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Stefan Leriov

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Psychologie, psychanalyse

La psychanalyse du diable

Cet ouvrage propose une réflexion sur les sources du mal individuel et collectif, sous la forme d'un récit à la première personne, dont le narrateur souffre d'une névrose obsessionnelle et se croit possédé par le démon. Le récit comporte plusieurs registres narratifs : la confession du protagoniste occasionnée par sa psychothérapie, ses dialogues avec le diable, ses souvenirs (notamment ses amours de jeunesse et son dernier grand amour), ses rêves qui le plongent dans son enfer intérieur, et sa liaison clandestine avec une jeune patiente de la clinique où il se trouve hospitalisé. Les titres des chapitres retracent les cinq étapes de la tentation, selon la tradition patristique : la suggestion, le dialogue, le consentement, la passion, la captivité.

07/2020

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Théâtre

Justice de nuit

La pièce tragi-comique Justice de nuit aborde le thème du phénomène totalitaire, comparable a une épidémie qui contamine tous les membres de la société et tous les aspects de la personne humaine. Les personnages d'Edouard et d'Arlette incarnent à la fois les victimes et les complices de cette contagion mortelle. Ils vivent sous la terreur constante d'une loi incompréhensible et arbitraire qui peut frapper n'importe qui, et ne fait aucune différence entre les coupables et les innocents. Deux inconnus armés, en uniforme militaire, sonnent à leur porte au milieu de la nuit. Ce sont les représentants muets et énigmatiques d'une loi toute puissante et criminelle, d'autant plus terrifiante qu'elle est contradictoire et indéchiffrable par la raison humaine. La contagion totalitaire agira comme un ferment de décomposition, qui produira la désagrégation progressive du couple, et de chacun des personnages, dont l'un — Arlette, qui n'est plus elle-même— deviendra le tortionnaire et le bourreau de l'autre — Edouard, homme faible, indécis, inconsistant, qui aurait préféré être une femme. Les victimes participent ainsi à leur propre destruction, de même que les membres d'une société totalitaire. Le deuxième acte de la pièce évoque à la fois la terreur sanguinaire des régimes totalitaires et la tyrannie la plus cruelle et inhumaine qui règne depuis la nuit des temps sur l'ensemble de la planète : la dictature totalitaire de la mort.

04/2019

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Critique littéraire

Stefan Zweig

" N'allez pas croire que j'aie foi en une amélioration prochaine de l'humanité, ce visqueux monstre aux mille têtes. Mais ne s'améliorera-t-elle pas, l'humanité, que si l'on cesse de lui répéter qu'elle a emprunté quelque voie mystérieuse, alors qu'elle ne fait vraisemblablement que s'entortiller autour de son propre axe ? Allez, l'"illusion" fait partie intégrante de la mixture magique de l'existence. "

05/2006

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Romans historiques

Stefano

1620. Stefano apprend à ciseler l'or et l'argent, à peindre des tableaux convenus et à graver finement à l'eau-forte. Quand il voit à Florence l'éléphante que le prince Fakhr-al-Din a conduite dans sa suite, sa vie commence. Une cantatrice quelque peu courtisane, une ânière latine près de Rome, une Polonaise de haut rang en voyage, la servante d'un peintre à Amsterdam, une poétesse cartésienne à Paris, une sultane captive à Malte et d'autres encore donneront corps à cette vie. Elles en feront une fête de l'esprit aux multiples masques, riche d'amours légères, graves et immortelles, joyeuse, tournoyante, comme le sont n peinture les danses macabres quand la mort sauve la joie. Avec Stefano, Dominique Cordellier écrit le roman d'un graveur baroque, dans la lignée de Callot, fin bretteur de l'estampe et curieux du théâtre des hommes.

10/2019

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Critique littéraire

L'énigme Stefan Zweig

Le suicide de Stefan Zweig en 1942 est-il bien celui d'un homme désespéré, accablé de devoir attendre des années encore la fin de la guerre qu'il ne supportait plus ? Et si ce geste fatal, qui en fit un martyr, n'était pas celui que l'on croit ? Francis Huster cherche à percer l'énigme Zweig à partir d'une autopsie minutieuse de sa vie. Il pense avoir découvert la nature profonde du génial écrivain et la vraie raison de sa mort : Zweig s'est tué pour se punir d'une faute impardonnable à ses yeux...

08/2018

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Allemagne

Stefan Zweig. L'impossible renoncement

Né dans un empire moribond, au sein d'une famille bourgeoise juive et cultivée, Stefan Zweig est l'auteur de langue allemande le plus publié et le plus lu dans l'entre-deux-guerres. Frappé de plein fouet par la Première Guerre mondiale, il devient peu à peu pacifiste, attitude dont il ne se départira plus sa vie durant. Menacé par l'arrivée des nazis au pouvoir à Berlin, il quitte l'Autriche en 1934, tant la tension y est insupportable, dans l'attente de l'annexion, et connaît l'exil au Royaume-Uni, aux Etats-Unis puis au Brésil. En dépit des conditions dans lesquelles il vit grâce à sa notoriété et sa fortune, coupé de sa bibliothèque et de sa patrie, Zweig étouffe. D'autant plus que le nouvel ordre mondial exige de lui qu'il renonce à ce qu'il est : écrivain, de langue allemande et juif. On lui dénie le droit d'écrire, le droit d'être allemand quand le fait d'être juif représente un véritable arrêt de mort. Incapable de ce triple renoncement, véritable négation de son être, il choisit le suicide. Mathilde Aycard et Pierre Vallaud sont spécialistes des guerres du premier xxe siècle ainsi que des totalitarismes. Ils ont notamment publié La Seconde Guerre mondiale (Acropole, 2002), 14-18 : La Première Guerre mondiale (Fayard, 2004), Dictionnaire encyclopédique du IIIe Reich (Perrin, 2008), Russie. Révolutions et stalinisme, 1905-1953 (L'Archipel, 2012) ou encore Salò, l'agonie du fascisme (Fayard, 2018).

08/2022

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