Prix annuel, créé en 1914, le Grand Prix de l'Académie française vient récompenser l’auteur du roman que l’Académie a jugé le meilleur de l’année. Doté de 10.000 € depuis 2016, il est habituellement décerné à la fin du mois d'octobre, au cœur de la rentrée littéraire.
Le Bureau International de l'Édition Française (BIEF) est une association créée en 1873 par le Cercle de la librairie pour être au service des éditeurs en facilitant leur développement à l'international, l'exportation des titres, mais aussi les achats de droits de traduction. Aujourd'hui, cette mission est sensiblement la même.
Cela avait commencé avec quelques cas en Chine, mal recensé et des perturbations dans l’économie du pays. Et rapidement, le coronavirus est devenu l’invité tragique de l’année 2020. Les cas se sont multipliés et les décès sont survenus peu après. Avec des conséquences diverses dans l’industrie du livre, à travers le monde.
La lecture à haute voix de livres, en totalité ou sous forme d‘extraits, est considérée comme une “représentation”, et tombe de facto sous le coup du “droit de représentation”. Jusque-là, ce droit était géré par une société d‘auteurs, la SACD, mais depuis le 1er janvier 2016, et sans que grand monde en ait été informé, la gestion du droit de lecture est passée dans l'escarcelle de la SCELF, une société d'éditeurs.
Philippe Curval est né à l'aube des années trente, a côtoyé les surréalistes, a fréquenté de nombreux écrivains comme Boris Vian ou Topor, participé à la naissance de la première librairie de science- fiction, de la première revue de science-fiction.
2024 marquera le le 50e anniversaire de la mort de Marcel Pagnol (18 avril 1974) et en 2025, le 130e anniversaire de sa naissance. Des événements sont prévus partout en France pour célébrer ces dates et de son côté, les éditions Bamboo entendent faire vivre la mémoire de l'écrivain, à travers sa collection dédiée, Marcel Pagnol en BD.
Actualité politique France
Sabine est aide à domicile auprès de personnes âgées, Yao manutentionnaire pour une grande enseigne dans un supermarché du Sud de la France, Hajer médecin à l’hôpital public… Tous trois, comme les autres témoins dont les récits structurent 2 € de l’heure, sont en situation irrégulière et se battent, affrontant la violence administrative, pour obtenir des papiers.
Nejma Brahim a rencontré des centaines de travailleurs de l’ombre, partout en France. Elle dévoile un système d’exploitation étendu et installé, et dresse un tableau à rebours de tous les fantasmes, sur ces étrangers qui bénéficieraient des « aides sociales » sans rien faire. Au contraire, ils et elles travaillent, souvent beaucoup et la plupart sans contrat, pour, parfois, pas plus de 2 euros de l’heure.
Ce document donne à voir ce qu’est véritablement « l’intégration à la française » : une main-d’oeuvre qui n’est pas concernée par le droit du travail et qui soutient pourtant de nombreux pans de notre économie. Comment les employeurs, parfois les plus gros, profitent-ils de cette situation ? Pourquoi et combien l’État accepte-t-il de perdre ? En bref, à qui profitent les sans-papiers ?
Nejma Brahim est journaliste. En 2020, elle a rejoint le pôle International de Mediapart où elle se consacre aux migrations. 2 € de l’heure est son deuxième livre.
01/2024
Actualité médiatique France
06/2021
Sciences politiques
02/2019
Poches Littérature internation
06/2018
Histoire internationale
01/2011
12 ans et +
06/2020