Il aura passé près de 10 mois emprisonné. Mushtaq Ahmed, décédé ce 25 févier, venait d’être transféré à l’hôpital universitaire Shaheed Tajuddin de Gazipur. Coupable, aux yeux de la justice bangladaise, d’avoir « diffusé de fausses informations », il aura payé, à 53 ans, de sa vie, ce qui ressemblait en réalité à l’exercice de la liberté d’expression. Et depuis sa mort, les appels à une enquête se multiplient.