Ah, l'évolution, la chaîne alimentaire, les grands singes devenus de petits humains, et toutes les contrariétés de la survie, devenue de simples souvenirs renvoyés à l'époque de pierre, que l'on sous-traite en tâche de fond avec un cerveau reptilien consentant... C'est beau, d'avoir évolué, d'être désormais au sommet de ce que la planète compte d'espèces. Et ce, quand bien même il n'y a pas tellement de raisons d'en tirer orgueil...