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Horace McCoy

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Bayard

Prends garde, Horace vorace

Pauvre Enzo, il vient de se faire capturer par un ogre qui veut le manger ce soir au dîner ! Heureusement, Enzo a plus d'un tour dans son sac et propose à l'ogre une potion magique pour soigner son hoquet !

03/2024

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Poches Littérature internation

Le scalpel

Revenant de guerre, le docteur Owen, chirurgien hors pair, cynique et pauvre, réussit à monter une clinique et à se faire une riche clientèle. Cela grâce à l'amour de la fille d'un milliardaire, la belle Hélène Curtis. Mais le démon de midi, en l'occurrence l'attirance qu'il éprouve pour une jeune assistante, va bouleverser sa vie. Au terme de cette crise, il renoncera peut-être à son arrivisme, pour retrouver un sens plus juste de ses devoirs.

03/1984

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Littérature étrangère

J'aurais dû rester chez nous

Parce qu'il a obtenu quelque succès dans un petit théâtre de province, Ralph vient à Hollywood tenter sa chance au cinéma. Avec, naturellement, le désir de devenir très vite une grande vedette. Une jeune fille, Mona, partage son sort et son espoir. Mais les jours, les semaines, les mois passent, et tous deux attendent, attendent en vain. Mona comprend rapidement qu'ils n'arriveront jamais à rien, mais Ralph s'entête dans son illusion. Il ne peut s'arracher à son obsession et ne songe même pas qu'il aime Mona et qu'il pourrait être heureux avec elle. Une femme milliardaire, excentrique, nymphomane, et d'un âge canonique, le rencontre, l'attire en lui promettant de l'aider, de le protéger, et veut l'entretenir. Il se défend assez mal, accepte pour se reprendre à demi, et blesse ainsi profondément Mona qui, découragée, finit par épouser un simple fermier de l'ouest, abandonnant Ralph à Hollywood, «ville moche, pleine de boutiques moches et de gens moches».

01/1980

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Poches Littérature internation

Pertes et fracas

"Nemo Crespi - Légumes en gros" - Nemo Crespi, la grosse légume, dirige, en fait, le Consortium qui, dans l'ombre, met la ville à sac. Pouvoirs spéciaux à John Conroy, le jeune professeur de droit. John Conroy s'obstine. Seul contre tous. Et puis un peu moins seul : il réussit à former son équipe. Et quand il passe à l'attaque, toute la ville le suit.

06/1987

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Policiers

Un linceul n'a pas de poches

Ce livre de McCoy est le réquisitoire le plus violent - le plus dépourvu d'espoir aussi - qui puisse être dressé contre ce qu'on appelle " l'ordre établi ". Un réquisitoire, d'ailleurs, qui dépasse de beaucoup l'époque de la civilisation qu'il vise - notre époque, notre civilisation - pour atteindre ce qu'il y a de plus ancien, et peut-être d'éternel, dans la condition de l'homme : la perpétuelle soumission de la vérité au mensonge, par la lâcheté et l'hypocrisie des individus.

10/1998

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Romans noirs

Romans noirs

Horace McCoy (1897-1955) est de ceux qui ont choisi de dépeindre une Amérique fragilisée par la Grande Dépression, violente, sombre et impitoyable, ôtant à l'homme toute dignité. Aux côtés des "durs" (gangsters, politiciens corrompus, détectives), une galerie de personnages tragiques - des réalistes - suicidaires pour qui la vie est un enfer sans échappatoire et des rêveurs-ambitieux qui tentent de s'y soustraire pour se réinventer ailleurs - révèlent une mélancolie et une profondeur rares chez un auteur de roman noir, nourries de ses expériences personnelles. Vétéran de la Première Guerre mondiale, se rêvant acteur de théâtre puis reporter à Dallas, McCoy publie au tournant des années 1930 ses premières nouvelles, à la fois tranchantes et lyriques, dans Black Mask qui accueille les grandes plumes du roman noir comme Dashiell Hammett et Raymond Chandler. Désormais installé à Hollywood, McCoy enchaîne les petits rôles avant de se consacrer aux scénarios pour le compte des grands studios de cinéma, activité qu'il abhorre. Son premier roman, On achève bien les chevaux, ode tragique aux marathons de danse, paru en 1935, est un véritable succès. Jugés trop sombres, trop réalistes, les suivants ne rencontrent pas le même accueil. Dix ans s'écouleront avant que McCoy ne renoue avec la littérature et le succès, porté par l'intérêt et l'admiration du public français pour ses premières histoires traduites chez Gallimard dans la collection "Blanche" et dans la toute nouvelle "Série Noire". Adaptés au cinéma par Sydney Pollack (On achève bien les chevaux, 1969) ou Jean-Pierre Mocky (Un linceul n'a pas de poches, 1974), ses romans offrent une plongée dans le coeur noir de son pays : tirant à boulet rouge sur l'usine à rêves qu'est Hollywood et cette société où triomphent l'argent et la loi du plus fort, McCoy était bien trop sulfureux pour une Amérique qui se voulait alors conquérante.

03/2023

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