festival effractions Bpi

Effractions, le festival de littérature contemporaine de la Bibliothèque publique d'information (Bpi), revient pour sa 5e édition du 6 au 10 mars 2024 au Centre Pompidou. Depuis 2020, ce festival explore les interactions entre le réel et la fiction, et pour cette édition, il rassemble une quarantaine d'écrivains dont les œuvres questionnent des sujets variés, allant de l'intime au politique. Guénaël Boutouillet, critique et médiateur littéraire, conseille le festival depuis sa création.

La 5e édition du festival de littérature contemporaine Effractions, organisée par la Bibliothèque publique d'information (BPI), se tiendra au Centre Pompidou du 6 au 10 mars 2024. Il accueillera environ quarante écrivains pour une série de rencontres, lectures, et performances littéraires.

Depuis 2020, le festival de littérature contemporaine de la Bpi explore les liens entre réel et fiction. Dans le prolongement de ses précédentes éditions, Effractions invite au Centre Pompidou, du 8 au 12 mars 2023, une quarantaine d’auteurs et autrices dont l’écriture est traversée par des questionnements contemporains, des plus intimes aux plus politiques, mettant ainsi en lumière une littérature hybride, qui brouille les frontières entre les genres. 

Depuis 2020, le festival de littérature contemporaine de la Bpi explore les liens entre réel et fiction. Dans le prolongement de ses précédentes éditions, Effractions invite au Centre Pompidou, du 8 au 12 mars 2023, une cinquantaine d’auteurs et autrices dont l’écriture est traversée par des questionnements contemporains, des plus intimes aux plus politiques, mettant ainsi en lumière une littérature hybride, qui brouille les frontières entre les genres.

Lancé en février 2020 par la Bibliothèque publique d'information, le festival Effractions explore la porosité de la frontière entre réalité et fictions du temps présent. Saisir l’épaisseur des choses, sa densité, restituer la réalité, voilà qui anime nombre d'écrivains, et féconde leur écriture. La Bpi, centre vivant de culture et d’information, et le Centre Pompidou accueillent pour sa troisième édition ce festival fort en imagination. 

La Société des Gens de Lettres (SGDL) a décerné, dans le cadre du festival Effractions de la Bibliothèque publique d'information (Bpi), le Prix Effractions 2021 à Thomas Flahaut pour son roman Les Nuits d'été, publié par les éditions de l'Olivier.

La Bpi - Bibliothèque publique d'information du Centre Pompidou sera bien sûr concernée par les travaux de rénovation dont va bénéficier l'institution patrimoniale dédiée à l'art contemporain. L'établissement aura même droit à deux phases de labeurs, avec des travaux d’aménagement dès 2021 et des travaux structurels à partir de 2024.

Inauguré en 2020 avec une première édition en mars, le festival Effractions de la Bibliothèque publique d'information (Bpi) du Centre Pompidou récidive en 2021 avec un événement qui s'interroge sur l'appropriation du réel par les écrivains. Rendez-vous du 25 février au 1er mars prochain.

La Société des Gens Lettres a souhaité s’associer à la première édition du festival « Effractions » organisée par la Bibliothèque publique d’information, pour y remettre l’un de ses Prix Révélation baptisé Prix Effractions. Celui-ci a été décerné à Martin Mongin pour son roman Francis Rissin, publié par les éditions Tusitala.

Du 27 février au 1er mars 2020, La Bibliothèque publique d’information du Centre Pompidou organise la 1re édition de son festival de littérature contemporaine. Intitulée Effractions, il fait la part belle à 35 autrices et auteurs dont les œuvres donnent matière à penser le lien entre littérature et réel. À l’occasion de la manifestation, le webmagazine de la Bpi Balises produira également une série de podcasts du nom de Réelles fictions.

Autofictions, romans à clefs, non fictions, journalisme narratif, exofictions... Autant de genres qui ont en commun un rapport singulier et assumé au réel. Pourtant, fiction ou poésie n’ont-elles pas à nous en dire tout autant sur notre monde qu’un essai ou un documentaire ? À raconter une histoire, trahit-on déjà le réel, ou s’en sert-on pour donner à voir ce qui régit nos vies ?