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L’industrie musicale aime les artistes, et c’est encore mieux s’ils sont décédés : la voie est libre pour les best of, les inédits et autres albums redécouverts par hasard. Difficile de faire mieux que Jeff Buckley, dans le genre : mort par noyade à l’âge de 30 ans, il n’a laissé qu’un album de son vivant, Grace, mais de nombreux enregistrements qu’il suffit alors de compiler. Son deuxième album posthume, You and I, vient de sortir, et Columbia met les petits plats dans les grands.

Les auteurs ont déjà signifié leur mécontentement dans le conflit qui oppose l'éditeur Hachette Book Group à la firme de Jeff Bezos. Mais cette fois, une lettre ouverte est partie de grands noms de l'édition, pour attaquer directement la gestion des négociations par Amazon. Depuis quelques jours, on sait précisément que c'est bien sur la question des livres numériques que porte le différend. Reste à faire plier l'un ou l'autre.

Il a raison, Frederic Lardinois, en écrivant sur TechCrunch : « Ce n'est pas tous les jours que Jeff Bezos vous envoie un exemplaire de son livre jeunesse favori pour mettre en valeur le prochain événement majeur d'Amazon. » Pas tous les jours, certes, mais une fois encore, ce sont les liens entre technologie et livre qu'établit le cybermarchand.

Il n'y a aucun lien entre Disney, Hachette et Amazon, aurait-on écrit voilà quelques mois encore. Sauf qu'après les pressions qu'encaisse l'éditeur aux États-Unis, Amazon décide d'empêcher l'achat de certaines nouveautés en DVD et Blu-ray, notamment le dernier Captain America, ou encore Maléfique, productions de Disney.

En jetant un petit coup d'oeil aux spécifications du téléphone d'Amazon, on découvre quelques fonctionnalités gadget, mais également d'autres qui promettent de nouvelles nuits blanches aux libraires indépendants. Le Fire Phone rejoint la grande cour des smartphones, plus grand que les iPhone mais plus petit que la majorité des appareils Android du marché. 

Annihilation, la saga de science-fiction de Jeff VanderMeer, dont le premier tome, Le rempart sud, a été publié par Au diable vauvert en 2016 dans une traduction de Gilles Goullet, sera porté au cinéma par le réalisateur Alex Garland. Ce dernier, romancier et scénariste, a déjà réalisé Ex machina en 2014 et signé le scénario de Sunshine de Danny Boyle.

Alors oui, Amazon c’est parfois bien pratique pour les suggestions et les listes de Noël des petites cousines, mais ça l’est nettement moins quand Amazon sévit. Car oui, parfois, Amazon punit de manière plus ou moins visible. Suppressions de compte plus ou moins justifiées et reconnaissance faciale à disposition des forces de police américaines : aux États-Unis, Amazon devient décidément très autoritaire.

L'auteur de bandes dessinées canadien Jeff Lemire verra l'une de ses créations portées à l'écran grâce au service de diffusion en streaming Hulu, qui a acquis les droits de sa série de bandes dessinées Sweet Tooth. Ces dernières, traduites en français chez Urban Comics par Benjamin Rivière, sont publiées à l'origine par Vertigo, filiale de DC Comics.

Netflix diffusera à partir du 4 juin prochain la série inédite Sweet Tooth, adaptée des bandes dessinées de l'auteur canadien Jeff Lemire. Supervisée par Jim Mickle et Beth Schwartz, elle rassemble au casting Christian Convery, Nonso Anozie ou encore Adeel Akhtar.

Pour une écologie du 99 % invite à discréditer 20 grands mythes sur le capitaliste, en fournissant des clés d’analyse pour mieux saisir la complexité de ce système — sans se perdre en cours de route sur de mauvaises pistes. Après une exploration des idées reçues à propos de la surconsommation, plongeons à présent dans un troisième mythe : le pouvoir salvateur des nouvelles technologies.

La tour Folkstrom - les enquêtes d'Ockham Stryker - Jeff Balek

Le 24 janvier 2010 était une date importante pour l'équipe d'Amazon, et le refus de répondre opposé par Russell Grandinetti devant le tribunal fédéral de New York a hier jeté un voile opaque sur le procès. Ce dimanche de janvier, le vice-président des responsables contenus sur Kindle avait rendez-vous chez Jeff Bezos. Une petite propriété montée sur pilotis, où le patron d'Amazon range son bateau...

À 47 ans, Jeff Bezos, le grand patron d'Amazon, est à la tête d'un empire commercial. Lui-même pèserait quelque 18 milliards $, pour les célibataires intéressées. Mais celui qui a ouvert tout d'abord une librairie sur internet est aujourd'hui devenu le symbole du livre numérique, avec toutes les dérives que cela implique...

Critiqué ouvertement, et malencontreusement pointé du doigt pour ses techniques managériales, Amazon a cru bon de réagir. Après un article incendiaire du New York Times, Jeff Bezos avait tenté de corriger le tir de la communication. Trop tard : la firme était présentée comme un monstre glacé, prêt à essorer ses collaborateurs. Heureusement, c’est fini.

Tandis qu'en Allemagne la grève a commencé ce lundi pour plusieurs centaines d'employés des entrepôts logistiques d'Amazon, une pétition lancée sur la plateforme Change.org aurait rassemblé plus de 47.000 signatures. Lancée par Emily Kenway, employée chez ShareAction, celle-ci sollicite Jeff Bezos afin qu'il reverse à ses employés un salaire décent.

