de la colonisation. Laissant derrière lui sa fiancée Virginia, il espère faire fortune en pillant pour le compte de son gouvernement les ressources en ivoire du nouvel Eldorado africain. A Léopoldville, il fait connaissance avec Moreau, un explorateur français en compagnie duquel il remonte le fleuve Congo. Déjà éprouvés par la cruauté de certaines coutumes locales et la sauvagerie des colons envers les indigènes, ses idéaux philanthropiques achèvent de s'écrouler peu après sa prise de poste au coeur de la forêt. La tribu qui l'accueille ne collabore pas, l'ivoire tarde à arriver et les trois soudards qui l'accompagnent prennent le commandement. Epuisé, affaibli par la fièvre, sa raison vacille, et c'est dans un accès de folie irréversible qu'il tue ses propres compatriotes, avant de tomber dans une obscure transe chamanique. Quand il revient à lui, les sauvages ont fait de lui un dieu vivant. Enivré par son nouveau statut, Kurtz tourne définitivement le dos à la civilisation. Mais il retrouve Moreau sur sa route, qui prétend avoir enfin percé le mystère de l'origine de la vie et lui dévoile une vérité innommable : un secret gardé par la forêt depuis la nuit des temps, qui jette une lumière inattendue sur son étrange destin. L'idée de ce court roman est venue à Joseph Denize lors d'une relecture d'Au coeur des ténèbres, de Joseph Conrad, au moment où Kurtz, avant d'expirer, prononce ces derniers mots sibyllins, devenus célèbres : " The horror, the horror... ". Qu'a réellement vécu Kurtz lors de son séjour au Congo ? C'est ce que Joseph Denize a cherché à imaginer, en associant l'horreur de Conrad à l' " horreur cosmique " de Lovecraft, un autre de ses maîtres en littérature, père du roman d'épouvante moderne. Loin du pastiche, c'est donc davantage un hommage placé sous le signe du divertissement et de la fantaisie littéraire qu'il nous offre, tout en s'interrogeant sur la notion de barbarie et la contiguïté de l'humain et du monstrueux.

02/2022

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Droit

Contrôleur des finances publiques. Tout-en-un, Edition 2022-2023

Cet ouvrage propose une préparation pas à pas pour le concours contrôleur des finances publiques de catégorie B. Toutes les épreuves : - QCM de pré-admissibilité (connaissances générales, français, calcul et raisonnement) ; - Epreuve écrite d'admissibilité n° 1 (questions et/ou cas pratique à partir d'un dossier) ; - Epreuve écrite d'admissibilité n° 2 (au choix : mathématiques, comptabilité privée, éléments d'économie et bases juridiques) ; - Entretien oral d'admission. Les + en ligne : sujets corrigés supplémentaires sur le site www. dunod. com.

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Concours administratifs

Concours Contrôleur des finances publiques. Catégorie B, Tout-en-un, Edition 2021-2022

La préparation pas à pas pour réussir votre concours. Toutes les épreuves : QCM de français, connaissances générales, calcul et raisonnement ; Réponse à des questions et/ou cas pratique ; Epreuve au choix de mathématiques, comptabilité privée, éléments d'économie et bases juridiques ; Entretien avec le jury. De l'inscription au jour J : infos utiles. Le programme de révision pour s'organiser Les connaissances en 90 fiches à maîtriser ; Les bonnes méthodes pour réussir ; 8 sujets d'annales corrigés pour s'évaluer et progresser ; A télécharger gratuitement, des sujets d'annales offerts sur le site www.dunod.com.

03/2021

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Economie

Concours Accès. Tout-en-un, Edition 2021-2022

Cet ouvrage tout-en-un vous offre une préparation complète au concours ACCES qui ouvre l'entrée à trois grandes écoles : l'ESDES, l'ESSCA et l'IESEG. Que vous propose cet ouvrage ? - une présentation du concours et des conseils généraux pour bien vous y préparer et le réussir ; - la méthodologie étape par étape de la synthèse, avec des exemples d'application ; - toutes les notions de mathématiques et de logique ; - des fiches de culture générale et la méthodologie de la mémorisation de textes pour préparer l'ouverture culturelle ; - les règles et le vocabulaire de l'anglais ; - des exercices pour vous entraîner et valider vos connaissances ; - des concours blancs intégralement corrigés ; - des conseils pour réussir les entretiens oraux.

