Chapelle ardente

BONNES FEUILLES - Bernard Boutet de Monvel (1881-1949), au-delà d'être un peintre spécialisé dans le portrait de sportifs et de dandys, s'est distingué comme décorateur et illustrateur emblématique de l'élégance masculine, collaborant avec des publications renommées comme la Gazette du Bon Ton et Harper’s Bazaar. 

BONNES FEUILLES - Tout a commencé avec des livres et des rencontres. Dans les années 1990, après la fin officielle de la guerre civile au Liban, Laurent Sorcelle croise le chemin de Désirée Sadek, une jeune journaliste qui venait de sortir Le Cèdre du Liban, un ouvrage militant pour la préservation de l'ultime forêt de cèdres anciens et millénaires du nord du Liban et du monde. 

BONNES FEUILLES - Pour la rentrée d’hiver 2022, Sabine Wespieser éditeur publie le roman de Robert Seethaler, Le Dernier mouvement, traduit de l’allemand par Elisabeth Landes. A travers celui-ci, l’écrivain parvient à rendre palpable la légendaire exigence du maître, bourreau de travail Gustav Mahler, malgré sa faiblesse physique constitutive, de même que sa quête permanente de la beauté. Il sera disponible en librairie dès le 3 février. 

BONNES FEUILLES – A l’occasion de cette nouvelle rentrée littéraire, les éditons Elyzad vous proposent de découvrir le nouveau roman de Yamen Manai. En un monologue fiévreux et haletant, un jeune homme s’adresse tour à tour à son avocat et à un expert psychiatrique venus lui rendre visite en prison.

BONNES FEUILLES - Je te donne un conseil en toute amitié, me prévint Sébastien : ne remue pas la merde. Si comme tu le dis, il y a des méchants dans cette affaire, ne t’attaque pas à eux. Tu sais combien nos îles peuvent devenir violentes. Il y a des gens ici qui depuis des siècles ont construit des empires financiers dont tu ignores l’importance et les ramifications.

BONNES FEUILLES - Tous font jaillir une poésie proche de la nature et nourrie d'un lyrisme singulier, reflétant les émotions suscitées par les manifestations de la vie quotidienne. 

AVANT-PARUTION – Adaptation BD de Roland Monpierre du célèbre roman Le Gouverneur des dés de Raphaël Confiant. Évocation d’une Martinique des années 1950-60 encore vibrante de ses traditions ancestrales et originalement écrit en créole, ce roman, traduit en français par Gerry L’Étang, met en scène un personnage hors du commun : Rosalien Saint-Victor, entrepreneur en bâtiment, joueur de dés professionnel, amateur de combats de coqs et polygame assumé.

BONNES FEUILLES - Qui sont les autres, qui sommes-nous ? Sous le prétexte d'une intrigue policière, Armel Job creuse le sillon dans lequel il excelle : révéler la nature profonde des êtres, dissimulée sous le voile des apparences.

BONNES FEUILLES - Alors que se multiplient à travers le globe les échouages de baleines, cinq hommes et femmes — des êtres blessés ou endeuillés, mais n'ayant pas renoncé à faire l'expérience de la beauté du monde et de la bonté — convergent vers une mystérieuse maison bleue surplombant une plage d'Islande où viennent mourir les cétacés. Ils ne se connaissent pas encore mais une nuit les attend, qui scellera à jamais leur destin. Les éditions Gaïa publient en cette rentrée littéraire La mélancolie des baleines, nouveau roman de Philippe Gerin. 

BONNES FEUILLES - « Pleine et douce », comme la peau de la petite Ève, qui a juste vu le jour et dont une galaxie de femmes s’apprête à célébrer la naissance. Dans à peine deux semaines, aura lieu la fête en blanc organisée pour sa venue au monde. Stéphanie, sa mère, cheffe de cuisine, a toujours désiré un enfant, jamais une vie à deux. Elle est partie en Espagne, pour une procréation médicalement assistée, alors impossible en France. 

HIVER2024 - En 1937, André Breton exprimait un vœu poignant : « Je vous souhaite d’être follement aimée. » Il soulignait ainsi que l'amour est non seulement une question de liberté, tant éthique que poétique, mais aussi un phénomène qui transcende l'intimité personnelle et contraste avec le cynisme qui envahit nos existences.

HIVER2024 - En cette année 1994, nombreux sont les étudiants à gravir les marches de l’école des Beaux-Arts pour venir écouter, dans son atelier niché sous les combles, le séminaire de Christian Boltanski. François Jonas, le narrateur, boit ses paroles.