Dans 1Q84 (éditions Belfond, 2011, traduction d’Hélène Morita avec la collaboration de Yôko Miyamoto), dès le second chapitre du livre, Tengo, un jeune écrivain, s’entretient avec Komatsu, brillant éditeur antipathique. À travers les propos tenus par ce dernier, Haruki Murakami nous livre une vision schématique de ce que serait le pouvoir romanesque, les facteurs qui le déterminent en profondeur.