Fin juin, l’Hôtel de Ville de Besançon avait été attaqué à l’essence. Un écrivain d’origine camerounaise, vivant en France, n’avait pas trouvé meilleure solution pour exprimer sa colère. Il tentait d’obtenir des aides pour créer une maison d’édition, qui lui furent refusées. Après avoir menacé directement, il est passé aux actes, et devant le tribunal de Besançon.