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Maurice Godelier

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Michel Houellebecq

Révélé avec Extension du domaine de la lutte, publié en 1994 par les Éditions Maurice Nadeau, Michel Houellebecq, né Michel Thomas en 1956 ou 1958 selon ses propres dires, a cultivé le mystère tout au long de sa carrière : après ce premier roman remarqué, il publie Les Particules élémentaires (1998), puis Plateforme (2001), alors qu'il vient de s'exiler en Irlande.

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Dossier

Le trône de fer : les livres de la saga A Song of Ice and Fire de George RR Martin

Le trône de fer est une immense saga d’héroïque fantasy qui s’inspire de la série des Rois maudits de Maurice Druon. C’est au début des années 1990 que Georges R.R. Martin commence à écrire Le trône de fer, le premier volume est publié en 1996. En 2007, la chaine de télévision HBO acquiert les droits d’adaptations. L’auteur lui-même participe à sa production et écrit le scénario d’un épisode par saison. 

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Dossier

Le prestigieux et convoité Prix Goncourt

Récompense la plus populaire, la plus médiatique et la plus convoitée de la rentrée littéraire, le Prix Goncourt rythme depuis plus d'un siècle la vie littéraire française en désignant un lauréat ou une lauréate, au début du mois de novembre. Pour l'éditeur du livre en question, l'annonce signifie la plupart du temps des ventes assez confortables à l'occasion des fêtes de fin d'année.

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Dossier

Roman, nouveautés : les livres de Michel Houellebecq

Romancier, essayiste, poète, considéré par de nombreux critiques comme l’écrivain français le plus marquant de notre époque, il est lu dans le monde entier depuis Extension du domaine de la lutte (1994). Michel Houellebecq a reçu le prix Goncourt pour son roman La Carte et le territoire, en 2010.

Extraits

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Sociologie

LA PRODUCTION DU SOCIAL. Autour de Maurice Godelier, colloque de Cerisy

Maurice Godelier est l'une des grandes figures internationales de l'anthropologie française. Théoricien rigoureux et inventif autant qu'homme de terrain accompli, il exerce depuis trente ans une influence décisive sur tous les domaines de la pensée qui s'attachent à rendre raison des faits de société et de leurs dimensions matérielle et imaginaire, dans le présent le plus actuel comme dans le passé le plus lointain, au cœur du monde industrialisé comme parmi les peuples sans écriture. De la portée de son œuvre témoigne ce colloque réunissant autour de lui à Cerisy des chercheurs venus des quatre coins du monde pour en débattre. Anthropologues, sociologues, économistes, philosophes, archéologues et psychanalystes prolongent ici de façon critique les problématiques que Maurice Godelier a élaborées et sur lesquelles il revient dans la conclusion, contribuant ainsi à offrir des perspectives originales à qui souhaite mieux comprendre la richesse et la diversité du monde contemporain.

06/1999

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Ethnologie

Communauté, societé, culture. Trois clés pour comprendre les identités en conflit

Qu'est-ce que qui fait société ? Ce ne sont ni les rapports de parenté, ni les rapports économiques, mais bien les rapports politico-religieux (les rites d'initiation, les institutions, les valeurs, etc.). L'analyse de ces rapports politico-religieux est essentielle à la compréhension des identités en conflit... ces identités plus que jamais réaffirmées et revendiquées avec l'entrée dans l'économie capitaliste mondialisée. Pour mieux saisir les grands enjeux actuels de notre monde globalisé et fracturé, l'anthropologie est plus utile que jamais.

01/2021

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Ethnologie

La mort et ses au-delà

La variété des conceptions de l'au-delà comme des rites funéraires révèle combien la question du trépas constitue depuis les origines l'un des fondements des sociétés humaines. Comment celles-ci s'expliquent-elles que l'humanité soit mortelle ? Comment se représentent-elles l'acte même de mourir ou se comportent-elles face à celui qui agonise ? A quelles nécessités sociales ou religieuses répondent l'inhumation, la crémation ou la momification des dépouilles ? Quelles que soient les formes qu'elles revêtent, les funérailles témoignent toujours de la volonté de conjurer la mort et de préparer la vie du défunt dans un autre monde. C'est ce que nous confirme cet ouvrage à travers l'étude de sociétés aussi diverses que celles de la Grèce et de la Rome antiques, du Moyen Age chrétien, de la Chine et de l'Inde contemporaines ou des aborigènes d'Australie. Il montre l'extraordinaire créativité des hommes dans leur face-à-face avec la mort et l'inconnu de l'au-delà, qu'ils soient juifs, musulmans, bouddhistes, amérindiens ou mélanésiens. Mais au-delà des imaginaires et des rites qui distinguent toutes ces cultures, un socle invariant les réunit : nulle part, la mort ne s'oppose à la vie.

