L'avenir s'avère plus radieux pour Carla qui s'est trouvé une riche mécène pour sa jeune carrière de peintre dans la ville de Rome.
La redoutable main mise du pape sur la décadente ville de Florence, avec le concours de la riche famille Médicis, qui oeuvrait pour supplanter la famille Pazzi en place, contraint Carla et le jeune sculpteur Vincenzo « Enzo » Pazzi à fuir la ville au péril de leurs vies.
Le portrait peint de sa meilleure amie Lena lui donne espoir et courage afin de ne pas se retourner et Carla fait fi des remarques assassines d'un peintre concurrent, Matteo Mazzi, qui semble faire tourner la tête et le cœur de sa mécène Claudia. Peu à peu, le comportement de Claudia se modifie et la malédiction de la pierre de lune reprend aussi de l'emprise. Le fantôme de la mère de Carla n'en a pas fini avec la famille Pazzi. Néanmoins, Carla et Enzo réapprennent à se faire confiance dans l'adversité et vont ensemble faire face à ce qui se prépare sur Rome.
Les aventures de Carla montent d'un cran dans la tension. Carla et Vincenzo se réconcilient et se soutiennent dans leurs projets artistiques, la peinture pour l'une, la sculpture pour l'autre. , nous présente une société cultivée, mais cependant futile dans l'abondance, le confort. Claudia, jeune mécène, se montre extravagante, capricieuse, un aspect difficilement gérable pour Carla qui cherche la sécurité. Les petites guerres intestines de pouvoir, les grandes ambitions politiques et les apparitions de la mère placent Carla dans un étau redoutable. L'adolescence cède petit à petit son insouciance.
Carla ne cessera de trouver l'échappatoire à l'instrumentalisation et l'intention criminelle constante.
Sa personnalité entière et sincère déclenchera des élans de solidarité, de Zita la servante de Claudia à Sabella la vieille voisine de cellule.
Vraie et fausse sorcellerie, flirts et charmes d'amour sous influence magique, la malédiction de la pierre de lune nous emporte avec intérêt et excitation.