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Claudia Jacobi

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Cinéma

Claudia Cardinale

Alberto Moravia : Quelle est, selon vous, la caractéristique principale de votre beauté ? Et avant tout, pensez-vous être belle ? Claudia Cardinale : Je ne sais pas si je suis vraiment belle. Je crois que je suis étrange.

03/2010

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Cinéma

Moi, Claudia, toi, Claudia. Le roman d'une vie

Regard de braise et sensualité féline, tels sont les traits que le public retient de la somptueuse Angelica du Guépard incarnée par Claudia Cardinale. Cette actrice, qui a tourné avec les plus grands, raconte sa vie dans ce livre. Elle l'a fait sans complaisance, en un dialogue lucide avec elle-même, où la femme qu'elle est devenue parle, à bonne distance, de sa vie privée. L'enfance tunisienne, l'adolescence paisible soudain bouleversée par la violence, le fils qu'on lui impose de tenir caché et les rebondissements de sa carrière aux côtés des plus grands metteurs en scène (Zurlini, Visconti, Fellini, Germi, Bolognini, Comencini, Squitieri, Blake Edwards, Hathaway et d'autres encore), tout cela est rappelé avec émotion, retenue et un certain humour. Claudia Cardinale parle aussi avec un respect infini de son "maître" Luchino Visconti, de Cinecittà et d'Hollywood. On découvre, alors, quelle force étonnante dissimule ce sourire éclatant. Dans ce livre, Claudia Cardinale dit, sans fard, les joies et les souffrances d'une femme qui, parce que son goût de la vie l'emporte sur tout, accepte de se regarder avec sérénité dans le miroir que lui tend Anna Maria Mori.

10/1995

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Littérature comparée

Mythopoétiques dantesques. Une étude intermédiale sur la France, l'Espagne et l'Italie (1766-1897)

Dès 1854, le poète et historien Jean-Dominique Fuss s'indigne de la "dantomanie" de ses contemporains et reproche aux "dantomanes" un manque de goût et de génie issu d'un excès d'admiration pour le Moyen-Age. L'idée que les appropriations dantesques dans la littérature et les beaux-arts des XVIIIe et XIXe siècles soient inférieures à celles de la (post)modernité a persisté jusqu'à nos jours. Le but de la présente étude est de réajuster l'opinion dominante de la critique en montrant la complexité, l'originalité et la valeur artistique des oeuvres canonisées et non-canonisées qui composent le corpus. Parmi les 'dantomanes' dévalorisés des XVIIIe et XIXe siècles se trouvent des personnalités aussi éminentes que Giacomo Leopardi, Victor Hugo, Gérard de Nerval, Charles Baudelaire, Gustavo Adolfo Bécquer et Emilia Pardo Bazán, mais aussi des artistes, des écrivains et des écrivaines qu'il est temps de sortir de l'oubli, notamment Caterina Franceschi Ferrucci, Sofia Giacomelli, Julio Monreal, Vicente Colorado ou Henri Cantel. Leurs oeuvres sont souvent en avance sur leur temps, faisant ressortir des aspects de la Divine Comédie que la critique n'abordera qu'au XXIe siècle. L'analyse comparatiste et intermédiale permet non seulement de redécouvrir les mythopoétiques dantesques des XVIIIe et XIXe siècles, mais aussi de mieux comprendre les tensions et les apories de la Divine Comédie elle-même, montrant ainsi qu'il faut cesser de considérer les productions dantesques des XVIIIe et XIXe siècles comme de "mauvaises copies" de "l'original", et que la Divine Comédie et ses réappropriations s'éclairent de manière réciproque.

07/2021

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Loisirs et jeux

Color me. Claudia Comte

L'artiste suisse Claudia Comte exerce ses multiples talents à travers tous les medias – gravures, peintures, sculptures, installations et films. Son oeuvre est truffée de références explicites aux cartoons, et fourmille d'oreilles de lapin, totems, yeux qui louchent ou onomatopées en toutes lettres. Maniant avec dextérité l'humour et jouant avec les formes de l'art populaire apprécié par le plus grand nombre, l'artiste porte aussi une extrême attention à la rigueur des finitions. Depuis quelques années, son talent est reconnu par les plus grandes institutions internationales. Gageons que son album Color me sera des plus drôles et des plus convoités !

11/2018

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Musique, danse

Claudio Monteverdi

Héritier de tout le savoir musical de la Renaissance, formé à l'écriture polyphonique dans la tradition vénitienne, Monteverdi est le compositeur qui ouvre une nouvelle époque. Philippe Beaussant éclaire le cheminement du compositeur qui, de Crémone puis Mantoue à Venise, d'une cour ducale fastueuse à la Sérénissime République, a opéré dans la musique cette mutation de sensibilité capitale, perceptible dans tous les domaines artistiques, littéraires et philosophiques, qu'on a appelée le baroque. S'affranchissant de la perfection polyphonique, Monteverdi fait advenir, par l'accent mis sur la compréhension du texte - celui des poètes les plus illustres de son temps, choisis avec une remarquable sûreté -, une expressivité qui sera dorénavant portée par une voix seule. Le nouveau langage qui se dégage ainsi trouvera dans l'opéra, avec l'Orfeo comme acte fondateur, un développement appelé à une riche postérité.

01/2003

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Compositeurs

Claudio Monteverdi

Fils d'un docteur de Crémone, l'italien Monteverdi (1567-1643) étudie la musique à la cathédrale. Il maîtrise rapidement le chant, joue de la viole et du luth dès son adolescence. Il se tourne alors vers la composition, que ce soit l'écriture vocale ou instrumentale et devient l'un des compositeurs les plus douées (et aussi les plus protéiformes) de son temps. Il sert d'abord le duc Vincent de Gonzague à Mantoue avant de le suivre en Hongrie lors de la guerre contre les Turcs, puis en Flandres en 1599. A cette période, il compose de nombreux madrigaux caractérisés par l'écriture d'une voix soliste expressive. Il devient citoyen de Mantoue et Maître de chapelle du Duc en 1602. C'est là qu'il compose l'Orféo, considéré comme le premier véritable opéra de l'histoire de la musique, en tant que tragédie musicale. Cette Åuvre, qui lui a demandé sept ans de travail, sera jouée dans toute l'Italie du Nord et le fera accéder au statut de plus grand musicien de son temps. A la mort du duc Vincent, Monteverdi quitte Mantoue pour le poste de Maître de chapelle à St-Marc de Venise. Bien que nommé prêtre en 1632, il ne cessera de composer pour le théâtre - Venise se dote alors de sa première salle d'opéra, le Teatro San Cassiano, et deviendra rapidement la capitale de ce genre musical particulier. Un an avant son décès dans la cité des Doges en novembre 1643, Monteverdi écrira son ultime opéra, L'incoronazione di Poppea. Bien qu'ayant surtout écrit de la musique sacrée à Venise, dont ses remarquables Litanies de la Sainte Vierge, son dernier livre de madrigaux est publié à titre posthume en 1651, portant ainsi le nombre de ses pièces vocales profanes à 208 ! Monterverdi est considéré comme le compositeur majeur ayant assuré la transition entre la Renaissance et le Baroque.

02/2024

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