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Souha Béchara

Extraits

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Histoire internationale

Résistante

Les Libanais ont aussi leur Jeanne d'Arc. Pour eux, Souha Béchara est le symbole vivant de la Résistance. En 1988, à la sortie de l'adolescence, elle tente d'éliminer Antoine Lahad, le chef de l'ALS, la milice supplétive qui tient le sud pour le compte de l'occupant israélien. Arrêtée, jamais jugée, torturée, Souha sera incarcérée à Khiam, camp, prison et mouroir inlassablement dénoncé par les organisations humanitaires. Refusant de collaborer, elle y passera dix ans, dont six en isolement total. Son pays labouré par l'horreur, son cheminement intérieur, son engagement sans retour la flamme qui lui a permis de survivre à la barbarie : c'est tout cela que raconte ici, de manière vibrante, Souha Béchara. Un témoignage unique, une leçon d'existence qui nous rappelle que l'on a toujours raison de résister et que pour être libre, il faut se dépasser.

09/2000

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Histoire internationale

La fenêtre. Camp de Khiam

En 1988, en pleine guerre du Liban, Soha Béchara tire sur le général Antoine Lahad, chef de l'Armée du Liban-Sud, milice supplétive d'Israël. Elle est libanaise, chrétienne et communiste ; elle a vingt et un an. Soha Béchara passera dix ans au camp de détention de Khiam, surnommé " le petit enfer ", où elle subira la torture et l'isolement sans jamais avoir été jugée. Elle ne sera libérée qu'à la faveur d'une importante campagne internationale de soutien. Dans ce récit, souvenirs épars collectés par Cosette Ibrahim, elle nous donne à voir la réalité du camp : jeunes filles, mamans, grand-mères, pratiquantes, communistes... toutes enfermées ensemble, leur survie liée à ces objets brodés ou tricotés, façonnés clandestinement pour garder l'espoir et refuser la déshumanisation. Pourtant, sur le papier, le camp de Khiam n'a jamais existé. Détruit par les bombardements israéliens de 2006, il n'en reste que des gravats. C'est pour reconstruire ce passé que l'on a voulu effacer et prêter leur voix aux hommes et aux femmes oubliés de Khiam que Soha Béchara et Cosette Ibrahim livrent aujourd'hui ce témoignage saisissant. Postface d'Alain Gresh.

05/2014

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Littérature française

Adieu Béchar

Aux confins du Sahara, les habitants juifs de Colomb-Béchar quittent leur ville dans la panique. C'est l'indépendance de l'Algérie qui les chasse. Ils laissent tout derrière eux : des siècles de vie partagée avec les musulmans, la plupart de leurs biens et, surtout, des souvenirs. Qui pense encore à Sara ? Qui se souvient de son amour impossible pour Thomas, un jeune appelé ? Sélim, le jardinier arabe, ou Anne, l'Européenne. Sa famille, bien sûr, vouée à l'exil. Sara a refusé la tradition des mariages arrangés et va payer cher sa rébellion. Les témoins et les acteurs de cette folle passion sont emportés dans le tumulte d'une guerre cruelle. Au fil de la mémoire, la cité revit avec ses femmes juives, ses matrones et ses veuves. Elles sont le chœur qui chante la tragédie d'un amour condamné, d'une révolte qui flambe au cœur d'un livre inspiré par une communauté oubliée, par une sorte d'Age d'or, à jamais perdus.

05/2000

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Livres 3 ans et +

Mouha

Penchée à la fenêtre de son arbre maison, Mouha regarde le sol de par terre où il doit y avoir plein de d'animaux, de plantes, de champignons, de personnes et de surprises belles et intéressantes. Blaise, le poussin masqué l'encourage. Mais sur sa route, Mouha devra aussi affronter d'étranges mystères extrafoudingues, des énigmes et des monstres horribilivicieux, Archikrott, le Bâfrafon, Marfagole, l'Ecervelle et Rédèdékère qui n'aiment pas sa coiffure.

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Lutin poche

Mouha

Curieuse, Mouha décide de descendre de son arbre natal et de s'en aller explorer le sol de par-terre et tout ce qui s'y trouve, monstres compris. Un poussin la prévient : il ne faut pas se fier aux apparences !

10/2022

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Littérature française (poches)

Le sopha

Un jour de lourd ennui, le Sultan des Indes Schah-Baham, petit- fils du grand Schach-Riar, le héros des Mille et une Nuits, propose que chacun dans sa cour, dise de ces contes dont il est si friand. Le sort désigne le jeune Amanzéi, qui raconte une de ses vies antérieures, quand Brama, pour le punir de ses dérèglements, le fit sopha. Dans cette aimable prison, l'âme forte de ses facultés inaltérées, libre de voyager d'un divan à un autre, nonchalamment à l'affût d'une improbable délivrance (un couple devant pour cela, s'échanger sur lui ses prémices), il aura pris le temps de satisfaire sa leste curiosité, tout en méditant sur ce qui d'ordinaire se dérobe - masques tombés de la comédie sociale, voiles ôtés des corps, désirs et cœurs mis à nu.

09/2016

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