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Joaquin Guerrero-Casasola

Extraits

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Littérature étrangère

Adios mexico

Gil Baleares n'a pas la vie facile : un job épuisant, des ex envahissantes, un père en pleine crise d'adolescence et pas mal de dettes à régler. Mais il est têtu. Quand son père disparaît, il fait le serment de le retrouver - et de s'offrir, enfin, une vie digne de ses rêves. Gil Baleares est un privé à la masse, un bras cassé légèrement porté sur la bouteille et plus précisément sur la téquila, bref un amour d'homme. Chargé de retrouver la jeune Alicia del Moral, il essuie quelques plâtres et laisse traîner quelques cadavres sur sa route. Il finit par retrouver la fille et s'empare de l'argent de la rançon. Enfin, il va pouvoir acheter cette fameuse Tsuru Nissan couleur argent dont il rêve depuis la nuit des temps. Désormais à l'abri du besoin, il s'apprête à couler des jours heureux mais c'est au tour de son père, atteint d'Alzheimer, d'être kidnappé. La relation père-fils est conflictuelle : le vieux a des envies d'indépendance et d'amours adolescentes qu'il devient difficile de contenir... Cette folle recherche dans Mexico city se soldera par un échec. Le machisme, l'homophobie, les enlèvements, la corruption sont partout. Le ton n'est pas sans nous rappeler celui de Adios Hemingway de Leonardo Padura. Il y a aussi du Pepe Carvalho dans ce Gil Baleares. Les références au cinéma ponctuent le texte : Clint Eastwood, Bruce Lee... Ecrit à la première personne du singulier, on est immédiatement embarqué dans ce livre. L'humour est présent à chaque phrase. Et pourtant, à la manière de Tarantino, il y a du sang, de la violence, de la corruption. Une noirceur réjouissante !

10/2012

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Beaux arts

Joaquín Sorolla. Lumière espagnole

Catalogue officiel de l'exposition Joaquín Sorolla à l'Hôtel de Caumont Centre d'art d'Aix-en-Provence du 10 juillet au 1er novembre 2020. . Joaquín Sorolla (1863-1923), l'un des plus grands noms de la peinture espagnole du XXe siècle, est à l'honneur à l'Hôtel de Caumont en 2020. On lui doit une des représentations les plus marquantes et éclatantes d'une Espagne lumineuse et méditerranéenne, optimiste et moderne. Fondée sur le naturalisme, sous l'influence de Bastien-Page, sa peinture est très marquée par la constante référence à Velázquez, que Sorolla considère comme son grand maître. Cet apprentissage est enrichi par un coup de pinceau libre et lumineux, proche de l'impressionnisme, et par une interprétation de la lumière et de la couleur incroyablement vitaliste et novatrice. Ses compositions magistrales, informées par les nouvelles possibilités de cadrage de la photographie, ainsi que par l'influence de l'estampe japonaise, nous captivent par leur spontanéité, leur immédiateté et leur modernité. L'exposition de l'Hôtel de Caumont s'appuie sur plusieurs recherches afin d'aborder la manière dont Sorolla a construit son oeuvre, s'attachant à trois questions fondamentales : le processus créatif de l'artiste, les sources des principaux sujets de son oeuvre et l'évolution de ces sujets au sein de sa production. Aux côtés d'oeuvres ambitieuses de grand formats, sont exposés de petits dessins et esquisses à l'huile, qui éclairent d'une lumière nouvelle sa conception de l'art, dont le trait principal est la luminosité et la spontanéité. Essentielles dans son processus de travail, ces esquisses de petits formats lui permettent de cerner les sujets qu'il explore, de tester des compositions ou des combinaisons de couleurs. L'exposition est aussi l'occasion de faire connaître, à travers les photographies et l'abondante correspondance de l'artiste, le caractère infatigable, quasi obsessionnel de son travail, et permet d'analyser la manière dont Sorolla a élaboré son style le plus personnel.

