Vincent Courcelle-Labrousse vient de publier aux éditions Slatkine & Cie Vivement la guerre qu’on se tue – un roman orienté noir, voire policier, évoquant la France des années 70, et la guerre d’Algérie. Mais en période de conflit ukrainien, il est des mots, comme le disait Cyrano de Bergerac, « dont on ne parle pas plus que de cordon dans la maison d’un pendu ». Le romancier nous livre sa vision des choses…