financement bd crowdfunding

Le 10 avril sortira en librairie une nouvelle revue dénommée PORTRAIT. Dédiée à cet art particulier, cette publication décline le genre du portrait en treize formats littéraires différents, rapporte Novaplanet. Née dans l'esprit de Rachèle Bevilacqua (journaliste) et Fabienne Reichenbach (communication & relations presse), cette création se présente déjà sur la plateforme de crowdfunding Ulule.

Les éditions WEBellipses et KOTOJI lancent une opération de financement participatif sur le site mondial de crowfunding

La maison d'édition participative Sandawe vient d'annoncer que « le scénariste aux 50 millions d'albums », Raoul Cauvin, avait accepté le poste de directeur éditorial. Aux côtés du fondateur, Patrick Pinchart, il prendra donc part « aux choix éditoriaux et au suivi des projets ».

Quand Sandawe  a fait irruption dans le paysage éditorial et numérique, son approche collaborative démarquait déjà la maison de toutes les autres. Sandawe proposait un modèle spécifique, impliquant les internautes à l'intérieur de la structure éditoriale. Avec un projet simple :  faire connaître les oeuvres des auteurs alors qu'elles sont encore en construction, pour leur bâtir une meilleure visibilité lors de leur lancement.

La plateforme de crowdfunding Ulule propose aux curieux d'assister à un atelier de formation, pour découvrir comment s'utilise une plateforme de crowdfunding, dans le cadre de travaux éditoriaux, livres et BD. La société française dispose d'une expertise de 3 ans dans le domaine du financement participatif. Et assure que de « plus en plus d'éditeurs indépendants ou d'auteurs qui s'autopublient » ou testent leurs projets et les financent par ce biais. 

L'article de l'Express nous apprend que Fleur Pellerin, ministre déléguée à l'économie numérique, a fait du financement participatif un axe majeur de travail. Précisons que c'est au statut juridique des sites de financement participatif que s'intéresse principalement la ministre.

Depuis hier, quatre grands acteurs de la bande dessinée ont décidé de passer par le financement participatif. Raoul Cauvin et Curd Ridel s'aventuraient avec Sandawe dans la réalisation du Bâtard de l'espace, tandis que Christian Darasse et Philippe Tome décidaient de redonner vie à une série publiée à la fin des années 90, Les Minoukinis. 

Le bâtard des étoiles est une série impulsée par Curd Ridel, au dessin, et Raoul Cauvin, son scénariste. « Depuis longtemps, nous avions envie de travailler ensemble », explique Ridel. Et c'est autour de ce projet inattendu, et un brin rock, que les deux hommes sont parvenus à concrétiser leur collaboration. À un détail près : « L'album a été refusé par toutes les maisons. Je dis bien, toutes », souligne le dessinateur. C'est alors qu'ils se sont tournés vers Sandawe, et le crowdfunding.

C'est inédit, et annonciateur d'un changement d'époque. La plateforme de financement participatif Sandawe vient d'accueillir quatre auteurs dont les noms ne manqueront pas d'éveiller la curiosité. Deux projets ont été lancés sur la plateforme, le premier de Darasse et Tome, Les Minoukinis, Bronzage intégral. Le second, de Ridel et Cauvin, Le bâtard des étoiles. Cauvin et Tome, sont aujourd'hui deux scénaristes qu'il n'est plus nécessaire de présenter. Et les dessinateurs avec lesquels ils travaillent ne sont pas en reste.

Les Belges de chez Sandawe, maison versant dans l'édition participative de roman graphique, active depuis quatre ans désormais, ont mené leur enquête sur les perspectives de ce crowfunding à l'aube de 2014. L'occasion pour ces initiateurs de faire le point sur les usages des acteurs du marché et dresser leur portrait-robot du financeur de BD. Des mécènes qui investiraient pour soutenir l'art et ses créateurs, plutôt que dans l'espoir de faire de l'argent, avec des budgets très inégaux, mais pouvant aller jusqu'à des milliers d'euros.

Plate-forme initiatrice du principe du financement participatif pour la bande dessinée, Sandawe a décidé de lancer une grande enquête pour en savoir un peu plus sur les usages des acteurs de ce marché en 2014.

Créer une librairie pour 5 €, voilà un doux rêve, mais la simple intention d'ouvrir un nouvel établissement mérite d'être saluée. Pour Sophie Duval, habitant Villefranche-sur-Saône, le projet a pris la forme d'un crowdfunding, au travers de Ulule. Elle sollicite un montant de 5000 € pour que l'aventure Page à lire puisse débuter. 

