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Paul Grison

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Dossier

Romans, essais, théâtre : tous les livres de Paul Auster

Né en 1947 à Newark dans le New Jersey, Paul Auster étudie de 1965 à 1970 les littératures française, anglaise et italienne à Columbia University, où il obtient un Master of Arts. Il publie à cette époque des articles consacrés essentiellement au cinéma dans le Columbia Review Magazine, et commence l’écriture de poèmes et de scénarios pour films muets qui deviendront ultérieurement Le Livre des illusions.

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Dossier

Double peine : les prisonniers condamnés à un accès limité aux livres

L’accès à la littérature ou à la documentation dans les établissements pénitentiaires s’avère difficile. Outre la censure de nombreux titres dans les bibliothèques des prisons, les détenus se voient également souvent interdire de recevoir des livres, sous prétexte que ces expéditions alimentent le trafic de drogue ou la livraison d’armes.

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Dossier

Le Prix Eugène Dabit du roman populiste

Récompense créée en 1931 par Antonine Coullet-Tessier, le Prix Eugène Dabit du roman populiste s'est donné pour mission de saluer une œuvre romanesque qui « préfère les gens du peuple comme personnages et les milieux populaires comme décors à condition qu'il s'en dégage une authentique humanité ».

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Dossier

Le Prix Interallié

Créé en 1930, le Prix Interallié fait partie des fameux prix de la rentrée littéraire : il est remis chaque année, au cours de l'automne, à un roman français. Le prix n'est pas doté financièrement, et il est décerné au sein du Cercle de l'Union interalliée, cercle social parisien fondé en 1917.

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Dossier

Andreï Kourkov, symbole de la résistance ukrainienne par les Lettres

En l'espace de quelques heures, toute l'Europe a pris peur : la Russie décidait d'envahir l'Ukraine, contre toute attente – ou plutôt, confirmant les craintes d'un grand nombre d'observateurs. Et depuis le 24 février, l'écrivain d'origine ukrainienne, Andreï Kourkov prend la parole dans les médias. Loin d'un couple “Je vous l'avais bien dit”, l'auteur apporte explications et commentaires, comme il l'a fait à travers ses livres.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Edith Wharton

Née en 1862, Edith Newbold Jones, mieux connue sous le nom Edith Wharton, a résolument marqué l'histoire de la littérature : elle fut ainsi la première femme à obtenir le Prix Pulitzer du roman, pour Le temps de l'innocence, publié en 1920. Après une enfance européenne, elle retourne à New York avec sa famille, qui jouit d'une situation très aisée.

Extraits

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Romans historiques

Un soldat écrit à sa famille. Depuis le Maroc, l'Algérie, l'Indochine (1944-1953)

"On n'écrit plus" regrettent aujourd'hui de sages vieillards ! Raison de plus pour faire connaître la pensée de ceux qui écrivaient régulièrement des lettres à leur famille, lorsque la plume, le papier et la Poste étaient les seuls moyens de donner de ses nouvelles lointaines. Tel est le cas de Paul Grison né en 1923, dont la culture classique, l'éducation, les dons pour le théâtre et la poésie, transparaissent dans les lettres qu'il écrivit aux siens entre 1944 et 1953, comme cavalier, brigadier, maréchal des logis, puis lieutenant des transmissions, après être sorti de l'Ecole spéciale militaire interarmes de Saint-Cyr qu'il avait rejoint à Coëtquidan en 1948. Il décrit cette difficile période d'après-guerre, tant en France qu'au Maroc et en Algérie, donnant son avis sur les gens, la politique, les restrictions, les colonies, l'armée, etc. Affecté au Laos en 1951, le lieutenant Grison raconte ses inspections à pied, à cheval, en pirogue, en auto ou en avion jusqu'à la frontière de Chine, décrivant un beau pays, un peuple pacifique et débonnaire, dirigé par un roi ayant les mêmes qualités que ses sujets, notant aussi l'oeuvre des Français, civils, militaires, missionnaires qui, malgré tout, savaient introduire avec patience et sagesse notre magnifique civilisation auprès d'un peuple qui aimait notre pays. En avril 1953, l'offensive de divisions Viêt-minh sur Sam Neua au Laos a mis fin non seulement à la vie du lieutenant Paul Grison et de ses camarades faits prisonniers comme lui et victimes des cruautés subies dans ces camps de concentration communistes, mais aussi à la quiétude des habitants de ce pays enchanteur.

