Avril 2012, l’industrie du livre implose : une romancière britannique totalement inconnue, sinon de forums d’auteurs indépendants, signe avec Vintage Books, filiale d’Alfred A. Knopf, pour une trilogie de romance érotico-SM. L’avènement de Fifty shades of Grey, mêlant misogynie et masochisme dans une relation entre une petite oie blanche et un milliardaire tordu, pulvérise les ventes. 125 millions d’exemplaires vendus à travers la planète pour la trilogie, et une incidence sur la sexualité désormais manifeste ?