Le PDG et fondateur d'Amazon, Jeff Bezos, vient de faire un deuxième don (à titre personnel) à l'association Worldreader qui œuvre pour apporter la culture au plus près de tous, rapporte GoodEreader. Cette ONG qui travaille partout dans le monde, a décidé de parier sur les nouveaux outils de lecture que sont les lecteurs de livres numériques.

C'est un intrigant communiqué qui vient de tomber, annonçant que le grand patron du groupe d'édition, entre autres, Planeta, allait investir dans le domaine des biotechnologies. Une manière de suivre le patron d'Amazon, Jeff Bezos, qui tendrait plutôt vers l'infiniment grand avec son projet Blue Origin, de conquête de l'espace ? 

Jeff Bezos a créé Amazon. En vendant le premier des livres imprimés sur Internet. C'était avant. Maintenant, Jeff Bezos entend rester le premier. En vendant des livres numériques, sur internet. Moins cher encore et plus rentable que jamais, il vient de recevoir le soutien le plus prisé qui soit : celui du ministère de la Justice américain. 

L'exploration de l'ADN d'Amazon, révèle Publishing perspectives, montre que la société n'a pas vraiment dans ses gènes l'instinct ni la fibre philanthropique. Les méthodes commerciales de la firme montreraient plutôt une envie de monopole, option domination ouverte du monde. Et tous les moyens sont bons...

Dans son one-man, L'agonie et l'extase de Steve Jobs, le comédien et auteur américain Mike Daisey décrivait son séjour en Chine et dénonçait les conditions de travail des employés d'une dizaine d'usines fabriquant des produits pour Apple. Relayé par les médias, notamment This American life, une émission de radio populaire aux États-Unis, l'histoire de Daisey s'est révélé être un fake, plein de fabulations et d'exagérations.

Au choix : un secret de polichinelle, ou le buzz médiatique le mieux entretenu cette année. Le lancement possible d'une tablette, hypothétiquement sous Andrdoid, voire en version Honeycomb, que préparerait Amazon a de quoi faire sourire. Ou pas.

Voilà des années, les entrepreneurs célébraient leur premier million avec une certaine exaltation. Aujourd'hui, les temps ont changé, on ne célèbre plus guère que le milliard. Alors quand on en a accumulé 10...

Le célèbre pirate des Caraïbes au cinéma aurait-il des comportements de corsaire dans la vie réelle ? C’est en tout cas ce qu’affirme le folkloriste, auteur et documentariste Bruce Jackson. Ce dernier est formel : les paroles de la chanson, Sad Motherfucking Parade, interprétée en duo avec la légende du rock Jeff Beck, proviennent clairement d’un vieux toast chanté par un détenu, et repris dans un poème de Bruce Jackson dans un de ces ouvrages. En réponse, les deux artistes ont porté plainte contre le folkloriste...

Les ebooks d'Orwell : Jeff Bezos est stupide, Amazon irréfléchi

VIZ Media, l'un des plus importants éditeurs et distributeurs de manga en Amérique du Nord, annonce la reconduction d'un accord de distribution exclusif avec Simon & Schuster, pour les États-Unis et le Royaume-Uni. La collaboration entre les deux sociétés remonte à 2004, et concerne toutes les maisons du groupe VIZ Media, de Shonen Jump à Shojo Beat, en passant par Perfect Square, Haikasoru ou les publications Ghibli.

Inspiré du conte pour enfants de Rudyard Kipling, “L’Enfant d’éléphant”, le livre-objet de Loes Riphagen est un enchantement, un joyeux album. Superbement illustré, découpé comme de la dentelle de papier, il s’apprécie à la fois de manière ludique et esthétique, en association parfaite avec le conte étiologique de l’écrivain britannique.

Ah, les joies de la puberté, les questionnements sans fin sur le sens de l’univers, et de la place que l’on peut y occuper, et forcément, toutes ces choses autour des sentiments confus et diffus qui surgissent... Ah, l’adolescence... Il fallait bien un sociologue et anthropologue ainsi qu’un dessinateur, pour s’y pencher...

EDITO – Pleinement dans leur fonction, les médias — et ActuaLitté n’a pas manqué le coche — ont publié leurs conseils de lecture, plus ou moins honnête, plus ou moins intéressés, plus ou moins intéressants. Et ActuaLitté n’a pas non plus dérogé à cette observation, si, si, il faut le reconnaître. Mais après tout, les goûts et les couleurs, c’est comme les barils de lessive : ça frise l’irrationnel. 

A l’occasion du Festival quartier du livre, Vème arrondissement, Éric Poindron reconstitue un cabinet de curiosité grandeur nature à la manière des émerveillements d’autrefois. «La curiosité n’est jamais un vilain défaut», l’affirme tout de go le créateur. Pour les petits et les grands, les rêveurs ou les lettrés, les amateurs et les passionnés, c’est l’esprit de la curiosité qui est ici célébré.

Le concours d’écriture Émergences entame sa troisième année d’existence. Destiné à tout auteur.trice débutant.e, il propose à chacun d’envoyer une nouvelle, avec cette accroche : « La preuve était là, sous mon nez. » Le texte doit être à destination des 9/12 ans, et compter 5000 signes.