11/2020

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Elevages domestiques

L'Homme et l'Animal. L'invention de nouveaux liens

Le regard de scientifiques sur l'extraordinaire relation entre l'homme et l'animal entre fascination, peur et exploitation. Chiens, chats, chevaux, vaches, cochons... A quand remonte la domestication ? Quelle place occupent les animaux sauvages ou méconnus ? Comment expliquer la menace d'extinction qui plane sur certaines espèces ? Quels sont ces animaux sentinelles susceptibles d'anticiper l'émergence de nouvelles maladies infectieuses ? L'humanité a toujours entretenu une relation complexe avec l'animal. C'est ce lien, qui s'est intensifié lors de la révolution Néolithique par la domestication de certaines espèces et qui n'a cessé d'évoluer au fil des époques et des cultures, que la science cherche aujourd'hui à explorer. L'agriculture et l'élevage ont en effet constitué la première mise à distance entre le sauvage et le domestique. Avec la mécanisation et les élevages intensifs, les animaux sont devenus des machines vivantes à la fois optimisées et contrôlées en raison de problèmes sanitaires. Quant aux animaux sauvages, leurs espaces se sont réduits, et ils ont été de plus en plus surveillés par l'homme pour leur conservation ou pour leurs impacts réels ou supposés sur la santé et le bien-être humains. L'espèce humaine s'inspire de l'animal depuis les origines mais elle a souvent entre tenu un rapport de supériorité avec lui. Comment aujourd'hui repenser cette rela tion trop souvent conçue comme utilitariste ? Peut-être en s'interrogeant sur la place de l'humain comme " vivant parmi les vivants ". Cette nouvelle approche passe par la reconnaissance du juste apport de l'animal dans de nombreux domaines. Elle permet de mesurer combien humains et animaux ont évolué de concert en s'appor tant savoirs et connaissances. Aujourd'hui, la crise sanitaire nous interroge sur les mécanismes de l'émergence de nouveaux agents infectieux issus de la faune sauvage, mais aussi plus généralement sur les rapports entre les animaux et les humains. Un lien qu'il nous appartient de décrypter pour inventer une relation plus équilibrée, permettant de dessiner les contours d'un nouveau pacte avec l'animal. Un ouvrage collectif sous la direction de Martine Hossaert-McKey, Frédéric Keck et Serge Morand Institut écologie et environnement INEE/CNRS Rose-Marie Arbogast, Fabienne Aujard, Silvia Bagni, Eric Baratay, Nicolas Baron, Philippe Billet, Clotilde Boitard, Thomas Cucchi, Colin Fontaine, Philippe Grandcolas, Martine Hossaert-McKey, Christian Jeunesse, Sabrina Krief, Olivier Le Bot, Jane Lecomte, Virginie Maris, Serge Morand, Ludovic Orlando, Marie Pelé, Violette Pouillard, Emmanuelle Pouydebat, Emmanuel Porte, Charles Stépanoff, Cédric Sueur, Stéphanie Thiébault, Claire Vial, Jean-Denis Vigne Dans la même collection : Biodiversité(s). Nouveaux regards sur le vivant ; Mondes polaires. Hommes et biodiversités, des défis pour la science ; Ecologie chimique. Le langage de la nature ; Mondes marins. Voyage insolite au coeur des océans ; Ecologie tropicale. De l'ombre à la lumière ; Empreinte du vivant. L'ADN de l'environnement ; Ecologie de la santé. Pour une nouvelle lecture de nos maux ; Mangrove. Une forêt dans la mer ; Pré-histoires. La conquête des territoires ; Abeilles. Une histoire intime avec l'humanité.

11/2021

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Ecrits sur l'art

Histoires vraies. Edition bilingue français-anglais

Histoires vraies 320 pages Bilingue français-anglais 250 reproductions Format : 22 x 15 cm Broché Textes : Sarah Ihler-Meyer, Frank Lamy, Nicolas Surlapierre Graphisme : Paulin Barthe Editions du MAC VAL ISBN : 978-2-900450-15-4 Office : 7 avril 2023 25 euros L'exposition "Histoires vraies" réunit les oeuvres d'une quarantaine d'artistes de générations diverses. Poursuivant les recherches, autour de la construction du Sujet, développées dans les expositions temporaires depuis 2005, "Histoires vraies" prend la suite de "Lignes de vies (une exposition de légendes)" (2019) qui explorait les passages poreux entre art et autobiographie, entre réel et fictions. "Histoires vraies" prolonge cette déambulation dans des territoires fictionnels en s'attachant, cette fois, moins aux effets d'aller-retour entre l'art et le monde, mais en proposant des approches parallèles de la Réalité. Ce nouveau volet réaffirme l'idée selon laquelle tout est fiction, le réel étant superposition, feuilletage, tissé d'histoires diverses et variées. Les entités artistiques réunies dans "Histoires vraies" ont en commun de recourir à des dispositifs, stratégies et postures fictionnelles qui, néanmoins, s'ancrent dans des tentatives de description du monde, teintées, notamment, de narration spéculative et de regards documentaires. Ca invente, ça raconte, ça imagine. Alter ego, personnages sont légion. Elles et ils effeuillent les couches des apparences pour mettre à jour d'autres narrations, pour faire émerger d'autres récits, pour réfléchir au mieux le réel. Réel qu'il ne s'agit en rien de fuir, bien au contraire. S'y planter pleinement, s'y ancrer tout en le contournant. "Histoires vraies" ... Un titre pour le moins paradoxal. Qu'en est-il de la vérité ? De la véracité ? Doit-on croire ce que les artistes nous racontent ? Le réel existe-t-il en dehors de sa formulation ? (Se) raconter des histoires : ce besoin immémorial de storytelling, pour comprendre, articuler, réfléchir le monde, résonne tout particulièrement à l'heure de la postvérité et autres avatars peuplant les métavers. Les réseaux sont emplis de ce que l'on nomme symptomatiquement "Réels" , "Stories" ... Décidément, tout est histoires. La publication qui accompagne l'exposition a une portée exhaustive. Chacun des artistes se voit consacré un cahier de 8 pages mêlant images et contribution originale de la critique d'art Sarah Ihler-Meyer. Complété par des contributions du directeur du MAC VAL et du commissaire de l'exposition, le catalogue documentera ainsi toutes les oeuvres présentées dans l'exposition, irradiant l'ensemble de la production des artistes. Exposition au MAC VAL : 4 février-17 septembre 2023 Avec les oeuvres de Aletheia, Alexis Foiny, Alice Brygo, Anaïs-Tohé Commaret, Anne Brégeaut, Anne-James Chaton, Aurélie Ferruel et Florentine Guédon, Aurélien Mauplot, collectif 1. 0. 3, Esther Ferrer, Etienne Charry, Farès Hadj-Sadok, Hippolyte Hentgen, Jean-Charles de Quillacq, Jordan Roger, Katia Kameli, Kenny Dunkan, Kent Monkman, Laura Bottereau & Marine Fiquet, Marie Losier, Mary Sibande, Mehryl Levisse, Olivier Nottellet, Pejvak, Regine Kolle, Romain Kronenberg, Sam Moore, Sebastien Loghman, Suzanne Husky, SMITH, Sylvie Ruaulx, Véronique Hubert, Vincent Volkart, Virginie Barré, Yan Tomaszewski, Youri Johnson.

