L'ombre de catastrophes d'origine humaine ou naturelle plane constamment sur les centres de conservation patrimoniale, ou plus simplement, toute collection. Et, puisque le risque zéro n'existe pas, mieux vaut être préparé aux mauvaises surprises. Depuis Le Cap, en Afrique du Sud, où se déroule sa 81e conférence générale, la Fédération internationale des associations de bibliothécaires et d'institutions (IFLA) annonce l'ouverture d'un registre pour centraliser les informations et améliorer l'efficacité générale des actions de sauvegarde.