Recherche

Oldenbourg

Extraits

ActuaLitté

Historique

Le Secret d'Argentaria. Oedenbourg, Biesheim

Il ne reste aucune trace visible du site gallo-romain de Biesheim-Oedenbourg, se trouvant sur la rive gauche du Rhin juste en face de la ville de Breisach. Un vieil homme va y faire une découverte exceptionnelle qui va l'amener à entrevoir une histoire terrible et néanmoins fascinante, mettant en scène l'une des plus grandes agglomérations de son temps dans la région. Nous serons emportés dans un tourbillon fait de trafics, de dissimulations et de crimes, autour d'une forteresse aux dimensions impressionnantes. Et afin d'augmenter encore davantage la tension, l'intrigue aura pour toile de fond, la bataille spectaculaire qui a opposé les armées de l'empereur Gratien à près de 30000 alamans, tout proche de notre site se nommant alors : Argentaria.

05/2023

ActuaLitté

Beaux arts

Claes Oldenburg ; Coosje van Bruggen. Le grotesque contre le sacré

Les sculptures publiques de Claes Oldenburg et de Coosje van Bruggen stigmatisent le grotesque urbain et architectural des mégapoles comme Chicago ou New York. Hanté par une mystique, le gratte-ciel, de Sullivan à Mies van der Rohe, devient pour les Oldenburg le symptôme du grotesque tragique ou tragi-comique de la modernité. Avec leurs objets surdimensionnés, les artistes pop dressent les figures sidérantes d'un monde hors de ses gonds, lié à une inversion et à une confusion des valeurs et se livrent à une critique de la technocratie et du mercantilisme. Ils débusquent les reliquats du sacré lié à un culte secret de l'effroi dans l'art et l'architecture de leur époque. La Pince à linge de Philadelphie, la Batte de base-ball de Chicago sont une parodie de la nostalgie du sacré présente dans l'art de Brancusi, et notamment dans sa célèbre Colonne sans fin symbolisant une métaphysique de la liberté et une conception traditionnelle du monument associée au fantasme d'une communauté organique et réconciliée. Les antimonuments burlesques, néodadaïstes et corrosifs de Claes Oldenburg et de Coosje van Bruggen exploitent les vertus curatives du comique, contre la sanctification de la raison, de l'ordre et de la morale qui s'est imposée dans l'histoire de l'art abstrait, l'architecture moderniste et l'art des ingénieurs.

02/2009

ActuaLitté

Romans historiques

Les brûlés

Dans le Languedoc de la première moitié du XIIIe siècle, quelques hommes et quelques femmes paient de leur vie le refus de renoncer à leur foi. Ils font partie de cette minorité croyante et militante que sont les "hérétiques" ou les cathares ; ils luttent. C'est une lutte sans merci, ils n'ont pas le droit d'y renoncer et ne peuvent espérer aucune pitié. Dans la guerre qui ravage leur pays, ces étranges combattants s'efforcent de rester pacifiques jusqu'au bout, avec la tranquille certitude de ceux pour qui l'héroïsme est un devoir quotidien et banal, ils gravissent l'un après l'autre le chemin qui les mène au martyre d'avance accepté. Ils passent par les tentations de la haine, de la violence, de la peur, mais restent fidèles à la loi qui leur impose l'obéissance jusqu'à la mort. Les Brûlés, c'est l'histoire d'une résistance ; c'est aussi l'évocation d'une religion qui a durement lutté et qui a été détruite.

04/1960

ActuaLitté

Religion

Le Bûcher de Montségur. 16 mars 1244

En ce temps-là le Languedoc était pour l'Eglise un danger : ses chefs y toléraient la religion cathare. Pour la France du Nord et la monarchie capétienne, cette province riche, jalouse de son indépendance et de sa culture, mais désunie, était une proie convoitée. Quand le pape Innocent III, en 1209, prêcha la croisade contre l'hérésie cathare, commença une longue guerre de conquête : armées de croisés, puis armées royales déferlèrent sur le Languedoc. Les efforts conjugués de la royauté, de la Papauté et de l'Inquisition eurent raison de la résistance occitane. Le 16 mars 1244, Montségur, dernier sanctuaire du catharisme, tombait après un siège de dix mois. Dans une Occitanie annexée à la couronne, il n'y eut plus de tentative de révolte religieuse ni nationale.

02/1989

ActuaLitté

Histoire internationale

Catherine de Russie

La Grande Catherine, "Etoile du Nord" , "Mère Tsarine" de toutes les Russies, est un personnage légendaire. Si légendaire qu'on en oublie souvent la vérité historique. Zoé Oldenbourg s'est attachée à nous montrer un être humain, qui souffrit et qui lutta ; et c'est dans son humanité qu'elle a tenté de la peindre. C'est pourquoi son livre est consacré surtout à la première partie de la vie de Catherine, temps où elle n'était pas encore un monstre sacré.

03/1966

ActuaLitté

Littérature française

Les irréductibles

Ce roman commence au début de 1947 et se termine en 1951. Un homme revient à Paris après sept ans de captivité. Il n'a pas tout à fait trente ans. Il n'est plus un jeune homme et ne deviendra jamais un homme mûr. La femme qu'il a aimée, et qu'il aime toujours, ne l'a pas oublié. Elle a un enfant de lui. Ils ne se retrouveront que pour mieux se perdre. Les deux amants, Elie et Stéphanie, s'affrontent de nouveau, et cette fois dans une lutte à mort. C'est l'histoire d'un grand amour vaincu, de deux grandes amours vaincues - car Stéphanie va aimer un autre homme, et jusqu'à l'oubli d'elle-même. L'action véritable est peut-être ailleurs : dans la tragique solitude d'Elie qui, avide de vivre et d'agir, se débat et tourne en rond comme un oiseau enfermé dans une chambre, brisant ce qu'il trouve à portée d'aile, et se brisant lui-même ; dans la calme et cruelle solitude de l'amant de Stéphanie, qui est peintre comme le loup est carnivore, et sur qui bonheurs et malheurs glissent comme des reflets sur un miroir, parce que sa vraie vie est au bout de son pinceau. Dans la solitude douloureuse de Stéphanie, affamée d'amour, mère jalouse et tendre... , dans tant d'autres solitudes, plus absurdes encore, révoltées ou résignées.

06/1958

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté