En 2002, Vivendi revendait à Lagardère ses activités d'édition, Vivendi Universal Publishing, mais la Commission européenne lui imposait une limitation de 30 à 40 % des actifs, afin d'éviter une concentration. Le repreneur du reste des actifs de VUP, devenu le groupe Editis, sera Wendel, une décision contestée depuis 2004 par les éditions Odile Jacob, également candidates.