04/2023

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Design

Tendance, vous avez dit tendance ?

Dans ce livre de souvenirs, l'auteur évoque ces années de formation et lève le voile sur un métier de l'ombre, peu connu, mais essentiel dans notre quotidien. Depuis les années 1970, Nelly Rodi hume l'" air du temps" et explore les tendances à venir. Architecture, mode, arts de la table, matières, lumières et couleurs, rien n'échappe à son oeil avisé qui se charge de capter les goûts de demain et les évolutions futures. Tout commence en Algérie, à l'époque département français. Cette jeunesse, emplie de tolérance, de mixité humaine et sociale et de variété des styles vestimentaires, sera la matrice de sa vie future et les constantes de sa vie professionnelle. Au début des années 1970, baccalauréat en poche, elle est prise comme stagiaire par Monique Fayolle au "bureau de style" de Monoprix. Une expérience inoubliable. Dans cette équipe, on conçoit des objets du quotidien au design avant-gardiste, dont de nombreuses pièces, aux couleurs psychédéliques, deviendront iconiques. "Le beau au prix du moche", telle est la ligne de conduite. Une révolution dans la France pompidolienne, où l'on se transmet le vaisselier Henri-II depuis plusieurs générations... Puis, ce seront les différents organismes professionnels, où Nelly Rodi apprendra le métier "sur le tas", n'hésitant pas à payer de sa personne et faire les ourlets juste avant les défilés sur les robes de deux jeunes créateurs, Yves Saint Laurent et Karl Lagerfeld. Après vingt années à faire de la prospection pour d'autres, elle se lancera et fondera l'agence Nelly Rodi Trendlab, l'un des premiers "bureaux d'études " français indépendants et actuellement toujours leader sur le marché, avec des antennes aux quatre coins du monde. Le rôle des "bureaux d'études " ou "bureaux de style" est de prévoir les tendances dans les deux années à venir, de donner des pistes aux créatifs et aux industriels afin de préparer les saisons futures. Un travail très en amont, loin des "influenceurs" de l'instant présent, un travail fait d'observations, d'anticipations et d'intuitions. Dans ce livre, Nelly Rodi donne les clés du métier, issues de sa longue expérience. Matières, modes, couleurs, détails, époques, genre, cycles, luxe, développement durable, Intelligence artificielle, influenceurs, réseaux sociaux, tous les aspects de la tendance sont abordés et expliqués. Mais, la tendance, c'est aussi des rencontres, comme avec ce jeune créateur qui dessinait des bijoux pour se faire un peu d'argent afin de lancer sa griffe... un certain Jean-Paul Gaultier, ou avec Courrèges, qui infléchira considérablement son destin, ou encore avec Pierre Bergé, avec qui elle formera longtemps un tandem actif au sein de nombreuses organisations syndicales de la mode. Et tant d'autres. Mais, la tendance, c'est aussi des échecs, avec des événements qui peuvent surgir à tout moment et bouleverser ce qui était prévu : le 11 Septembre, les aléas climatiques, les attentats, l'actualité angoissante, etc. Un monde perpétuellement en évolution, qu'il faut savoir décrypter. De sa naissance en Anjou en passant par l'Algérie Française, le Japon et la Bretagne, pour la première fois, Nelly Rodi lève le voile sur sa vie privée ainsi que sur une profession tout de mystères et de rencontres, aux confluents de la mode et de la création.

