En juin dernier, Atena Farghadani, une jeune artiste iranienne, a été condamnée à 12 ans et 9 mois de prison pour une caricature. Un dessin, représentant les membres du Parlement iranien avec des têtes d’animaux, jugé comme une nuisance « pour la sûreté de l’État », « un outrage » et même « une propagande contre le régime ». Aujourd’hui, la jeune femme risque de voir sa peine s’allonger pour « relation sexuelles illégitime » et « conduite indécente », simplement pour avoir serré la main de son avocat. Une pétition a été lancée pour libérer l’artiste.