Recherche

Pierre Allorant, Noëlline Castagnez, Antoine Prost

Rédacteurs

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Les livres de Pierre Loti

Pierre Loti, de son vrai nom Louis Marie Julien Viaud, est un écrivain français né le 14 janvier 1850 à Rochefort-sur-Mer, en Charente-Maritime. Il est considéré comme l'un des grands écrivains de la fin du XIXe siècle.

ActuaLitté

Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Pierre Lemaitre

Pierre Lemaitre est un écrivain et scénariste français né le 19 avril 1951 à Paris. Il fait parti des auteurs les plus lu en France. 

ActuaLitté

Dossier

Livres, actualités : tout sur Antoine de Saint-Exupéry

Né le 29 juin 1900 à Lyon, Antoine de Saint-Exupéry reste l'homme du Petit Prince pour des millions de lecteurs dans le monde entier. Publié en 1943 à New York avant de ne l'être que 2 ans plus tard par Gallimard en France, après la mort de son auteur, ce conte féérique et philosophique fait depuis partie des ouvrages français les plus célèbres à l'international.

ActuaLitté

Dossier

Livres, actualités : tout sur Marcel Proust

Marcel Proust (1871-1922), réputé pour son style tortueux, reste l'un des écrivains français les plus célèbres du XXe siècle, grâce à une œuvre monumentale, À la recherche du temps perdu, constitué de 7 tomes publiés entre 1913 et 1927. Œuvre mémorielle par excellence, construite à partir des souvenirs de Marcel Proust et de récits glanés çà et là, La Recherche traverse les époques et les lieux.

ActuaLitté

Dossier

Le Petit Prince, conte intemporel d'Antoine de Saint-Exupéry

Le Petit Prince n'est pas seulement allé dans l'espace : il a traversé toute la planète. Livre le plus traduit au monde après la Bible, ce classique d'Antoine de Saint-Exupéry a été publié pour la première fois en 1943 par la maison d'édition Reynal & Hitchcock, puis aux éditions Gallimard, en français, en 1945. De loin le livre le plus connu de son auteur, ce conte a touché des millions de lecteurs par sa portée philosophique et onirique...

ActuaLitté

Dossier

Foire du Livre de Francfort 2020 : une édition post-Covid chamboulée

Alors que le monde subit encore les conséquences de la crise sanitaire liée au coronavirus, loin d'être terminée, la Foire du Livre de Francfort maintient sa 72e édition, organisée du 14 au 18 octobre 2020. Dans des conditions particulières, évidemment : l'organisation de l'événement a été complètement revue, pour assurer des conditions de sécurité optimales, et l'occupation des différents halls repensée.

Extraits

ActuaLitté

Histoire de France

Le moment 1940. Effondrement national et réalités locales. Actes du colloque international d'Orléans, les 18 et 19 novembre 2010

Le "moment" 1940 veut rendre à cette année singulière, qui va de la "drôle de guerre" à "l'étrange défaite", toute son incertitude, en partant du Loiret, observatoire privilégié pour cette période. Les Orléanais, comme les Français de 1940, ne savaient pas ce qui allait advenir : ils n'avaient envisagé ni la débâcle, ni l'exode, ni la défaite. Cet ouvrage s'intéresse donc aux moments indécis et, en priorité, aux deux grands effondrements, militaire puis politique, et articule le national et le local, en jouant sur les échelles d'analyse. Son ambition est donc de saisir ce "moment" à la fois par en haut, avec l'effondrement de la Troisième République et l'instauration du régime de Vichy, et par en bas, par le prisme des réalités départementales et locales : l'articulation des niveaux est particulièrement illustrée par le procès de Jean Zay, incarnation de tout ce que la Révolution nationale exècre, et par l'action technocratique du préfet Morane, préfiguration de la Reconstruction. Le colloque "Le moment 1940", des 18 et 19 novembre 2010, et la publication de ces actes ont reçu le concours des collectivités territoriales (Conseil régional du Centre, Conseil général du Loiret, Ville d'Orléans), de l'Office national des anciens combattants, de l'Université d'Orléans (laboratoires "collectivités territoriales" et "savoirs et pouvoirs"), du Cercle Jean Zay d'Orléans et de l'association nationale des Amis de Jean Zay, ainsi que du Cercil-Musée Mémorial des enfants du Vel d'Hiv (Centre d'études et de recherches sur les camps d'internements de Beaune-la- Rolande, Pithiviers et Jargeau).

