Dominique Barbéris est une écrivaine française née à Paris. Elle est surtout connue pour ses romans qui explorent souvent les subtilités des sentiments, les souvenirs et la mélancolie. Barbéris a une prédilection pour dépeindre les nuances de la vie quotidienne et les émotions intérieures de ses personnages.
Dès 1980, l'Académie Goncourt se dote d'une bourse pour soutenir les auteurs de biographie : Jean Lacouture reçoit la première récompense pour son ouvrage François Mauriac, consacré à l'auteur d'Un Nœud de vipères et publié par les éditions du Seuil. Devenu un Prix Goncourt au même titre que le Goncourt de la nouvelle, par exemple, le prix est désormais remis chaque année par les académiciens, au cours d'une cérémonie organisée à Nancy pendant l'événement Le Livre sur la Place.
Créé en 1930, le Prix Interallié fait partie des fameux prix de la rentrée littéraire : il est remis chaque année, au cours de l'automne, à un roman français. Le prix n'est pas doté financièrement, et il est décerné au sein du Cercle de l'Union interalliée, cercle social parisien fondé en 1917.
Chats, souris, escargots, chien et à présent baleine blanche les animaux tiennent une place toute particulière dans l’œuvre de Luis Sepúlveda. À la fois tendres et émouvantes ces histoires qui constituent le bestiaire de l’auteur parlent certes d’animaux, mais sont profondément humaines.
Créé en 1926 par des journalistes et des critiques littéraires qui s'ennuyaient en attendant les choix des jurés du Prix Goncourt, le Prix Renaudot s'est depuis fait une place de choix au sein des prix littéraires de la rentrée. Il emprunte son nom à Théophraste Renaudot (1586-1653), journaliste et médecin français, connu comme le créateur de la presse et de la publicité françaises...
Imaginé et créé par la Fondation La Poste en 2015, le prix Envoyé par La Poste récompense un manuscrit (roman ou récit) adressé par courrier, à un éditeur qui décèle un talent d’écriture et qui décide de le publier.
Monographies
CNLfeminisme – Qui habitait au XVIe siècle le château d'Anet ? Etait-ce la maîtresse de ce lieu idyllique, Diane de Poitiers, veuve de Louis de Brézé et favorite de Henri II, qui l'avait fait bâtir ? Ou n'était-ce pas plutôt une autre Diane, la chasseresse des Anciens, dont la superbe figure, d'un érotisme dérobé, coïncidait si bien avec celle de la favorite ?
C'est cette déesse vive et farouche qui apparaît en tout cas dans deux grands cycles narratifs du château celui d'une célèbre tenture de tapisseries et celui, fort peu conventionnel et totalement méconnu, des vitraux en émail blanc qui occupaient les fenêtres de l'appartement du souverain. Ce livre, qui conjugue les recherches d'historiens du dessin, de la littérature, de la peinture et du vitrail, s'attache à ces deux ensembles. Il les reconstitue, en examine les sources, en évalue la portée. Il révèle le programme des tapisseries, sonde sa maîtrise des humanités, prend en compte sa date plus précoce qu'on ne le pensait, 1547, et dévoile le nom de son auteur, le poète Jacques de Vintimille, habile précurseur de la Pléiade.
Il montre aussi que Charles Carmoy, peintre cité par Rabelais dans son Pantagruel, dut en donner les dessins et les cartons. A Anet, Carmoy a en outre secondé le plus grand peintre de l'école de Fontainebleau, Francesco Primaticcio, dit Primatice, pour établir les patrons des vitraux.
L'examen de toutes ces oeuvres signale que, dans les vitraux comme dans les tapisseries, le mythe de Diane prenait place au coeur d'un dispositif chiffré, héraldique, emblématique et poétique qui permettait à Diane de Poitiers de revêtir, au bénéfice de son roi, la panoplie esthétique et symbolique de la déesse.
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