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Ethnologie

Maladie et santé selon les sociétés et les cultures

À l'origine de cet ouvrage dirigé par Maurice Godelier, anthropologue de réputation internationale, il y a deux hypothèses : la première postule que les réactions des populations à diverses épidémies ou pandémies, tel le sida, dépendent assez étroitement des représentations culturelles que ces populations se font de l'origine et des causes des maladies qui les affectent ; la seconde que les gouvernements de ces sociétés doivent prendre en compte ces représentations dans les politiques de santé qu'ils mettent en place pour lutter contre ces maladies. Pour éclairer la complexité de cette recherche, quatre textes ouvrent ce livre : de Jean-Pierre Dozon, Le sida en Afrique subsaharienne : problème culturel ou problème de politique publique ? ; de Francis Zimmermann, Du phlegmon à l'azadirachtine. Représentations indiennes des maladies et bioprospection ; d'Elisabeth Hsu, Expériences de la personne, de la santé et de la maladie en Chine ; de Sylvie Fainzang, La culture, entre représentations de la personne et politiques de santé. Mises en perspective avec quelques données occidentales. Sous la rubrique " Contrepoints ", Claudine Attias-Donfut, Marie-Odile Bertella Geffroy, Xavier Carpentier-Tanguy, Jean-Marc Ferry, Joseph Maïla, Serge Marti débattent des analyses proposées. Préalablement à ces réflexions, Maurice Godelier propose une définition en quatre points de ce qu'il entend par " représentations culturelles " ; ce qui le conduit à faire la part de l'imaginaire et du symbolique. Il insiste également sur un autre préalable théorique : ne pas coller sur toutes les formes d'individualité sociale et historique les attributs de la personne humaine tels que l'Occident les pense. Apparaissent alors en filigrane dans cet ouvrage les premiers traits d'esquisse d'un Manifeste de l'anthropologie. Prendre en compte et analyser chacun des facteurs qui entrent dans un processus en développement est une exigence scientifique qui impose la mobilisation et la coopération d'un grand nombre de disciplines des sciences sociales et des sciences médicales. Toutes doivent se décentrer et se distancier par rapport aux stéréotypes et préjugés que nos sociétés nourrissent contre les autres sociétés, leurs cultures et leurs pratiques. L'anthropologie pratiquée par un Occidental avec cette rigueur, cette érudition et cette vigilance critique n'est pas une description au service de la domination occidentale sur le reste du monde. Cette anthropologie-là produit un savoir partagé qui bénéficie aussi bien aux partenaires indiens ou africains qu'à leurs collègues européens. Ni arrogance, ni auto-flagellation.

08/2011

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Sociologie

Peut-on se moderniser sans s'occidentaliser ?

Si la modernisation est un phénomène social d'emprunt qui a revêtu au cours de l'histoire bien des formes, force est de constater que l'Occident, depuis le xve siècle, s'est imposé - par les armes bien souvent ou par la propagande - comme le modèle de la modernité. Volontairement ou non, des centaines de sociétés se sont transformées sous son influence, de sorte que, pour la première fois, toutes sont entrées dans la trame d'une histoire commune. Mais quelles ont été les différentes modalités de cette vaste mutation ? Dans quelle mesure certaines sociétés ont-elles pu s'intégrer à ce mouvement d'ensemble tout en conservant des traits spécifiques, différents, voire opposés à ce qui était promu par l'Occident ? Car on peut s'occidentaliser sans devenir occidental. Et comment faire alors la part entre les transformations irréversibles et celles qu'il est aujourd'hui possible de remettre en cause ? Longtemps, la croyance dans le progrès a laissé croire que développement économique, évolution des moeurs et démocratisation politique allaient de pair. L'effondrement de ce mythe permet aujourd'hui de mieux caractériser ce qui a réellement été en jeu dans la mondialisation portée par le capitalisme industriel, et ainsi d'appréhender les défis qui attendent aujourd'hui des sociétés occidentales en butte à une hostilité exacerbée et sur le point, peut-être, de perdre le leadership économique, politique et militaire qui a nourri leur expansion. Mettant à profit une vie de recherches sur le fonctionnement des sociétés, Maurice Godelier propose ici une relecture de la naissance et de l'essor du monde moderne, et un bilan sans concession sur le rôle et la place de l'Occident.

06/2023

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Violence

L'interdit de l'inceste à travers les sociétés

En quoi consiste l'inceste ? Est-il l'objet d'une prohibition universelle ? Cette interdiction concerne-t-elle les seules parentés "? biologiques ? " ou s'étend-elle aux diverses parentés "? sociales ? ", comme celles qui se tissent aujourd'hui dans les familles dites recomposées mais qui existent aussi dans beaucoup d'autres sociétés ? Cette prohibition joue un rôle fondamental dans le fonctionnement des multiples systèmes de parenté étudiés de par le monde. Mais d'où vient-elle ? Peut-on penser, avec Claude Lévi-Strauss, que l'interdit de l'inceste marque à lui seul le passage de la nature à la culture ? Et comment comprendre, alors, la tension persistante entre l'interdit proclamé, institutionnalisé, et la pratique incestueuse qui, partout, demeure ? Voyage dans l'espace et dans le temps, cette réflexion met en évidence un fait essentiel, le caractère spontanément asocial et indifférencié de la sexualité humaine et la nécessité d'une régulation sociale de cette spontanéité. Il met ainsi en lumière les principaux enseignements de l'anthropologie sur la question de l'inceste, fait social majeur et aujourd'hui d'une actualité brûlante.

10/2021

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