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Marek Edelman

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Lecture 9-12 ans

Au ghetto de Varsovie nous avons combattu avec Marek Edelman

Depuis novembre 1940, les troupes allemandes et leurs collaborateurs terrorisent, affament, humilient et déportent les Juifs du ghetto de Varsovie. Quatre habitants sur cinq sont exterminés en quelques mois... Soudain, le 18 janvier 1943, retentissent dans les rues du ghetto les tirs d'une poignée de jeunes résistants juifs contre les soldats allemands venus effectuer une dernière rafle. C'est la première rébellion menée dans une ville européenne contre les occupants nazis. Tenue en échec, l'armée allemande se retirera et réattaquera trois mois plus tard avec une puissance de feu bien supérieure. Marek Edelman est membre de l'état-major de l'insurrection. Il a alors vingt-quatre ans. En s'inspirant de faits authentiques, Eric Simard a imaginé que plusieurs des acteurs du drame ayant réellement côtoyé Marek Edelman se présentent pour apporter leur témoignage sur le combattant qu'il était. On partage avec eux les épreuves de la peur, de la faim, du combat, de la cruauté, mais aussi la fraternité, le courage, l'amitié, l'amour...

11/2018

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Histoire internationale

Mémoires du ghetto de Varsovie

Varsovie, 19 avril 1943: la Wehrmacht attaque le ghetto pour liquider ses derniers occupants. Ceux-ci ripostent par les armes. Marek Edelman, vingt ans, fait partie de l'état-major de cette insurrection qui tiendra vingt jours. Le 10 mai, alors que le ghetto est en flammes, il parvient à s'échapper par les égouts. En 1945, il fera le récit sobre de ce combat désespéré et de cette " vie à la frontière de la mort ". C'est ce témoignage d'exception qui est présenté ici.

09/2002

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Histoire internationale

La vie malgré le ghetto

Varsovie, années 40. La vie malgré tout. Malgré le ghetto. Malgré les Allemands qui patrouillent et tuent. Malgré les rafles et l'abjection. Une vie marquée par la peur et la faim mais où la fraternité, l'amitié, l'amour apportent une lueur dans l'enfer. Et puis, c'est la révolte, les armes, le sang. Seule une poignée de Juifs survivra. Marek Edelman, quelques mois avant de disparaître, a voulu se souvenir de ceux dont les noms n'auront pas forcément marqué l'Histoire. Tels des instantanés, il nous livre ces lambeaux de vie, pour mémoire.

04/2010

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Europe centrale et orientale

Carnets inédits sur le ghetto de Varsovie

2 octobre 2009, Varsovie. Marek Edelman s'éteint. Figure de l'opposition au régime communiste polonais, il est célèbre d'abord pour avoir été l'un des dirigeants du soulèvement du ghetto de Varsovie en 1943. Membre du Bund, le mouvement socialiste des travailleurs juifs, il participe à ses publications clandestines. Quand les nazis décident de liquider le ghetto, il fait partie de ceux qui se savent condamnés mais ne veulent pas mourir sans combattre. Une poignée d'hommes contre une armée. Marek Edelman ne posait pas au héros. "Nous avions décidé de mourir les armes à la main. C'est tout. C'est plus facile que de donner ses habits à un Allemand et de marcher nu vers la chambre à gaz". Juif non religieux, non sioniste, c'était un éternel insoumis. Il avait publié en 1945 un récit sur le ghetto et son soulèvement, puis des entretiens. Le jour de son enterrement, ses enfants, Aleksander et Ania Edelman, retrouvent dans son appartement trois carnets, où il avait consigné à la fin des années 1960 des souvenirs du ghetto, sans aborder le soulèvement. Ce sont ces carnets retrouvés que nous publions ici, avec un appareil de notes et d'annexes permettant la compréhension de ce document exceptionnel. Edition établie par Constance Pâris de Bollardière, historienne spécialiste du Bund et des rescapés de la Shoah, directrice adjointe du George and Irina Schaeffer Center for the Study of Genocide, Human Rights and Conflict Prevention (The American University of Paris).

04/2022

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Littérature française

Marée basse marée haute

"Chaque été, je passe mes vacances au bord de la ruer - c'est une nécessité pour moi - et chaque jour je consulte l'horaire des marées. Basse mer, pleine mer, marée basse, marée haute. marée montante, marée descendante, grande marée. Ces mots. à eux seuls, me donnent à rêver. Quand la mer se retire, je vois des estivants, parents et enfants, s'avancer sur la plage qui s'allonge mètre après mètre jusqu'à rendre la mer au loin à peine perceptible, elle se confond avec le ciel. Ils vont à la recherche de coquillages. Je me dis que ces coquillages, ces coques, ces palourdes, ces moules en grappes, ces bouts de bois rongés par le sel marin, ces morceaux de corde tombés d'un bateau de pêche, figurent ce qui est déposé dans ma mémoire : de petits restes - comme ils me sont précieux ! - qui seront tout à l'heure recouverts par la marée haute mais qui réapparaîtront, ceux-là ou d'autres, quand la mer de nouveau se retirera. Marée basse, marée haute, cette alternance est à l'image de ma vie, de toute vie peut-être. La vie s'éloigne, mais elle revient."

04/2013

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Autres éditeurs (P à T)

Marée haute. Marée basse

A travers un rideau de pins rouges, la plage. Vide à cette heure matinale, comme une page blanche prête à accueillir l'histoire de cette journée qui commence. " Profite... ", invite l'auteur complice. La marée descend, la plage grandit. " Déjà, tu n'es plus seul ", poursuit la voix-off, semant de nouveaux indices. Un homme traverse la scène, d'autres pêchent des coquillages. Au loin, un banc de sable apparaît doucement. Un cavalier s'approche ; les ombres rétrécissent. Tout au long du livre, la plage grandit et rétrécit avec la marée, se peuplant et se dépeuplant. Un enfant, Paul, entreprend la construction d'un château, puis d'autres arrivent et les pères s'en mêlent. La météo change, le groupe file s'abriter. Une fillette revient avec le beau temps, reprend la construction du château... A la tombée du jour on organise une grande fête et les deux enfants se retrouvent autour de leur huitième merveille à eux, totem fort et fragile de cette journée particulière...

03/2023

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