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Ignacio Rodriguez Minaverry

Extraits

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BD tout public

Dora Tome 4 : Amsel, Vogel, Hahn

Dora est envoyée en mission pour enquêter sur trois anciens nazis : Ludwig Amsel, Reinhard Vogel et Kurt Hahn. Elle part en Finlande, en Belgique et en Ecosse pour recueillir des témoignages. Elle y rencontre Leo Feinik, un juif qui fut contraint de travailler pour les nazis pendant la guerre, Arnold Moser, un ancien prisonnier interné parce qu'homosexuel, et Percy Adler, un ingénieur reconverti dans l'espionnage...

09/2019

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Livres 3 ans et +

Le voyage d'Ignacio

Entre la préparation de la pâte à la noisette et les activités de plein air qui rythment leur quotidien, Ignacio et ses amis mènent une vie paisible et heureuse, dans la forêt. Mais lorsqu'Ignacio reçoit une invitation de son cousin qui vit dans le grand Nord, tout cet équilibre est remis en question... Ignacio va-t-il pouvoir entreprendre ce long voyage ?

10/2016

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Policiers

Et Rodriguez, alors ?

"David Rodriguez, malgré ton humour, avoue que tu as la trouille. C'est pourtant beau, le Pérou, où tu t'es offert un voyage. Seulement voilà, y a la Révolution. Et la contre-Révolution. Si tu n'avais pas accepté le bras de la belle inconnue, tu t'en serais tiré, et vite fait. Seulement voilà !".

09/1991

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Poésie

GABRIEL PRADAL RODRÍGUEZ POÈMES

"Chez nous, on ne parlait jamais des morts. Trop douloureux. Ainsi nous n'avons qu'assez peu d'éléments concernant Gabriel Pradal Rodríguez. Mon père, le peintre Carlos Pradal, et ses frères et soeurs, s'accordaient à dire que Kalín, c'était le surnom de Gabriel, était leur lumière et tous vouaient à l'ainé de la fratrie une profonde admiration. Je le savais poète pour avoir lu trois poèmes trouvés dans une anthologie collective de la poésie espagnole contemporaine. Une impeccable séguidille, m'avait alors interpelé : Yo no sé lo que tienen las esperanzas qué tanto mas se cortan crecen más altas. Si me dejaran quizás también la pena se me quitara. Le destin mit récemment entre mes mains les oeuvres poétiques complètes de mon oncle Gabriel. Très vite, je pris la décision d'exhumer ces poèmes de la malle aux souvenirs, de traduire cette oeuvre vouée à l'oubli et d'imaginer une édition bilingue avec l'assentiment et le soutien précieux de sa fille Eva, que je remercie infiniment. En pénétrant au coeur de la parole d'un Gabriel tourmenté, se sachant irrémédiablement condamné par une terrible leucémie, j'ai eu la troublante sensation de le rencontrer durant ces longs mois de travail solitaire, d'apprendre à le connaître, de le comprendre, avec ses inquiétudes et sa sensualité tellement andalouse et dépourvue de tout folklore, teintée de surréalisme parfois, avec sa liberté d'écriture, sa malice et sa modernité". Vicente Pradal

09/2023

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Littérature française

Ignacio et le spectre de Monrovia

Après la mort de son père, Ignacio quitte son quartier défavorisé de Lomé à l'âge de quatorze ans, pour aller vivre avec sa tante Antonella, dans une banlieue au sud de Paris en 1981, où il s'alliera d'amitié pour la vie, avec quatre garçons de la même génération. Celle de Mitterrand. Avec le bac en poche, il entre rapidement dans la fonction publique dans le but d'aider le reste de sa famille resté au pays. Malgré son amour pour la France et une vie plutôt agréable, il décidera de tout quitter pour retourner dans son pays d'origine, pour donner un coup de pouce aux plus faibles. Car la vue de ses frères réfugiés économiques débarquant en France lui devenait insupportable. Comment sera-t-il reçu à son retour ?

06/2019

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Littérature française (poches)

Voyage à Rodrigues

En écrivant Le chercheur d'or, J.M.G. Le Clézio s'était inspiré d'aventures vécues par son grand-père. Dans ce Journal, Le Clézio raconte son voyage vers l'île Rodrigues sur les traces de son grand-père et de la légende qu'il a laissée. " Ai-je vraiment cherché quelque chose ? J'ai bien sûr soulevé quelques pierres, sondé la base de la falaise ouest, à l'aplomb des cavernes que j'ai repérées à mon arrivée dans l'Anse aux Anglais. Dans la tourelle ruinée de la Vigie du Commandeur (peut-être une ancienne balise construite par le Corsaire), dans les étranges balcons de pierres sèches, vestiges des anciens boucaniers, j'ai cherché plutôt des symboles, les signes qui établiraient le commencement d'un langage. Quand je suis entré pour la première fois dans le ravin, j'ai compris que ce n'était pas l'or que je cherchais, mais une ombre, quelques choses comme un souvenir, comme un désir. "

02/1997

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