09/2023

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Italie

Leone Ginzburg, un intellectuel contre le fascisme. Suivi de Entretiens avec Giovanni de Luna, Paola Agosti et Martin Rueff

Leone Ginzburg (1909-1944) fonde en 1933, avec Giulio Einaudi et Cesare Pavese, les éditions Einaudi. Il meurt de sa radicalité en 1944, assassiné par les nazis. Il a inscrit la culture comme premier front de l'antifascisme. Florence Mauro raconte sa vie tirée comme un trait droit et sans bavure, sans aucune compromission, marquée par l'exigence intellectuelle. A la fin des années 1920 à Turin s'était formé un groupe de jeunes, au lycée d'Azeglio et ensuite à l'université. Leur maître Augusto Monti disait qu'il leur enseignait Dante et la politique. Les élèves se nommaient : Leone Ginzburg, Cesare Pavese, Noberto Bobbio, Massimo Mila, Vittorio Foa, Mario Lévi. Leone Ginzburg (1909-1944) est apparu très vite comme la figure émergeante de ce groupe par son attitude morale exemplaire, tant sur le plan intellectuel que politique. En 1933 il fonde, avec Giulio Einaudi et Cesare Pavese, les éditions Einaudi : en 1937 et 1938, il y installe les grandes collections, historiques, scientifiques, et les traductions de la littérature européenne : lui-même, d'origine russe et russophone, traduit les auteurs russes ou révise des traductions (Gogol, Tolstoï, Pouchkine, Dostoïevski, Tourgueniev) tandis que Cesare Pavese traduit les textes les plus novateurs de la littérature américaine (Sinclair Lewis, Herman Melville, John Dos Passos, Gertrude Stein...). De 1941 à 1943, condamné par le régime fasciste à la relégation dans un petit village des monts des Abruzzes, il écrit sans cesse pour la " Casa " Einaudi, et exige l'excellence du travail éditorial. Dans une incessante revendication de ses positions antifascistes, Ginzburg est mort de sa radicalité en 1944, à la prison romaine de Regina Coeli, assassiné par les nazis. Avec une écriture impliquée, Florence Mauro raconte la vie de Leone Ginzburg tirée comme un trait droit et sans bavure, sans aucune compromission, marquée par l'exigence intellectuelle. Par sa lutte jamais relâchée pour la liberté d'écrire, de traduire, d'enseigner, de transmettre, il a contribué à maintenir un rempart indispensable contre la montée d'une société totalitaire. L'autrice remet en lumière son intransigeance et sa radicalité face aux événements contemporains de sa génération. Il est un modèle qui parle aujourd'hui et enseigne à ne pas manquer de vigilance. Elle transmet au lecteur d'aujourd'hui son empathie pour le personnage de Leone Ginzburg qui devient par moments héros de roman : elle l'imagine dans une quotidienneté, avec ses camarades de lycée dans les cafés de Turin, ou avec sa famille dans le confino des Abruzzes où il est exilé par le pouvoir fasciste. Elle le met en scène, se fondant sur des écrits retrouvés, des témoignages, des archives. Elle décrit ses enquêtes dans les archives à Turin et à Rome, ses déambulations sur les pas de Leone Ginzburg, ses rencontres avec des témoins ou des historiens. A travers le geste d'écriture, Leone Ginzburg inscrit la culture comme premier front de l'antifascisme. Pour lui tout acte de langage devient acte politique. Comment des articles écrits dans la célèbre revue La Cultura - reprise par la Casa Einaudi - apparaissent-ils comme les mots les plus engagés de la Résistance ? Comment la Casa Einaudi est-elle au coeur, dès sa création, d'un des enjeux essentiels de la démocratie, du renouvellement d'un patrimoine qui a fondé un pays, et de sa très nécessaire leçon de résistance à venir ? Il est à noter que l'épouse de Leone, Natalia Ginzburg, née Natalia Levi, a été une grande écrivaine. Leone et Natalia ont eu trois enfants dont Carlo Ginzburg le célèbre historien pionnier de la micro-histoire et historien de l'art.

09/2022

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Philosophie

Métaphysique africaine de la parole

Métaphysique africaine de la parole Cet ouvrage analyse, d'un point de vue métaphysique, l'idée africaine selon laquelle "la parole de l'homme, c'est l'homme lui-même". La métaphysique, dans son acception académique, désigne la philosophie première ou la science fondamentale. Dans cette perspective, les réflexions rassemblées dans cet ouvrage sont une philosophie première de la parole dans le contexte africain. Il s'agit de reconnaître que l'humanité ou l'essence de l'humain est la parole au sens génitif. Dans l'expression "l'homme est sa parole", la substance de l'homme se présente comme langage. Dans la littéralité de l'adresse qu'elle initie, toute parole, en son phénomène propre, revêt une texture de signe, et s'énonce comme la sonorité du verbe. Les mots se disent, ils scellent leur portée en tant que dits d'un dire - dire d'un irrémédiable départ entre la saillie de leur énonciation et le retrait d'une intention de sens en l'homme. L'ouvrage rassemble, dans l'humilité des signes de l'écriture, le service d'un inconnu de la parole orale, qui ne se lève qu'au risque d'une sollicitation à écouter le fond sonore de chaque mot écrit, dans la tracée des lettres. La carnation de l'oralité en un texte n'est pas la rédaction de la parole s'abandonnant à la prise du visible, mais la récapitulation de l'abaissement de tout pouvoir en l'homme, et de toute possibilité de pouvoir supprimer l'anonymat silencieux.