06/2020

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Littérature française

Joaquim et le taureau

La vie ordinaire dépasse les fictions les plus travaillées, et l'autobiographie bien conduite, avec un regard attentif, sélectif, propice à l'écriture de la nouvelle, l'emporte sur l'autofiction. Ici, la quête du bonheur est en question, parce qu'elle néglige souvent ce que l'on a à portée de main et que l'on n'a pas su voir. Ainsi, pour relancer sa créativité de peintre un peu en panne, Joaquim s'est-il mis en tête de trouver un taureau pour lui servir de modèle. Non pas un taureau de corrida, mais la bête fantasmatique qui hante l'homme depuis Lascaux. Et il va avoir un mal fou à la dénicher, alors qu'à deux pas de chez lui... Et comme Joaquim, d'autres personnages de la vraie vie cherchent dans ce recueil un sens à leur existence, alors qu'il leur crève les yeux.

03/2017

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Littérature étrangère

La ballade de Joaquin Murieta, bandit mexicain

A l'époque de la Ruée vers l'or en Californie, un jeune Mexicain injustement humilié se fait hors-la-loi. Avec sa bande, Joaquin Murieta écume l'Etat, récemment annexé aux Etats-Unis, terrorisant les Gringos, et entre finalement dans la légende. Cavalcades, coups de feu, romances amoureuses, bagarres, ruses et lynchages à n'en plus finir rythment les pages haletantes de ce western grand style. Publié en 1854, La Ballade de Joaquin Murieta, inspiré de faits réels, premier roman jamais écrit par un Amérindien, fonde le mythe du bandit mexicain au grand coeur — l'origine de Zorro –, qui inspira jusqu'à Pablo Neruda et promet des jours de vengeance à tous les opprimés de l'Amérique triomphante.

04/2017

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Romans historiques

Le long chemin de Joaquin l'Espagnol

Pris dans le tourbillon infernal de la guerre d’Espagne, Joaquin Garcia Sanchez doit affronter la férocité du fascisme, la souffrance, l’emprisonnement, l’injustice, et la mort de ceux qu’il aime. Vaincu et humilié, il va pourtant rester debout avec, planté dans le cœur comme un drapeau, un ardent désir de vivre. Seul le souvenir de la douce Maria lui permettra de résister. Depuis un petit village de Castilla la Mancha jusqu’à un autre petit village du Roussillon, voici l’histoire extraordinaire d’un homme pas tout à fait ordinaire. C’est la découverte du carnet authentique d’un réfugié espagnol qui a poussé Jean-Pierre Grotti à se lancer dans l’écriture de cette poignante histoire.

05/2011

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Critique littéraire

Joaquim Vital. Esquisses pour un portrait

Né à Lisbonne en octobre 1948, emprisonné sous Salazar à seize ans, exilé à Bruxelles à dix-huit, Joaquim Vital habitait Paris depuis 1973. Fondateur, en 1976, des Editions de la Différence, il y a fait paraître, en 1996, Vingt ans, bilan sans perspective, anthologie " parfois arbitraire " des textes et des images édités, non sans mal, pendant quatre lustres. En 2000, il a publié un recueil de poèmes, Un qui aboie, en 2004, Adieu à quelques personnages et, en 2008, La Vie et le reste. Sa dernière nouvelle, La Découverte du Brésil, paraît à titre posthume en 2011. Il a aussi traduit en français de nombreux auteurs portugais : Sophia de Mello Breyner, Vasco Graça Moura, Fernando Pessoa, Mário de Sá-Carneiro, Raul Brandào, Urbano Tavares Rodrigues, Isabel Fraga. Après sa mort, survenue à Lisbonne le 7 mai 2010, ses auteurs et amis s'attachent à évoquer le personnage qu'il a été et le rôle qu'il a joué dans leur vie. L'ouvrage est illustré par quelques artistes avec lesquels il a collaboré : José de Guimarães, Boris Lejeune, Bengt Lindström, Jean-Luc Parant, Júlio Pomar et Milos Sobaïc.

03/2011

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