Quelle étonnante fin de semaine que celle vécue : les rebondissements de la fusion Edithachette épargnés, voici qu’une collaboration étonnante se fait jour. Celle qui unit Bolloré Technologies à… Gallimard. Le premier fournit le papier des livres de La Pléiade — les fameuses fines feuilles, dont l’héritage provient… de la papeterie qui produisait les feuilles de papier à rouler pour cigarette, OCB. Eh oui…
Autre grand mystère en passe d’être résolu, l’existence des licornes. On le sait, elles ont bien foulé le sol terrestre. Ce que l’on sait moins, peut-être, c’est qu’elles ressemblaient à d’énormes rhinocéros, vraisemblablement deux fois plus gros que les animaux que nous connaissons aujourd’hui.
Bien entendu, samedi, à ne pas rater, le mille-feuille de la rédaction : toujours plus de livres à découvrir, à travers les coups de cœur de la rédaction.
Et puis, les bibliothèques, qui désormais comptent les jours : la fin du Pass vaccinal pour fin mars/début avril, l’arrêt du masque dans les lieux de contrôle au 28 février… Il faut repartir à la conquête des publics qui ont déserté les lieux de prêt, et la tâche sera ardue.
Excellent début de semaine. Excellentes lectures.
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On l’imagine de plus en plus aseptisée, transpirant d’une odeur de caramel beurre-salé, pétant des arcs-en-ciel et toujours chatoyante… Il se pourrait qu’il en soit bien autrement. De récentes découvertes montrent que la licorne aurait plutôt l’apparence d’un rhinocéros, plus ou moins velu, voire laineux, avec une peau bien rugueuse. Pas vraiment l’image qui scintille. Mais alors, les licornes ont vraiment existé ?
Depuis le film de Mathieu Kassovitz, La Haine, le refrain est entré dans les têtes : « Tu roules avec OCB ? Ouais, tu m’connais. » Vincent Cassel et ses acolytes, la tour Eiffel au loin, et l’on fait tourner des pétards sur les toits de Paris. OCB, acronyme d’Odet-Cascadec-Bolloré, la marque de papier à cigarettes n’est plus à présenter dans le milieu cannabitique. Mais côté édition, on a presque oublié ses liens avec… La Pléiade.
S'il y a bien un auteur qui s'est efforcé de parler à tout le monde, c'est bien Charles Dickens. En effet, le roi du roman feuilleton anglais, publié d'abord dans les journaux de l'époque, et romancier le plus populaire de son époque, n'est pas connu pour son style alambiqué. Mais dans ses écrits privés, il va autrement. L'auteur d'Oliver Twist (Trad. Michel Laporte) utilisait également une sténographie personnelle, qu'il désignait lui-même, « d'écriture du diable », et qui resta diablement impénétrable pour tous les savants...
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#ActuaLittéAime : un mille-feuille bien touffu pour ce samedi
Toute la rédaction est à pied d’oeuvre, pour vous proposer un concentré de lectures, les plus variées possibles – et les plus personnelles également. Les goûts et les couleurs ne se discutent pas, mais rien n’empêche de les partager, sait-on jamais ? Sur les réseaux, certes, mais chaque samedi matin, c’est dans nos colonnes que vous retrouvez cet aperçu du moment.
Trois lauréats d'un mois de résidence d'artiste au coeur de la forêt d'Orléans
Véritable Parenthèse, comme son nom l'indique, le havre de paix en pleine nature a désigné ses trois lauréats pour la résidence Ce qui Nous lie 2022. L'écrivaine Pauline Sauveur, le dessinateur Russ et la plasticienne Laëtitia Bourget ont ainsi été sélectionnés pour venir créer dans les tiny house durables, au milieu des bois.
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