05/2012

ActuaLitté

Sciences historiques

Se souvenir de la guerre en région Centre-Val de Loire. De Jeanne d'Arc à nos jours

Au moment où l'on commémore le centenaire du déclenchement de la Grande Guerre et les soixante dix ans de la Libération, le laboratoire POLEN (Pouvoirs, Lettres, Normes) de l'université d'Orléans, avec ses nombreux partenaires académiques, institutionnels et associatifs (CERCIL, Archives départementales du Loiret, Sociétés savantes) a organisé un colloque et une exposition consacrés aux Mémoires des guerres en Centre-Val de Loire de Jeanne d'Arc à nos jours : traces locales, résonances nationales et regards croisé. Ont participés à cet ouvrage : Danielle Chevallier, Marc Décimo, Anne Delouis, Marie-Christine Hubert, Olivier Lalieu, Jean-Louis Laubry, Olivier Loubes, Alexandre Niess, Philippe Nivet, Denis Pernot, Christian Renoux, Gaël Rideau, Yann Rigolet, Alain Rafesthain, Christine Romero, Philippe Tanchoux, Stéphane Tison.

01/2015

ActuaLitté

Sciences historiques

Mémoires des guerres. Le Centre-Val-de-Loire, de Jeanne d'Arc à Jean Zay

Comment une communauté se représente-t-elle son passé en fonction de ses besoins présents ? Depuis Maurice Halbwachs, les travaux sur la mémoire traquent les reconstructions et usages d’un passé souvent glorifié, parfois occulté, et toujours fondateur d’identité. Dans le cas des guerres, les mémoires sont à vif et, sur la longue durée, leurs permanences, ruptures et enjeux sont d’autant plus complexes à repérer. Pour y parvenir, cet ouvrage fait un double pari : il part d’études de cas locaux, sur un territoire identifié et restreint et il adopte une démarche pluridisciplinaire. Le Centre-Val de Loire, formé à partir des provinces du Berry, de l’Orléanais et de la Touraine, entretient avec les mémoires des guerres une relation certes singulière, née de sa situation au coeur du domaine royal, mais aussi archétypale. Car de la Délivrance d’Orléans par Jeanne d’Arc en 1429 aux occupations de 1814-1815, 1870-1871 et 1940-1944, les traces locales de sa mémoire participent à la construction de son identité régionale, tout en ayant des résonances nationales.

10/2015

ActuaLitté

Histoire des idées politiques

Quand les socialistes français se souviennent de leurs guerres. Mémoire et identité (1944-1995)

Pourquoi la mémoire est-elle au coeur de l'identité des socialistes ? Et comment participent-ils à la mémoire collective des Français au second XXe siècle ? Cultiver le souvenir de leurs guerres, tant celles où ils ont combattu en patriotes que celles où ils ont défendu leur idéal, ne flatte pas toujours leur narcissisme et relève parfois du masochisme. Si la Révolution française, la Commune, le Front populaire et la Résistance sont des lieux de mémoire qu'ils chérissent, la guerre d'Espagne leur laisse un goût amer, et l'Algérie un sentiment de honte qui les disperse en 1958. François Mitterrand, qui a toujours su recomposer son propre passé, fait le tri dans leurs mémoires à partir de 1971. Héroïsant les uns - Jaurès et Blum - bannissant les autres - Paul Faure et Guy Mollet - il homogénéise le parti d'Epinay et en fait un instrument de conquête. Alors pourquoi, après mai 1981, les nouvelles générations ne peuvent-elles comprendre sa politique mémorielle ? Jouant sur les échelles, ce livre confronte la mémoire des directions successives du PS avec celles de ses fédérations, municipalités et territoires. Pour la première fois, il saisit un processus majeur d'acculturation des militants au socialisme en étudiant leurs commémorations, leurs symboles, les monuments et toponymes qu'ils ont durablement inscrits dans nos paysages. En comparant enfin leurs pratiques mémorielles avec celles de leurs adversaires, cet ouvrage remet en cause le monopole des communistes et des gaullistes sur notre mémoire d'après-guerre.

