Une fin de belle journée de printemps dans un bois près de Fontainebleau, à l’orée d’une clairière qu’il tente de peindre en recherchant le « jaune qui correspondait à cette heure » pour l’appliquer sur la toile qu’il peint. Auguste a entraperçu un homme qui s’est assis sur l’autre rive de la clairière et qui, bien qu’apparemment installé tranquillement pour s’offrir « une prise de tabac », ne manque pas de se retourner régulièrement « comme si un sanglier […] pouvait débouler dans son dos ».