06/2015

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Foucault

Alternatives à la prison. Une entrevue avec Jean-Paul Brodeur

A l'occasion d'une conférence donnée à Montréal peu après la publication de Surveiller et punir, Michel Foucault répond à une question qu'on lui pose : y a-t-il des "alternatives" à la prison ? Foucault doute que l'imposition croissante de conditions restrictives en dehors de l'enceinte de la prison témoigne d'une rupture avec l'emprisonnement ; il semble en réalité que le progressisme pénal et le développement de techniques de surveillance aillent de pair. Ainsi ne s'agit-il pas tellement d'inventer des "alternatives" , mais plutôt de savoir si l'on souhaite diffuser ou faire décroître le contrôle social. La lecture rétrospective d' "Alternatives" à la prison, loin de tarir les questionnements sur notre actualité criminologique, suscite de nombreuses interrogations quant à l'extension d'une société policée. Des textes de Sylvain Lafleur, Toni Ferri et Anthony Amicelle viennent actualiser cette analyse.

01/2021

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Littérature française

Grisou

Un grand coup de coeur contre un gros coup de grisou Le Grisou est un gaz terrible qui a souvent provoqué des morts dans les mines, notamment celles des Cévennes. Grisou le livre est l'aventure de Karol Polan français d'origine polonaise, mineur de fonds au puits Ricard à la Grand Combe. Ce jour-là de fin 1962 le temps s'arrête sur la place de Ricard. Le grisou a frappé. Trois morts, et deux disparus dont Karol. La nuit tombe, c'est fini, il faut arrêter les recherches ! décrète l'ingénieur des mines. C'est sans compter sur la solidarité des autres immigrés, italiens, espagnols, tchèques. Et c'est Mimoun l'arabe qui sonne la révolte pour aller tenter de sauver les deux mineurs ensevelis. " Au fonds, il n'y a aucune race, on est tous noirs ! "

06/2019

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Littérature Allemande

Prison

"S'il est interdit de monnayer des heures d'amour, il devrait être interdit d'acheter des heures d'amour. Mais l'expérience nous montre que l'être humain ne peut pas vivre sans heures d'amour. Il faudrait donc organiser l'amour autrement. "Amour organisé" c'est affreux à entendre. Et pourtant, on y revient toujours. Le tribunal est une affaire d'hommes et châtier le sexe faible exige moins d'efforts que demander des comptes à des hommes trop jaloux de tenir secrets leurs penchants les plus forts. Je voudrais que les hommes abusés puissent voir le sourire de mépris qui se peint sur le visage de leurs séductrices quand, devisant tout bas dans les couloirs du pénitencier, elles éventent les secrets de leurs accusateurs. Dans la cour de la maison d'arrêt, j'ai vu le sourire souverain sur les visages des femmes et des filles qui font le trottoir ; filles victorieuses qui ont l'élégance de se déclarer vaincues. Cette courtoisie doit être bien dangereuse, pour qu'on les enferme entre des murs épais."

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Réalistes, contemporains

Prison

Comment la France traite-t-elle ses prisonniers ? Face à cette question, il y a ce qui est dit, et ce qui se passe ; il y a la lumière, mais beaucoup de zones d'ombre. Ces zones d'ombre, Fabrice Rinaudo a voulu les explorer. A travers quatre contes cruels, il a choisi de montrer ce qui ne se montre pas. Ses personnages, qu'ils soient braqueurs, dealers, cambrioleurs, ou simples gardiens de prison, doivent affronter une réalité brutale où la violence, la détresse et la corruption cohabitent malgré tout avec la débrouille et la solidarité. Accompagné par Sylvain Dorange et Anne Royant aux dessins, Fabrice Rinaudo nous ouvre les portes d'un milieu clos, sombre, presque secret. Sans concession, il nous dévoile un univers à part entière, ses différents acteurs, ses mécanismes mais aussi ses paradoxes, son absurdité, sa folie. Finalement, un constat : la privation de liberté ne réinsère pas. Elle sanctionne, brime, humilie, déshumanise. La prison, cette Ogresse, ne protège personne.

10/2022

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Littérature Allemande

Prison

"S'il est interdit de monnayer des heures d'amour, il devrait être interdit d'acheter des heures d'amour. Mais l'expérience nous montre que l'être humain ne peut pas vivre sans heures d'amour. Il faudrait donc organiser l'amour autrement. "Amour organisé" c'est affreux à entendre. Et pourtant, on y revient toujours. Le tribunal est une affaire d'hommes et châtier le sexe faible exige moins d'efforts que demander des comptes à des hommes trop jaloux de tenir secrets leurs penchants les plus forts. Je voudrais que les hommes abusés puissent voir le sourire de mépris qui se peint sur le visage de leurs séductrices quand, devisant tout bas dans les couloirs du pénitencier, elles éventent les secrets de leurs accusateurs. Dans la cour de la maison d'arrêt, j'ai vu le sourire souverain sur les visages des femmes et des filles qui font le trottoir ; filles victorieuses qui ont l'élégance de se déclarer vaincues. Cette courtoisie doit être bien dangereuse, pour qu'on les enferme entre des murs épais."

02/2024

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