11/2019

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Droit

La formation en situation de travail. Agents, managers et systèmes au coeur du dispositif

Le présent ouvrage explique en quoi l'action de formation en situation de travail (l'afest), qui fusionne les situations de formation et de travail, pourrait contribuer à l'évolution des métiers de la fonction publique territoriale, notamment avec l'inclusion du numérique. Il analyse l'afest en profondeur sur le plan des pratiques de la formation pour adultes et présente une méthode didactique sur la façon dont se fabriquent les compétences. Il met également en perspective deux approches : celle de la "compétence artefact" qui fait l'impasse sur la personne et son écologie pour répondre à l'urgence économique, et celle de la "compétence objet-but" qui participe à l'objectif de la collectivité et la relie au parcours professionnel, au métier. Pour dépasser cette opposition, l'ouvrage chemine vers une invitation à l'organisation apprenante à partir d'une forme spécifique de management où le formateur-manager occupe un rôle de premier plan. Et il montre comment, à partir d'une approche systémique, les bonnes pratiques collectives de l'"apprenance" peuvent dynamiser les pratiques individuelles. L'auteur lève aussi le voile sur le mode de fabrication de la compétence, un voyage à programmer vers des zones de soi à découvrir... Enfin, cet ouvrage apporte un éclairage sur un nouveau rôle des collectivités sur le plan de l'attractivité du territoire et notamment celui de la Région : susciter des vocations auprès des jeunes et réguler l'éthique de l'utilisation de la fest auprès des acteurs économiques qui s'en sont saisis.

09/2019

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Littérature française

Old Quercy Blues

Célestin Réveilhac est de retour. Dix ans après l'affaire de Puy Blanc. Sale décennie durant laquelle il a tout perdu : famille disloquée, maison vendue à l'encan... Il revient, avec sa valise et sa tristesse dans son coin de Quercy. Seul. Enfin, pas vraiment. Il y a Makhno le chien, son pote. Il revient, blessé mais pas abattu, toujours citoyen soucieux de l'avenir du monde. Parce que la révolte est un pli de l'âme. Tu l'as ou tu l'as pas. Célestin l'a. Il ne finira donc pas vieux sage. Il est fidèle à ses engagements comme à ses amitiés ; quand Jordi l'appelle à l'aide, Célestin répond présent. Jordi, diligenté par l'Etat pour effectuer des recherches sur les dérives sectaires, a levé un lièvre dont le pelage exhale de vilains remugles. Une bizarre institution privée genre colonie pénitentiaire, sise dans la région, nommées "Renaissance", où de partout les familles de la haute envoient leurs rejetons se faire redresser les moeurs. D'où des garçons et des filles disparaissent. Certitude : ça pue la secte. Célestin repart donc sur le sentier de la guerre, avec les mêmes compagnons, plus de nouveaux. Ils buteront sur d'obscurs chemins, où ils se heurteront à La Bête immonde. Comme quoi jamais il ne faut baisser la garde, quitte à se frotter à Madame la Camarde. Old Quercy blues. Sauf que la vie a plein de tours dans son sac à malices... Par exemple embarquer sur le même radeau un vieux libertaire et une colonelle de Gendarmerie...

01/2021

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Récits de voyage

Passage en Alaska

"La mer me fait peur", avoue Jonathan Raban, navigateur hors pair, et c'est ce mélange d'angoisse et de fascination qui fait le prix de ce livre. A peine installé à Seattle, il décide de rejoindre à la voile Juneau, en Alaska : mille six cents kilomètres d'un entrelacs d'îles et de canaux aux eaux tourbillonnantes, traversés de courants dangereux, empruntés pourtant depuis des temps immémoriaux. Ici s'est épanouie la culture du canoë des peuples autochtones, avec leurs fabuleux masques peints, leur iconographie complexe, leurs histoires de dieux sous-marins aussi néfastes que retors. Trappeurs et autres coureurs des bois eurent tôt fait de s'engouffrer dans le sillage des premiers explorateurs, eux-mêmes bientôt suivis par des colons, des missionnaires, des anthropologues et des pêcheurs dont les histoires, les rêves, les conflits hantent parfois chaque pouce de terrain. Est-ce par nécessité de faire le point que Raban a levé l'ancre ? Ou bien par besoin de s'immerger dans l'énigme de la mer, d'en recueillir l'écho dans les mythologies et les arts indiens, dans les journaux du capitaine Vancouver, dans la poésie et la peinture, dans la physique des vagues. Peu à peu, cette aventure dans le "Grand Dehors", au coeur de la nature sauvage, entraînera l'auteur dans des eaux plus profondes, plus sombres, plus personnelles qu'il ne l'avait imaginé, quand un drame imprévu bouleversera le déroulement du voyage et le précipitera dans une exploration des replis les plus secrets du coeur de l'homme.

05/2019

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Critique littéraire

Mémoire

Tout le monde croit connaître Catherine Clément. Chacun est capable d'évoquer à son sujet sa passion pour l'Inde, ses romans philosophiques, ses années d'enseignement et de journaliste, ses missions aux affaires étrangères qui l'ont menée, avec son compagnon ambassadeur, aussi bien à Vienne et à Delhi qu'à la découverte de l'Afrique, sa fréquentation des sphères de la psychanalyse, mais cet inventaire paraît déjà aussi désordonné qu'incertain, aussi sommaire que réducteur. En vérité, personne ne connaît Catherine Clément. Voilà ce qui apparaît d'emblée à la lecture de ses mémoires. A travers ses rares récits autobiographiques (dont Cherche Midi, Stock, 2000), ses lecteurs ont approché son enfance de petite fille juive française, mais jamais Catherine Clément avant la publication de ce livre n'aura dévoilé tant de secrets, de souvenirs enfouis, de mystères jamais élucidés. De sa complicité fraternelle aux amitiés éternelles, on la découvre jeune enseignante, engagée au parti communiste ou proche de certains politiques, parmi lesquels deux présidents, Jacques Chirac et François Mitterrand. On lira avec une émotion très particulière les portraits qu'elle trace de ses grands maîtres, Jankélévitch, Lacan, Lévi-Strauss ou ceux de personnages tels que Roland Barthes ou Jean-Paul Sartre. Au final, on n'obtiendrait que le parcours hors norme d'une intellectuelle si ce livre de mémoires d'une femme de soixante-dix ans n'était pas avant tout par son écriture, sa liberté, ses incorrections, ses indiscrétions, son humour, sa tendresse et son absence totale de complaisance, la vie même.

01/2009

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Littérature étrangère

Madame Solario

Sur le célébrissime lac de Côme, en Italie, dans un hôtel 1900, des aristocrates cosmopolites s'adonnent aux joies électives de la villégiature et de l'entre-soi. Un jeune couple, qui irradie la beauté et le mystère, va mettre à mal l'ordonnancement de cette bonne société. Natalia, la jeune et jolie veuve d'un richissime marchand et son frère, Eugène Ardent, qui la rejoint à Côme après des années de séparation sont liés par un terrible mystère. A l'heure où ils se retrouvent, privés de fortune, leur amour éclate. Ils décident d'user de leur pouvoir de séduction pour suborner la bonne société qui les entoure et en obtenir les faveurs. Véritable enquête policière perçant enfin l'anonymat de l'auteur de Madame Solario, la préface de Bernard Cohen lève le voile sur la personnalité restée longtemps mystérieuse de l'écrivain qui a publié en 1956 ce roman, salué alors par une critique unanime comme un événement littéraire d'une exceptionnelle importance et dont Marguerite Yourcenar avait fait son livre de chevet. La presse américaine avait parlé d'une "Françoise Sagan mâtinée d'Henry James", et un critique australien crut détecter la plume d'un Anglais de 75 ans, tandis qu'une psychanalyste, Nata Minor, allait hasarder l'hypothèse que l'auteur n'était autre que Winston Churchill. La vérité, si elle est moins romanesque, est tout aussi dramatique : Gladys Huntington s'est suicidée deux ans après la sortie de ce best-seller qui a marqué plusieurs générations.

01/2013

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Santé, diététique, beauté

Ma vie pour deux

Sur un site de rencontres, Suzana est séduite par un homme au profil atypique, il est quadri-amputé. A presque 40 ans, maman de trois enfants, elle décide de faire un bout de chemin avec lui sans imaginer que son destin va basculer. Cet homme, c'est Philippe Croizon qui, quelques mois plus tard, décide de se lancer dans un défi inconcevable : traverser la Manche à la nage. Durant deux ans, Suzana va tout sacrifier pour lui permettre d'aller au bout de ses rêves, quitte à rester des heures transie dans le froid à l'observer nager. Elle est de ces femmes inspirantes, volontaires et dévouées, sans qui rien ne serait possible. Depuis, ce nageur de l'extrême a enchaîné les folies, dans l'eau en reliant les cinq continents à la nage, sur terre en bouclant un Dakar en 2017. Mais au-delà de l'image héroïque façonnée par les médias, à quoi ressemble la vie avec une personne dépendante ? Suzana lève le voile sur un quotidien qui ne lui laisse aucun répit, sur un amour parfois harassant. Dans son témoignage, se reconnaîtront probablement huit millions d'invisibles en France : les aidants ! Dévoués sans relâche à un proche âgé ou handicapé, sans droits ni considération, ils renoncent souvent à eux-mêmes, au point de mettre parfois leur propre santé en danger. Au fil de cette histoire palpitante, qui évoque les grands moments d'une vie à deux, se dessine le portrait d'une femme touchante, battante et profondément généreuse. Une femme "ordinaire" qui mérite, elle aussi, d'être dans la lumière.

02/2019

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Poésie

Et toi mon coeur pourquoi bas-tu

Fait des proses et des poèmes que je connais - ou connaissais - par cœur, ce livre n'aspire à rien d'autre qu'à donner un peu de plaisir, et peut-être d'émotion, à ceux qui le liront. Voilà des mots qui ne sont pas de moi et qui valent mieux que moi, mais qui, à force de familiarité, d'admiration, d'une répétition intérieure proche de la rumination, ont fini par se confondre avec moi : il m'arrive de les dire au soir quand il tombe sur la ville, sur la campagne, sur la neige ou au matin qui se lève sur la mer. Ils tournent, pour la plupart, autour de ces passions qui nous donnent à tous tant de bonheur et tant de souffrance. Et toi mon cœur pourquoi bats-tu. Renonçant à la fois à l'ordre chronologique ou alphabétique et au classement par thèmes, j'ai choisi de présenter en désordre, en vrac, comme ils me venaient à l'esprit et au cœur, ces mots ailés aux lecteurs. Avec pourtant un dessein nonchalant - changements de lumière, passage du temps, résonances, contrepoints - qu'au fil des pages chacun découvrira. Plaisir. Emotion. Jusque dans les vers et les proses les plus simples de ce livre, il y a encore autre chose une élévation, une hauteur, une sorte d'appel vers ailleurs. " La littérature, écrit Pessoa, est la preuve que la vie ne suffit pas. " Les textes ici réunis ont le pouvoir mystérieux de rendre la vie plus belle et de transformer notre existence. J. 0.

10/2003

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Littérature étrangère

Les derniers romantiques

Histoire sensible d'une famille américaine sur plusieurs décennies, Les Derniers Romantiques interroge sur les liens indéfectibles qui nous unissent à ceux que nous aimons, à la façon dont on peut perdre et retrouver les êtres aimés. Un best-seller du New York Times, plébiscité par la critique et le public américains. Dans un monde en proie au dérèglement climatique, Fiona Skinner, 102 ans, poétesse de renom, vient de donner sa première lecture publique depuis vingt-cinq ans quand une jeune femme se lève dans l'auditorium. Elle lui dit s'appeler Luna. Luna. Une apparition fantomatique... Un prénom surgi du passé... Alors Fiona se souvient. Au cours de l'été 1981, Reine, Caroline, Joe et Fiona Skinner perdent leur père. Puis assistent, impuissants, à la dérive de leur mère. Agés de 12 à 4 ans et livrés à eux-mêmes, ils ne sortiront pas indemnes, mais soudés à jamais, de cet été-là - qu'ils appelleront par la suite La Grande Parenthèse. Vingt ans plus tard, surviendra une nouvelle tragédie familiale... Emouvant et ambitieux, Les Derniers Romantiques interroge nos choix de vie, les conséquences qu'ils ont sur notre avenir, et les liens qui nous unissent à ceux que nous aimons. Utilisant l'art du flash-back, Tara Conklin nous livre avec une grande finesse psychologique le portrait d'une famille américaine, dans la veine des romans de Meg Wolitzer, Ann Patchett ou Elizabeth Strout. Les Portraits de Joséphine, son premier roman, a été traduit dans huit pays.

10/2020

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Littérature française

Une partie de chasse

Un roman d'éducation: fureur et mystère. Au cours d’une partie de chasse, un homme tombe dans une galerie souterraine. Tristan est désigné pour rester sur les lieux tandis que les autres iront chercher du renfort. Mais les secours n’arrivent pas et la tempête se lève. Une longue attente commence. Tout en essayant de soutenir moralement celui qui s’est blessé en tombant (et dont il se sent si loin), Tristan se remémore la suite des événements. Il revit sa rencontre avec sa femme Emma, l’évolution de leur relation. C’est elle qui l’a convaincu de partir chasser, pour que les autres l’acceptent dans le cercle des hommes. Il repense aussi à sa mère malade dont l’image le hante encore aujourd’hui, au petit garçon docile qu’il était alors à son chevet. Et lui, qui a toujours plié sous la volonté des femmes, interroge enfin la place de son propre désir. Tristan s’abrite de la tempête comme on se terre au fond d’un terrier, dialoguant en cachette avec un animal rescapé de la partie de chasse, quand les voix des humains ne lui parviennent plus. La nature se déchaîne alors dans une colère salutaire. Et peut-être le déluge, qui emporte tout sur son passage, obéit-il au rêve de Tristan de faire table rase. Avec Une partie de chasse, Agnès Desarthe signe un roman violent et énigmatique. Il nous parle d'un monde que les dieux auraient abandonné, laissant la place aux pulsions les plus secrètes qui dorment dans le coeur des hommes.

08/2012

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Littérature française

Un monde mouvant et sans limites. Tableau de l'amour macabre, premiers poèmes et autres écrits

Le nom de Maurice Heine (1884-1940) est indéfectiblement lié à celui du marquis de Sade dont il fut le premier éditeur scientifique. Proche ami de Breton, Bataille, Klossowski, Gilbert Lely ou encore Henri Pastoureau, il est également un poète, un érudit et un révolutionnaire. Son oeuvre aussi fascinante que méconnue révèle ici, par elle-même comme par la riche présentation qu'en donne Georges-Henri Morin, sa crépusculaire intensité, de ses premiers poèmes édités avant 1920 jusqu'à l'inédit Tableau de l'amour macabre - une étude autour du sergent Bertrand, nécrophile ayant défrayé la chronique en 1849 - en passant par quelques-uns des articles qu'il donna à la revue Minotaure dans les années 1930. De ceux-ci nous avons retenu diverses études sur la représentation des prodiges de l'Apocalypse, des divinités tibétaines, des saints martyrs, une "Note " sur les paresthésies sexuelles ainsi qu'une curieuse pièce amphithéâtrale réunissant les ombres du Divin Marquis, de Jack l'Eventreur et du professeur Brouardel, spécialiste de médecine légale. Cet ensemble témoigne des recherches constantes de leur auteur sur ce qui lie la sexualité et la mort, notamment dans les pratiques perverses de certains vivants, lesquelles lui livrent accès au "monde mouvant et sans limites" qu'est l'être humain et dont Sade lui avait désigné les chemins. Au-delà de leur aspect documenté et scientifique, c'est à une expérience poétique et esthétique que nous convient ces textes, dont la saisissante iconographie, choisie par Heine lui-même pour accompagner ses articles, donne la mesure.

01/2021

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Sciences historiques

GIGN : confessions d'un OPS

Philippe B. n'aurait jamais dû se trouver à la place qui fut si souvent la sienne durant ces quinze dernières années : en tête d'une colonne d'assaut du GIGN. Elevé à la dure, son aptitude aux arts martiaux l'amène très tôt aux frontières de l'ultra-violence et de la délinquance. Pourtant, depuis qu'il a suivi en direct à la télévision le célèbre assaut du GIGN sur un Airbus à Marignane, alors qu'il avait 16 ans, Philippe B. a pour nouvelle ambition d'intégrer le "Groupe". Après un parcours sinueux et semé d'embûches, il passe les tests de sélection et finit parmi les premiers de sa promotion, mais les psychologues s'opposent à sa candidature en raison de son profil pour le moins atypique et de ses erreurs de jeunesse. Les instructeurs en décident autrement : ils savent qu'ils vont pouvoir canaliser son énergie et lui offrir une nouvelle vie, celle d'un opérationnel du GIGN. Voici donc l'histoire de Philippe B., un "ops" au parcours hors du commun - chuteur opérationnel, instructeur en sports de combat, expert en explosifs et tireur d'exception dont l'adresse sera déterminante pour la réussite de certaines missions. Entre son éducation "spartiate" et ses interventions en Libye, dans le golfe d'Aden, en Irak, ou ses dernières opérations antiterroristes sur le territoire national, il lève le voile sur le quotidien des opérationnels du GIGN. Ce sont des individus d'exception qui font la force du Groupe fondé par Christian Prouteau. Philippe B. fait partie de ceux-là.

01/2019

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Poésie

La Vicomtesse d'Éristal n'a pas reçu son balai mécanique. Souvenirs d'un jeune homme

Jean Anouilh se défend d'avoir voulu écrire ses mémoires. Il n'est pas Saint-Simon, dit-il, ni Chateaubriand qui n'hésitait pas à embellir les épisodes de sa vie. Il est Jean Anouilh, tout simplement, l'homme de théâtre le plus présent sur nos scènes depuis cinquante ans. Il nous a fait rire, pleurer, il nous a serré la gorge. Nous avons vécu avec lui, et pourtant nous le connaissons à peine cet homme discret, effacé derrière son oeuvre. Dans La vicomtesse d'Eristal n'a pas reçu son balai mécanique il soulève un coin du voile. Ce n'est pas pour nous éblouir, c'est par un petit coup de tendresse moqueuse pour le jeune homme qu'il a été et qui découvrait la vie un peu à la manière d'un Buster Keaton. Il avoue avoir du mal à se reconnaître dans ce personnage ballotté par la vie, aux prises avec ces monstres pas toujours sacrés que sont les comédiens et les directeurs de théâtre, mais nous, nous savons bien que c'est déjà lui avec ses modesties et ses certitudes. Après tout, le monologue c'est encore du théâtre. Le rideau se lève sur une scène à peu près nue. Une petite fille dort dans une valise. Son papa écrit et n'a pas de quoi payer son loyer, mais sur la table s'accumulent les manuscrits peuplés de tous ces personnages qui ont accompagné sa vie imaginaire et sa vie réelle. L'homme de théâtre est un magicien.

02/1987