Le principe du financement participatif pour permettre la naissance d'un nouvel album de bande dessinée tend à se développer fortement ces dernières années pour ne pas dire ces derniers mois. Nos confrères de Bodoï s'interrogent sur ce principe assez novateur : est-il vraiment l'avenir de la BD ?

En novembre 2009, la maison d'édition BD Sandawe voyait le jour, et proposait aux internautes de devenir des ‘édinautes', en ouvrant la voie au crowdfunding. Patrick Pinchart, éditeur du site Actua BD, se lançait dans l'aventure qui, quatre ans plus tard, continue de faire parler de ses livres. Le premier titre était publié en février 2011, Maître Corbaque, et fin décembre 2012, la maison avait franchi la barre des 500.000 € de financements participatifs.

La réussite n'est pas une première mais elle confirme le succès des projets fortement geeks via crowdfunding. Dernier coup payant en date, le comics en ligne Megatokyo a dépassé la somme de 130.000 $ de dons en l'espace de 6 jours. Au programme de son auteur, Fred Gallagher, l'adaptation de son univers manga en visual novel. Un concept très populaire au japon d'un média à la croisée du livre multimédia et du jeu vidéo linéaire.

Depuis plusieurs mois, la diffusion des livres numériques a saisi à bras-le-corps les possibilités du Web, et notamment ces canaux gratuits et libres qu'il a mis en place dès sa naissance, les réseaux Warez (partage et échange gratuit de fichiers). Rappelant que ces derniers ne sont pas forcément illégaux, Fred Boot les utilise pour distribuer sa dernière BD, Spécial Origines, et financer ainsi une version papier en crowdfunding.

Voilà près de quinze jours que l'éditeur Sandawe a dépassé la barre symbolique, mais assez concrète, des 500.000 € de financement. Cette maison BD qui repose sur les apports financiers des internautes pour sortir des titres nouveaux. La maison belge, fondée par Patrick Pinchart, ancien rédacteur en chef du Journal de Spirou a été créée en novembre 2009 et vu son premier projet financé le 11 juin 2010. 

Comme chaque année, les experts de l'ACBD, Association des Critiques et Journalistes de Bande Dessinée, présentent un rapport portant sur les publications « sur le territoire francophone européen ». Gilles Ratier, le secrétaire de l'ACBD, s'est de nouveau astreint à ce bilan annuel du 9e art. 

Ils sont deux, avec un beau projet, mais pas assez d'argent pour le réaliser. Car dans leurs rêves, la librairie La Part de l'ange, qui pourrait ouvrir dans le village de Portiragnes, en bord de mer, dans le sud de l'Hérault, c'est un lieu de convivialité avant tout. Avec des livres. Une librairie où l'on pourrait prendre un verre, et discuter le coup, en parlant de la Blanche, un verre de blanc à la main...

Ce mois d'avril fait coïncider petits évènements dans l'histoire de la bulle sur écran tactile et études du marché. L'occasion de se pencher sur le secteur.

BD et musique, main dans la main : c'est le thème de l'accord passé entre le distributeur Fnac et la société My Major Company, qui proposeront une sélection de titres de l'un et l'autre domaine, qui n'ont pas été signés, à compter du 17 octobre.

Suite au lancement de l'offre mise en place par les éditions Fleurus, permettant l'achat du titre numérique pour 1 €, à toute personne qui achèterait la version papier, nous avons contacté M. Claude de Saint Vincent, directeur général du groupe Media Participations. Ce dernier revient avec nous sur les tenants et aboutissants de ce projet complètement inédit.

Samedi dernier, j’avais la chance de participer à la

Avec 150.000 membres dans sa communauté, My Major Company, qui avait fait ses premiers pas dans le monde de la musique, s'attaque désormais à la BD. Après une expérimentation aux côtés des éditions XO!, pour le livre, c'est avec Media Participations que la société s'engage dans le monde des bulles.

Souvenez-vous qu’il y a déjà quelques mois nous vous présentions une nouvelle venue dans l’univers de la bande dessinée : les Editions Fei. Ces dernières se proposent de mettre à la disposition des lecteurs français des bandes dessinées en provenance directe de la Chine. Un nouvel album s’apprête à sortir : le tome 2 de La Balade de Yaya. Le voilà en prévente sur le site Ulule.

L'éditeur Sandawe, distribué par Hachette, s'était fait connaître avec la perspective d'une édition d'auteurs sur le modèle du crowfunding - les internautes participent financièrement à la parution de l'oeuvre.