Michael Walzer et l'empreinte du judaïsme

BONNES FEUILLES - Au cœur de Paris, le docteur Fron pratique depuis quarante ans une médecine qui ressemble à celle qui existe parfois encore dans les campagnes. Celle qui prend le temps d’écouter, de se rendre chez les gens, de tisser patiemment une relation de confiance. 

BONNES FEUILLES — Un nouvel ouvrage signé Emma Green. Cette fois le milieu hospitalier joue le rôle de décor dans une histoire où ceux qui ont tant de vies entre les mains doivent aussi s'occuper de sauver les leurs.

BONNES FEUILLES — Montréal, 1900. Grâce à la recommandation de sa cousine, Florence Provencher décroche un emploi auprès de la prestigieuse famille Calder... 

HIVER2024 - Las de la routine avec sa fille adolescente, Nana Miller décide impulsivement de s'octroyer une pause à Copenhague, cette métropole évoquant les histoires enchantées. Toutefois, son séjour prend une tournure inattendue avec une nouvelle stupéfiante...

Un chef-d’œuvre de manigances sur les pas d’un anti-héros délicieusement exaspérant.

[AVANT-PARUTION] La romancière Gaëlle Nohant sortira son prochain roman aux éditions Grasset, quittant par là même les éditions Héloïse d’Ormesson où elle avait fait paraître ses précédents ouvrages. La femme révélée sortira pour la rentrée de janvier, avec une nouvelle exploration de la romancière.

Rentréelittéraire2023 - Robert Menasse a entrepris depuis La Capitale une critique vigoureuse des institutions européennes par tous les moyens de la fiction. 

BONNES FEUILLES - Quel destin d’exception que celui de Joséphine d’Yquem (1768-1851), héritière à dix-sept ans d’un domaine encore inconnu. 

RentreeLitteraire23 - Un portrait de femme moderne, active, rebelle, qui fait bouger les lignes, voilà ce que cherchent tous les éditeurs pour la prochaine rentrée littéraire. 

BONNES FEUILLES - « Enfant, j’évitais déjà les contes de fée. À six ans je décrétais que leurs personnages ne m’intéressaient pas. Ni les princes, ni les princesses. 

BONNES FEUILLES - Que faire quand un avion piloté par des gangsters s'écrase dans une campagne argentine pauvre, répandant des ballots de cocaïne par dizaines ? Ramasser la came bien sûr.

BONNES FEUILLES - On les appelait cane sciolti, chiens sans collier, parce qu'ils ne voulaient appartenir à aucune organisation politique dans cette Italie des années soixante-dix, quand toute une jeunesse rêvait de renverser la table pour changer le monde. 

HIVER2024 - Alice, une jeune assistante parlementaire, endure depuis trop longtemps un travail peu rémunéré, ajouté à des conditions peu souhaitables. Alors qu'elle aspirait à devenir une haute gradée militaire, elle se voit réduite au rôle d'un simple soldat obéissant...

BONNES FEUILLES - Des dauphins, nous avons souvent une image romantique, que Fabienne Delfour s’emploie à déconstruire, révélant des animaux extraordinaires. 

BONNES FEUILLES - Qui sont les autres, qui sommes-nous ? Sous le prétexte d'une intrigue policière, Armel Job creuse le sillon dans lequel il excelle : révéler la nature profonde des êtres, dissimulée sous le voile des apparences.

HIVER2024 - Ici, le destin joue un rôle crucial...

BONNES FEUILLES - « Mais son père n’y était pas. À sa place, il n’y avait qu’un papier sur lequel était écrit : Ne me cherche pas. » 

#RentréeLittéraire23 - Louise rêvait d’avoir un smartphone... sans imaginer qu’il serait bientôt une arme retournée contre elle.

BONNES FEUILLES — « Peut-être trouverez-vous tout ceci étrange, insensé même : étrange, soit, mais réel. Les Anciens savaient ce que signifie “lever le voile”. Ils appelaient cela “voir le dieu Pan”. »

BONNES FEUILLES - « Vous êtes, ça ne va pas vous plaire, la dernière femme ridée sur terre. »

BONNES FEUILLES - Une nature hostile. Un tueur impitoyable. Qui sera la proie ?

BONNES FEUILLES - Si vous êtes fan des Trois Mousquetaires, des Sept Samouraïs, ou encore des Douze Salopards, préparez-vous à être captivé par Les Cinq Amazones...

BONNES FEUILLES — « Comment deviner ce qu'elle recèle, cache, vit. Tout voyageur préfère passer son chemin devant la maison Usher... »