10/2021

ActuaLitté

Histoire de France

Pierre-Antoine, l'autre Cousteau

Qui ne connaît les milliers d'heures d'exploration sous-marine du célèbre commandant Jacques- Yves Cousteau ? Qui n'a jamais parcouru l'un ou l'autre de ses albums et apprécié son style d'écriture ? Il est pourtant "un autre Cousteau", son frère aîné Pierre-Antoine, né en 1906 à Paris, journaliste, polémiste et écrivain voltairien. Son fils Jean-Pierre présente ici sans langue de bois ni complaisance celui qui fut, d'après Jean Galtier-Boissière, "le plus brillant des chroniqueurs de sa génération". Venu de l'extrême gauche, il évolue vers le fascisme, notamment sous l'impulsion de Pierre Gaxotte et devient avec Lucien Rebatet et Robert Brasillach l'âme du quotidien collaborationniste Je suis partout. Auteur de canulars fameux dans les années trente, on lui doit le mythe d'un Edouard Herriot promu au grade supposé de colonel de l'Armée rouge lors de sa visite en URSS, et plusieurs livres d'une écriture exquise empreinte d'impertinence : Mines de rien, Les Lois de l'hospitalité, Hugothérapie, Proust digest, ainsi que Intra-muros, journal de prison encore inédit, et un recueil de Pensées. Condamné à mort à la Libération, il parvient à plusieurs reprises lors du procès à provoquer l'hilarité de l'assistance, et reçoit le soutien de Jacques Yonnet, résistant membre du parti communiste, qui témoigne à décharge : "c'est un ennemi loyal", et celui de son frère Jacques-Yves, résistant lui aussi, qui ose revêtir pour l'occasion son uniforme d'officier de marine, ce que De Gaulle ne lui pardonnera jamais. Gracié par Vincent Auriol en 1947, libéré en juillet 1953, il meurt prématurément des suites de sa captivité en 1958.

06/2016

ActuaLitté

Histoire des idées politiques

Parlement[s N° 33/2021-1 : Le travail en Europe occidentale des années 1830 aux années 1930. Spécial concours : commentaires de documents

La crise sanitaire mondiale qui bouleverse en profondeur les mondes du travail nous incite à considérer avec d'autant plus d'intérêt la nouvelle question posée aux concours (CAPES et agrégation), qui interroge les mutations économiques, sociales, politiques, culturelles et environnementales entraînées par l'industrialisation de l'Europe occidentale des années 1830 aux années 1930. La désindustrialisation qui s'accélère depuis les années 1970 ne se réduit pas à un recul de la production industrielle. Elle signifie aussi l'effritement d'une civilisation industrielle ainsi que la disparition de la centralité du travail qui érigeait la question ouvrière en enjeu politique et social majeur. Ce dossier réunit des spécialistes qui présentent et commentent des sources de natures variées - correspondances, photographies, textes législatifs, pétitions, caricatures, etc. - produites tant en France qu'en Grande-Bretagne, Belgique, Allemagne, Italie et Espagne. Il permet d'éclairer les mutations de l'organisation du travail, leurs impacts sur les conditions de vie et de travail des mains-d'oeuvre artisanales et industrielles, et la place de la question sociale dans la constitution du mouvement ouvrier et des Etats sociaux.

02/2021

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté