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Antonio Skarmeta

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Enseignement primaire

La rédaction. Cycle 3

Chili, 1973. Alors que le général Pinochet vient de prendre le pouvoir par la force, Pedro fête ses 9 ans. Le jeune garçon sent bien que le monde autour de lui change : les rues sont remplies de militaires en uniforme, ses parents écoutent la radio en chuchotant, le père de son ami Daniel est arrêté... Le jour où un militaire demande aux élèves de sa classe d'écrire une rédaction, Pedro comprend immédiatement l'importance de ces quelques lignes. Le texte accompagné de nombreuses illustrations ; des notes de bas de page pour faciliter la lecture ; des éclairages et des activités pour approfondir la compréhension du texte ; des extraits littéraires, des documents historiques et artistiques pour prolonger et enrichir la lecture.

03/2020

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Littérature étrangère

Les jours de l'arc-en-ciel

Santos est professeur de philosophie. Il vient de se faire arrêter en pleine classe devant son fils, Nico. Bettini, le père de la meilleure amie de Nico, est un ancien publicitaire blacklisté, qui ne trouve plus de travail. Convoqué chez le ministre de l'Intérieur, on lui propose de diriger la campagne du "OUI" au prochain référendum pour le maintien au pouvoir de Pinochet. Pourquoi s'adresser à lui alors qu'il est de gauche et qu'il a déjà été arrêté et torturé par la police politique ? Tout simplement parce qu'il est le meilleur. Quelques heures plus tard, il reçoit la visite d'un des principaux leaders de l'opposition qui lui présente, à peu de choses près, la même requête... qu'il accepte, malgré les menaces et le casse-tête que cela représente. En effet, comment trouver un slogan qui ferait l'unanimité parmi les seize factions de l'opposition, qui ne sont d'accord sur rien ? Verre après verre, une idée fait son chemin.

03/2013

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Littérature étrangère

Beaux enfants, vous perdez la plus belle rose

Un ballon de football pour seule fortune, le jeune Arturito part pour la capitale dans l'espoir d'y devenir un "dieu du stade" et d'effacer la fâcheuse réputation de puceau que lui a faite le village. Dans le train, il rencontre le "petit Monsieur", presque nain par la taille, dont les incessantes contorsions l'intriguent : sous sa chemise, l'homme cache un coq de combat volé, qu'il essaie de calmer à coups de becquées de vin. A l'arrivée, les deux solitaires s'installent dans la même pension de famille, fréquentée aussi bien par des marginaux qui gravitent autour du music-hall populaire et vivent d'expédients que par de jeunes militants - ouvriers, employés, étudiants - qui vivent fiévreusement l'actualité quotidienne de Santiago du Chili au cours des mois qui précèdent le coup d'Etat militaire de septembre 1973. Resté apolitique, Arturito a beau se réfugier derrière la passion du football, tantôt agressif, tantôt timide, il sent le besoin de s'insérer dans un groupe et ne comprend pas pourquoi la camaraderie lui est refusée. A travers ses tribulations, le lecteur est projeté en plein coeur d'une époque passionnée et partisane : l'aventure de l'Unité populaire vécue comme un suspense des cours et des corps.

11/1979

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Littérature étrangère

Une ardente patience

Dans son refuge de l'Ile Noire, Pablo Neruda est l'unique client du facteur Mario Jimenez. Ces rapports se changent en amitié, et Mario Jimenez demande à Neruda de lui enseigner l'art de la poésie afin de conquérir l'amour de la fille de la patronne de l'auberge, la belle adolescente Beatriz Gonzalez. Le poète l'aide, mais la mère de Beatriz, Mme Posa, se méfie de la poésie, et son pragmatisme terre à terre s'oppose à la romance. Les amoureux gagnent; Allende aussi. Celui-ci nomme Neruda ambassadeur à Paris. Le roman suit la trajectoire ascendante de l'unité populaire jusqu'à la tragédie finale: la mort du poète, du président et de la démocratie chilienne. Le film du cinéaste anglais, Michael Radford, Le Facteur, adapté du roman Une ardente patience, est un hommage à Pablo Neruda, rôle tenu par Philippe Noiret mais aussi au comédien Massimo Troisi, le Facteur, très populaire en Italie, mort en 1994.

02/1987

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Littérature française

Antonio

Antonio descend de l’auto et pose ses fesses contre la portière. Il prend appui sur sa jambe gauche pour soulager sa cuisse droite en partie nécrosée à la suite d’un accident de plongée durant la récolte de corail quand il avait tout juste dix-sept ans. Il sort de sa poche un paquet de cigarettes blondes de contrebande acheté dans les rues de Naples. D’un clic métallique, il ouvre son Zippo tandis qu’il tient entre ses dents le filtre de sa cigarette. D’un geste sûr, il en actionne la molette et une large flamme colorée et malodorante jaillit dans un court crépitement. Il soulève alors ses yeux d’un noir d’ébène et lui lance : Andiamo bella ragazza...

09/2019

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Romans graphiques

Antonio

Né à Naples en 1894, Antonio Caffiero a très tôt manifesté un goût marqué pour les histoires qu'elles soient réelles ou imaginaires. L'aventure principale, qui prend à certains moments une allure de thriller, est celle du moulage en vermeil du coeur du sultan ottoman Abdelmecit, qu'Antonio et son père ont réalisé, à la demande de son fils, le sultan Mehmet V Resad. Ses aventures, Antonio les vit ou les imagine sur fond de plusieurs conflits - guerre italo - grecque, 1ère guerre mondiale, guerre gréco - turque, démembrement de l'empire ottoman, guerre d'Abyssinie, deuxième guerre mondiale - qu'il traverse avec un détachement qui s'accentue au fil des années. Il s'attache en revanche profondément à toutes les villes méditerranéennes où il s'installe : Petit délinquant à Naples, orfèvre du sultan à Istanbul, latin lover de la chanteuse Roza Eskanazi au Pirée, principal fournisseur d'argenterie des grands hôtels à Beyrouth, il promène sa silhouette nonchalante et son regard à la fois curieux et désabusé dans les rues de ces villes-monde où il se sent chez lui. Allergique à la pensée unique, il sera mal vu des communautés italiennes de Beyrouth et d'Istanbul parce qu'il n'adhère pas au fascisme, mais s'engagera quand même comme cuisinier dans la guerre d'Abyssinie, pour fuir une maîtresse qui le harcèle. Maria, son épouse dont il est fou amoureux, parce qu'il a rêvé d'elle, avant même de la rencontrer, est la seule constante de sa vie. Rythmé par une voix off qui n'est autre que celle de son arrière-petite-fille, l'autrice Michèle Standjofski, le récit prend toute sa dimension grâce au graphisme réalisé aux crayons de couleur.

09/2021

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