Recherche

Quatrains

Dossiers

Extraits

ActuaLitté

Poésie

Quatrains

"Sois heureux un instant, cet instant c'est ta vie" . Remède à tous nos états d'âmes, la lecture des Quatrains d' Omar Khayy m est une joie dont on ne se lasse pas. Le poète perse du XIe siècle appelle aux plaisirs simples, aux soirées amicales faites d'ivresse, de musique et de danse. Une ode à la liberté toujours aussi lue, citée et adorée dans le monde entier.

11/2022

ActuaLitté

Poésie

Quatrains persans

Ces quatrains ont été écrits dans la foulée d'une lecture de ceux d'Omar Khâyyâm mais aussi des ghazals d'Hâfez. Il s'agissait de contenir à une forme restreinte, voire infime, à une forme de classicisme aussi, le numineux alors moins sujet aux dispersions. Cette approche instinctive bouleverse le sentiment religieux en celui de la nature. Ce trouble fusionnel de Montaigne partout perceptible dans L'Apologie de Raymond Sebond quant à une religion naturelle qui, prenant le risque du blasphème, par amour dirait-on, ne va pas pour autant se prosterner devant la grande indifférence de la nature mais s'y laisser toucher par l'informel amour, les sources mêmes de l'ignorance, un consentement où fusionnent dans les choses beauté et bonté. Les maîtrises de la sagesse sont une légende et un égarement. Personne ne peut dire se connaître soi-même : cela même qui aime en nous est cet inconnu. Le lointain de l'horizon au bout de la plaine ne parle qu'au plus intime. Toute la merveille, la surprise de l'amour (on le dit aveugle) est là. L'objet nonchalant de l'amour dont il est question dans ces quatrains est né dans la langue de Khâyyâm. Ce plus intime est un horizon très loin derrière l'horizon, l'orient d'un paysage que l'Iran ne connaît pas et l'auteur est, dans ce décalage, dans ce vide, sous l'emprise du chant d'une langue qu'il ne parle pas mais qu'il reconnaît parce qu'il l'aime sans la connaître.

03/2019

ActuaLitté

Poésie

Les Quatrains

De toutes les nombreuses éditions des quatrains (robayat) d'Omar Khayyâm, cette traduction, parue aux éditions de la Sirène en 1920 est sûrement la plus juste et la plus forte de toutes. Disparition réparée. Ce texte absolu et essentiel est à nouveau accessible. "De la vie de Khayyâm, on sait qu'il naquit à Nichâpour, dans le Khorassan ; la légende assure qu'il se distingua comme étudiant sous la direction de l'imam Mowaffak, que son camarade Nizam el Mulk devint grand-vizir du sultan seldjoucide Alp Arslan et donna une pension de douze cents mithkals d'or à son ancien condisciple qui jusque-là avait vécu en faisant des tentes. Au vrai, Omar Khayyâm fut un des plus grands savants de son temps, travailla à la réforme du calendrier Jalali, fut célèbre comme astronome, établit des tables du ciel et rédigea un traité d'algèbre qui a été traduit en français au XIXe siècle. Il mourut à Nichâpour en 1123 (517 A. H.) à l'âge de quatre-vingt-cinq ans. " Claude Anet

12/2021

ActuaLitté

Poésie

Cent quatrains érotiques

Dans ces Cent quatrains érotiques Patrizia Valduga réactive la puissance de la forme quatrain et rend un hommage très personnel — même lorsqu'elle la renverse — à l'histoire de la poésie amoureuse. Le théâtre érotique d'une femme s'y exprime dans toute sa crudité, sa force et ses nuances : quatre cents vers et une seule et longue nuit d'amour où une femme et un homme font se rencontrer leurs corps, leurs mots, leurs esprits. Deux voix distinctes prennent la parole : elles se courent après, monologuent ou se répondent d'un vers à l'autre, d'un poème à l'autre. Tantôt triviale, tantôt imprégnée de lyrisme, la poésie vibrante de Patrizia Valduga nous entraîne dans un monde fait de désir, de tyrannie, de jeu, de sexe et de tendresse.

05/2021

ActuaLitté

Poésie

Quatrains de la Rose

Quand tout s'oppose A notre entrain Chercher la Rose Et le Quatrain

05/2023

ActuaLitté

Poésie

Enfin le royaume. Quatrains

Forme brève, mais moins abrupte que le haïku, le quatrain ne s'en tient pas au lapidaire, il sait donner du rythme à la pensée, à l'émotion, à la surprise, il sait initier un questionnement, amorcer une méditation, esquisser un chant. A la suite des poètes chinois des origines, mais aussi d'Omar Khayyam et d'Emily Dickinson, François Cheng atteste ici du pouvoir singulier de ce mode d'expression resserré, pourtant si peu enclos, si ouvert aux résonances, aux errances fertiles, voire à une manière salutaire d'envoûtement simple.

02/2018

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté