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Littérature française

Mao-Cosmique

L'origine de ce texte n'est pas vraiment celle d'un livre. Simplement un texte-parole qui résonne des gens, des faits, une durée dans le temps, un bout d'histoire. Aujourd'hui c'est un passé proche et un repère. Dans le texte et hors de lui un mouvement collectif, de groupe, habite le Je qui écrit ; et souvent une voix collective le traverse. C'est donc bien plus qu'un auteur et ça n'a pas de nom. Et même en possession d'un nom on signerait pas. Parce qu'à signer, à se laisser embarquer dans les traces-ghettos on se sentirait, je me saurais piégé coincé enrôlé. On les entend déjà : "ils ne veulent même plus dire leur nom. Existe pourtant la Joie d'affirmer des pointes petites de nos vies - productions, "réalité" qu'on veut autre, différent. Manifester/produire nos réalités, nos mythes, leur donner un élans, de l'air, un espace où l'on devient une force. Mao-Cosmique a été et se veut simultanément geste thérapeutique (nécessité de l'expression) et geste amical vis-à-vis d'une certaine catégorie de gens, de "lecteurs". Nos amis, nos alliés. A eux, à nous, de savoir partager, organiser, de savoir inventer une circulation, des lieux, des vagues. De la mobilité. Avril 1975

07/2014

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Littérature française

Parée à virer

"L'avion, en provenance de Paris, venait tout juste d'atterrir sur le tarmac de l'aéroport de Bangkok. Assise près d'un hublot, Claire tourna la tête, regarda furtivement vers l'extérieur et découvrit la même agitation que dans tous les aéroports Internationaux. Partie de Roissy-Charles de Gaulle depuis maintenant plus de dix heures, elle percevait la fatigue d'une nuit de somnolence et non de sommeil. Elle se redressa, s'étira, mais fut vite freinée par l'inconfort du fauteuil. Elle ne chercha nullement à calculer l'heure locale, mais se cala sans réfléchir, sur la grosse pendule qu'elle apercevait depuis son siège passager". Claire, à l'aube de la cinquantaine, plutôt renfermée depuis la mort accidentelle de son mari survenue cinq ans auparavant, se voit offrir par son fils une croisière sur un fleuve, en plein coeur de la Birmanie. Contrainte d'honorer ce cadeau, c'est avec anxiété et sans une certaine inquiétude qu'elle renoue avec les voyages et la vie en société. Arrivée en Asie du Sud-Est, une première épreuve va d'abord l'anéantir, mais bientôt lui redonner goût à la vie... et peut-être à l'amour. Au cours de cette croisière, elle va découvrir de magnifiques paysages, une culture bouddhiste omniprésente et lier de merveilleuses amitiés. Mais rien n'est simple et un rebondissement pourrait bien faire basculer sa vie. Aura-t-elle la force de surmonter cette terrible épreuve ? Pourra-t-elle lâcher prise ? Ira-t-elle jusqu'à faire confiance à François ? Sa vie d'après pourrait bien dépendre de tous ces éléments. Avec son nouveau roman, Martine Abgrall-Le Guennec conjugue avec brio voyage, aventure, romance et quête de bonheur. Après une carrière professionnelle d'une trentaine d'années, Martine Abgrall-Le Guennec décide de concrétiser un rêve et de donner un autre sens à sa vie. Un indicible sentiment enraciné depuis son adolescence la conduit à écrire, guidée par sa passion pour la littérature, la poésie et l'art. En mai 2019, elle publie un premier roman Bonjour bonheur aux Editions Amalthée. Portée par de nombreuses critiques positives, elle laisse dans ce nouvel opus "parler" son goût pour les voyages.

08/2021

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Humour

Paré à virer

Paré à virer est un livre qui rassemble à travers des dessins d'humour des anecdotes sur le monde de la voile et des voileux, petits et grands. De ses expériences à bord de voiliers de toutes sortes et de toutes tailles, de cabotages en eaux calmes ou transats sur des mers plus agitées, Laetitia Vassal a eu envie de raconter ce que sa place d'équipière, délestée des responsabilités de skipper, lui offrait à voir. Dans cet espace de liberté, telle la mouette rieuse qui survole nos embarcations, elle a pu observer ce qui se jouait à bord et raconter certaines agitations provenant de situations croquignolesques. Paré à virer invite les lecteurs à se laisser embarquer, quelle que soit la météo, en garantissant même aux néophytes, qu'ils n'auront pas le mal de mer.

03/2021

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Chanson française

Brassens. J'aurais pu virer malhonnête

A l'occasion du centenaire de la naissance de Georges Brassens, le Sétois Bernard Lonjon nous invite à la découverte de la jeunesse tumultueuse de l'artiste. Entré en chanson par effraction, Brassens a montré les angoisses des hommes et leur cruauté tout en dénonçant leurs bêtises. Des bêtises ? Lui aussi en a commis dans sa jeunesse. Ce livre révèle, grâce à des documents inédits, les dessous de l'affaire des vols de bijoux, à Sète, en 1938 et 1939. Déroulé des arrestations, interrogatoires au commissariat et minutes du procès viennent appuyer les faits. Et montrent que le jeune Brassens, entraîné par sa bande de copains, y a pris une large part. Et ce pour notre plus grand bonheur car ces événements sont devenus fondateurs de l'oeuvre du barde sétois. Sans eux, pas de " mauvaise herbe ", de " mauvaise réputation ", de " Je suis un voyou ". Il l'a souvent dit : " Si je n'étais pas chanteur, c'est voleur que j'aurais été. Pas un escroc ni un assassin. Je ne me vois pas en train de buter un mec, non ; mais voleur oui, piquer du fric... Ca doit être bath. " Un livre qui vient conforter notre vision de l'esprit libertaire de Brassens.

10/2021

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Humour

On m'a demandé de vous virer

« On m’a demandé de vous calmer », lâche le président de Radio France à Stéphane Guillon en 2009. L’humoriste n’en fait rien et continue à jouer les trublions dans la matinale de France Inter. 23 juin 2010 : Licencié par Philippe Val, Guillon fait ses adieux à l’antenne. Dans ce second volume réunissant les chroniques diffusées entre septembre 2009 et juin 2010, on retrouve l’écriture affûtée et le brillant sens de la formule par lesquels il s’est fait connaître, haïr et célébrer.

06/2011

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Essais

Se faire virer. Suivi de Camera obscura

Manon Delatre travaille dans un cinéma d'art et essai. Au début, son travail la passionne. Elle s'implique, prend des responsabilités. Mais un jour surgit le trop plein, l'épuisement. Elle a besoin de changer d'air. Sa direction ne l'entend pas ainsi. Refus de rupture conventionnelle. Les relations se compliquent. Une spirale infernale qui la pousse alors à tout faire pour se faire virer. Se faire virer est un court récit, poignant qui décrit avec précision certains des mécanismes qui peuvent mener au burn-out. Ce texte est suivi d'un autre récit de la même autrice sur le travail dans une équipe caméra sur les plateaux de cinéma. L'envers du décor du 7e art. L'art peut tout justifier, on doit pouvoir se sacrifier pour le beau, l'original, même pour le médiocre. Pas de vacances, peu de pause, de tournage en tournage, d'hôtel en hôtel, charger les pellicules, les retirer, marquer les séquences, stocker, charger, courir, marquer, stocker. Jusqu'à l'épuisement.

05/2021

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