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Karim Kattan

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Littérature française

Préliminaires pour un verger futur

Trois nouvelles, des bribes de vies : Huis-clos à Gaza. Au son du ressac de la mer au pied de leur chambre d'hôtel, le narrateur et son amoureux font renaître la langue maternelle - celle que l'on tait dans l'exil. Vivre au Soudan, à Kobé, Shangai et Bombay. Emilie, le grand-mère du narrateur, tente de se construire loin de sa terre natale. A Londres, Asma, Shéhérazade des temps modernes, libre et fantasque, guide le narrateur dans la ville et mène à sa guise le jeu amoureux. Autour de la Palestine d'aujourd'hui et de son souvenir se construisent des personnages sur le fil, suspendus à leur exil physique, qui est aussi langagier. L'absence de terre fait naître un imaginaire à la fois dense et lacunaire, nourri de légendes vacillantes et parcouru par une modernité affirmée, porteuse d'espoir, de renouvellement, d'amour.

10/2017

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Littérature française

Le Palais des deux collines

Faysal, Palestinien trentenaire, reçoit un mystérieux faire-part de décès. Mais qui est donc cette tante Rita ? Intrigué, il abandonne son amant et sa vie en Europe pour retourner à Jabalayn, son village natal. Dans le palais déserté de son enfance, il erre. Le passé resurgit, fastueux et lourd de secrets. Alors que plane la menace d'une annexion imminente, qu'une famille et un pays sont au crépuscule, l'esprit de Faysal bascule.

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Littérature française

Le palais des deux collines

Faysal, Palestinien trentenaire, reçoit un mystérieux faire-part de décès. Mais qui est donc cette tante Rita ? Intrigué, il abandonne son amant et sa vie en Europe pour retourner à Jabalayn, son village natal. Dans le palais déserté de son enfance, il erre. Le passé resurgit, fastueux et lourd de secrets. Alors que plane la menace d'une annexion imminente, qu'une famille et un pays sont au crépuscule, l'esprit de Faysal bascule.

02/2024

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Littérature française

Karim

"Karim tu étais fait de ce balancement, de ce combat perpétuel à l'intérieur de toi entre la joie et la souffrance, l'exaltation et le découragement, l'amour et la destruction. A la fin puisqu'il faut bien qu'il y ait un vainqueur et bien, c'est ta part d'ombre qui l'a emporté sur ta lumière. A la fin, de guerre lasse et à bout de forces, ce sont tes démons qui ont gagné". Sous la forme d'un journal intime et poétique, Catherine Sigal rend un hommage touchant à son ami Karim. Elle raconte l'amour, la tendresse tout autant que la perte, la douleur, l'absence. En guerre contre les démons de ce jeune homme souffrant de psychose maniaco-dépressive, elle reste le témoin de sa fragilité jusqu'à sa mort à l'âge de 36 ans. Psychologue clinicienne et psychothérapeute, Catherine Sigal travaille en libéral à Toulouse. Ecoutante bénévole à la Porte Ouverte pendant ses études, elle a participé plus récemment à des groupes de paroles pour l'association Revivre France. Avec pudeur et bienveillance, elle dévoile dans son premier récit son amitié avec Karim, jeune homme trop intense, qui évoque pour elle "les purs" dont parle Christian Bobin : "Un jour on sort du paradis et on voit ce qu'est le monde, un palais pour les menteurs, un désert pour les purs".

11/2020

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Littérature française

Karim K

En apparence, Karim est un enfant comme les autres : collège, maison, maison, collège ; il vit au rythme tranquille d'un gamin de son âge. Plutôt intelligent, souvent drôle, quelquefois turbulent, il est l'exemple même de ce que la cité et les HLM peuvent enfanter. Mais plongé dans un quotidien éprouvant et malmené par les institutions, Karim cultive en silence cette part d'ombre qui fera de lui un tueur en série. De ses premières pulsions adolescentes jusqu'à son arrestation au terme d'une cavale où les victimes se sont accumulées dans son sillage, Karim raconte lui-même son terrifiant parcours dans ce roman aussi éprouvant que captivant.

01/2015

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Littérature française

Karim sans Kabylie

Alexandre rencontre fortuitement Karim, jeune émigré sans papiers qui erre dans la ville. Avec la complicité amoureuse de sa maîtresse Clara, il va absorber la solitude de cet être égaré dans une société au racisme banal, et accompagner Karim, avec une tendresse proche de l'amour, dans sa recherche identitaire. Avec ce récit affectif tout en demi-teinte, Guy Shelley s'insurge contre l'intolérance et l'indifférence des mécanismes administratifs, toujours sourds aux malheurs simples, et décrit sans fard un moment de vraie fraternité désintéressée.

11/2004

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