Monique Michaud

Monique Chatelain est une artiste Lyonnaise née en 1932.

Au beau milieu des années cinquante, Laure Delessert, jeune enseignante diplômée, est nommée dans un collège de jeunes filles dans une ville côtière d'Algérie. Professeur de lettres, elle éprouve quelques malaises dans une société colonialiste qui assoit de plus en plus une ségrégation raciste sur l'autorité et les forces militaires.

Le prix suisse de littérature 2015 a été attribué à l’auteure zurichoise, avec une dotation de 30.000 francs suisses pour son livre Eins im Andern, dans le cadre du festival BuchBasel. Ce nouvel ouvrage dépeint la biographie d’une femme « forte, pleine d’humour, et méditative ». Et même la présidente du jury, Corina Caduff, jure que, pour cette édition 2015, la concurrence entre les ouvrages était difficile.

Pour celle qui en a aussi, des « bleus à l’âme », dédicace Françoise Sagan à Rachel, Monique, ou encore Szyndler, Pagliero, Gonthier, Sindler, Calle.

J’ai du mal à croire qu’on est déjà en mai. Le temps passe vraiment beaucoup trop vite, j’ai l’impression de voguer de panne de lecture en panne de lecture, mais finalement, mon challenge goodreads indique déjà 51 lectures en 2023 (mais je dois tricher car je lis de la BD).

Avez-vous déjà dessiné sous mescaline ? Henri Michaux, oui ! À ce titre, Christie’s prépare une nouvelle session de vente aux enchères dédiée aux dessins de l’écrivain. Du 30 juin au 7 mai, 30 dessins provenant de la collection privée du groupe Renault seront proposés aux enchérisseurs.

Dans un communiqué, la maison d'édition PUF vient de signaler que Monique Labrune avait pris ses fonctions au poste de directrice éditoriale.

L’atmosphère est lourde, la progression difficile, le trajet interminable. Que cherche-t-elle ? Pourquoi tant de hâte et d’impatience ?

Tout débute avec un appel téléphonique désespéré : une mère à son fils, racontant l’insupportable quotidien, la violence conjugale — encore ! C’est un soir de février où les larmes ne se retiennent plus nourries de l’effrayant sentiment que l’histoire se répète. Déjà, avec l’ex-mari... À présent, lui…

D’après les biographes, c’est en lisant « La douleur » d’André de Richaud que Camus découvrit sa vocation d’écrivain. Cela méritait d’en savoir plus sur ce texte publié en 1930 et réédité dans les cahiers rouges de Grasset. Et j’ai compris, en lisant ce roman court, le saisissement de Camus. « La douleur », par son style, sa retenue, sa poésie, cette atmosphère de brume, de silence, fait songer au roman sublime de Lafon « L’élève Gilles » (voir notre chronique là-dessus).

"les remue-méninges du dimanche"

"Pourquoi les riches sont-ils de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus pauvres ?"

La Société des Poètes et Artistes de France vient de récompenser le livre de Monique Ruffié, La part de l’ombre, un recueil de poèmes publié en octobre 2014 aux Éditions du Net. Il a reçu le Grand Prix international Luc Vuagnat, doté de 2000 francs suisses.

Lectures - Mardi 17 avril 2012 à 19h11 - A la librairie

Monique Sassier devient la nouvelle médiatrice de l'Education nationale

Il y a quelques années, Nicolas de Crécy avait déclaré abandonner la bande dessinée pour se consacrer entièrement au dessin. Bienheureusement, il n’a pas tenu parole.

Les collectionneurs bichent déjà : ce 22 mars, la maison Binoche et Giquello mettra aux enchères des œuvres d’Henri Michaux, Jacques Prévert et Max Ernst. L’ancienne collection René Bertelé, qui fut éditeur du premier, s’est fondue dans celle de Bernard Loliée. Et désormais ces multiples lots connaîtront une nouvelle vie.

Avec la rentrée, le groupe Glénat annonce une réorganisation de son équipe jeunesse. La trêve des confiseurs passée, chacun reprend un rythme normal. Et en premier lieu, c’est l’annonce de l’arrivée d’Agathe Lème-Michau au poste de Directrice éditoriale Licence, poche et développements transversaux chez Glénat jeunesse.

C’est début août qu’est survenu le décès de Monique Boquié Bermond, apprend-on de sa fille. Critique littéraire d’ouvrages pour la jeunesse, « elle a tenu une rubrique des livres pour enfants durant de nombreuses années à l’école des parents », précise-t-elle.

Le Prix Costa du livre de l'année, ou Costa Book of the Year Award en version originale, a été décerné à l'autrice Monique Roffey pour son livre The Mermaid of Black Conch: A Love Story (Peepal Tree). Plusieurs autres récompenses sont venues saluer des ouvrages, dans différentes catégories.

Journée exceptionnelle du déclin de Samuel Cramer ou la petite musique des prix. Les prix font couler beaucoup d’encre. Font battre plus forts les cœurs des éditeurs et des auteurs. Jusqu’à la sentence. Rares sont les prix où l’on trouve deux lauréats. Les prix littéraires ne ressemblent ni au palmarès du Festival de Cannes, ni aux Césars, ni aux Oscars…

Au carrefour de la comédie romantique, du buddy movie et du road movie, Les histoires d’Anouk nous racontent avec une énergie réjouissante les déboires d’une célibataire, à l’âge où l’on pense à tomber enceinte avant même de tomber amoureuse. Le long-métrage de 90 minutes sera diffusé le mardi 9 mai à 18 h sur France TV.

Du 22 au 28 avril 2013 se tiendra à Montréal, au Québec, la sixième édition du Festival des enfants Métropolis Bleu. Cet événement, qui met à l'honneur l'écriture et la lecture auprès des plus jeunes sera parrainé par l'illustrateur Philippe Béha et l'auteure jeunesse Monique Polack, rapporte Le Devoir.

D’après les biographes, c’est en lisant « La douleur » d’André de Richaud que Camus découvrit sa vocation d’écrivain. Cela méritait d’en savoir plus sur ce texte publié en 1930 et réédité dans les cahiers rouges de Grasset. Et j’ai compris, en lisant ce roman court, le saisissement de Camus. « La douleur », par son style, sa retenue, sa poésie, cette atmosphère de brume, de silence, fait songer au roman sublime de Lafon « L’élève Gilles » (voir notre chronique là-dessus).

"Echec de ma concierge", recueil de nouvelles d'André de Richaud, chez l'Arbre vengeur

Le festival Estonie tonique est lancé ! À partir du 7 octobre, l'événement met à l'honneur la culture et la création contemporaine estoniennes à Paris et en Ile-de-France pendant deux mois.

André de Richaud a attendu que Mai et Juin 1968 soient passés pour mourir au mois de septembre alors qu’une partie de ma génération attendait la répétition des «  évènements ». Trois ans avant, il avait publié un Je ne suis pas mort qui avait surpris, tant sa retraite dans un établissement ad hoc méridional l’avait effacé des mémoires, lui et son œuvre. De Richaud fut pourtant un homme à la mode ; son premier ouvrage, La Douleur, paru en 1931 avait retenu l’attention du jeune Camus ; il fréquenta le haut-du-pavé artistique et littéraire de son temps, exerça le quelque fois incertain métier de professeur de philosophie, fut pique-assiette pendant quatorze ans (quatorze ans !) chez le couple Léger ; la guerre et un penchant pour l’alcool le poussèrent à un exil parisien d’abord (Rue  des Canettes à Saint-Sulpice, il y a pire) puis à partir de 1958 à Vallauris où il s’effaça presque de son vivant du souvenir des amateurs de lecture.

Monique Younes, Emile Bravo et René Petillon